Tous les 25 ministres du premier gouvernement sous Macky Sall, dirigé par Abdoul Mbaye, vont devoir faire face à des défis monstres essentiels à l’amélioration des conditions de vie des Sénégalais, certains sont plus acculés que les autres. Une situation due aux dossiers brûlants qu’ils trouvent sur place. Tergiverser, ils n’ont pas ce temps, ils sont contraints à aller vite et proposer ainsi aux Sénégalais, des solutions à cette kyrielle de maux, qui font d’eux, véritablement des ministres assis sur des braises.
Ibrahima Sall de l’Education, Serigne Mbaye Thiam de l’Enseignement supérieur et de la recherche, Benoît Sambou de l’Agriculture, Mata Sy Diallo du Commerce et de l’industrie, Aly Ngouille Ndiaye des Mines et de l’énergie et Augustin Tine des Forces armées, il n’est point trop dire, de les citer dans ce lot. Les défis et problèmes énormes qui les attendent dans leurs secteurs respectifs, font partie de ceux qui ont le plus impacté la vie des Sénégalais ces derniers moment et même plus. Sauver l’année scolaire, va être le grand défi d’Ibrahima Sall, ministre de l’Education. Parents d’élèves et apprenants vivent tous sous la hantise d’une année blanche. Une mission loin d’être facile, dont l’atteinte passe par des propositions concrètes de Ibrahima Sall au Cusems et au Saemss, afin d’obtenir d’eux, la fin de la grève qui dure depuis 6 mois. Et qui fait passer surtout collégiens et lycéens, plus de temps à la maison qu’à l’école. Les appels des apprenants, des parents, de la société civile et même ceux répétés de Macky Sall, durant la campagne électorale, lors de sa première sortie après sa victoire sur Wade et de son adresse à la Nation à l’occasion de la 52e fête de l’indépendance du Sénégal, n’ont pas eu d’écho assez retentissant, pour infléchir la position des syndicalistes enseignants. Tous les espoirs des pères et mères de familles, trimant comme pas possible, sacrifiant même parfois d’autres besoins élémentaires pour tout simplement assurer à leurs enfants les frais scolaires, reposent en lui. De sa façon de faire avec les syndicats enseignants, va être fonction le sort de leurs investissements dans l’éducation de leurs enfants. Et même leur avenir. Des préoccupations identiques à celles de Serigne Mbaye Thiam, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche. Sauver l‘université de l’année blanche est la sur priorité de ses priorités. Le Saes avait certes suspendu son mot d’ordre de grève, mais il avait clairement promis de la reprendre, si le gouvernement ne pose aucun acte de concret. Ce qui fait que les étudiants ne sont pas encore sortis de l’auberge. Et que le sort de leur année scolaire, étant plus que jamais écrit avec des pointillés. A Mata Sy Diallo, incombe la lourde responsabilité de traduire en actes et très rapidement, la promesse électorale de Macky Sall, de réduire les prix des denrées de première nécessité. Une des promesses sur lesquelles Macky Sall est le plus attendu par les populations, surtout les ménages à revenus faibles, pour qui chaque jour étant une nouvelle épreuve. Le riz, l’huile, le sucre, le loyer, l’eau, l’électricité, le téléphone sont tous hors de portée des populations. C’est à Benoît Sambou, de venir en aide aux populations du monde rural, mis aux abois par la campagne agricole désastreuse de l’année dernière. Chasser la famine qui s’installe par endroits et soulager les paysans, font partie des attentes qui pèsent sur les épaules de Benoît Sambou. Il a aussi la lourde responsabilité, de parer au plus pressé, pour éviter aux populations et au bétail de mourir de faim. La nourriture pour les hommes et les animaux étant une grosse équation. De la ménagère qui voit au quotidien ses provisions achetées au prix d’énormes sacrifices, pourrir au frigo, à l’industriel dont les activités sont complètement plombées par les délestages, en passant par l’acteur de l’informel asphyxié par le coût exorbitant du carburant pour faire fonctionner son groupe électrogène, la principale attente qui pèse sur le ministre des Mines et de l‘énergie, Aly Ngouille Ndiaye, c’est rendre disponible l’électricité. Le souhait le plus ardent des populations, c’est qu’il fasse des privations d’électricité, qui reviennent de façon perlée, depuis que l’été s’approche, de mauvais souvenir.
Augustin Tine n’est pas mieux loti. Changer la situation qui prévaut dans le Sud du pays, avec les rebelles, qui en plus de continuer à mettre en péril la vie des populations et des militaires, se payent le luxe de prendre en otage des militaires, et de s’attaquer à des postes de gendarmerie.
Ibrahima Sall de l’Education, Serigne Mbaye Thiam de l’Enseignement supérieur et de la recherche, Benoît Sambou de l’Agriculture, Mata Sy Diallo du Commerce et de l’industrie, Aly Ngouille Ndiaye des Mines et de l’énergie et Augustin Tine des Forces armées, il n’est point trop dire, de les citer dans ce lot. Les défis et problèmes énormes qui les attendent dans leurs secteurs respectifs, font partie de ceux qui ont le plus impacté la vie des Sénégalais ces derniers moment et même plus. Sauver l’année scolaire, va être le grand défi d’Ibrahima Sall, ministre de l’Education. Parents d’élèves et apprenants vivent tous sous la hantise d’une année blanche. Une mission loin d’être facile, dont l’atteinte passe par des propositions concrètes de Ibrahima Sall au Cusems et au Saemss, afin d’obtenir d’eux, la fin de la grève qui dure depuis 6 mois. Et qui fait passer surtout collégiens et lycéens, plus de temps à la maison qu’à l’école. Les appels des apprenants, des parents, de la société civile et même ceux répétés de Macky Sall, durant la campagne électorale, lors de sa première sortie après sa victoire sur Wade et de son adresse à la Nation à l’occasion de la 52e fête de l’indépendance du Sénégal, n’ont pas eu d’écho assez retentissant, pour infléchir la position des syndicalistes enseignants. Tous les espoirs des pères et mères de familles, trimant comme pas possible, sacrifiant même parfois d’autres besoins élémentaires pour tout simplement assurer à leurs enfants les frais scolaires, reposent en lui. De sa façon de faire avec les syndicats enseignants, va être fonction le sort de leurs investissements dans l’éducation de leurs enfants. Et même leur avenir. Des préoccupations identiques à celles de Serigne Mbaye Thiam, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche. Sauver l‘université de l’année blanche est la sur priorité de ses priorités. Le Saes avait certes suspendu son mot d’ordre de grève, mais il avait clairement promis de la reprendre, si le gouvernement ne pose aucun acte de concret. Ce qui fait que les étudiants ne sont pas encore sortis de l’auberge. Et que le sort de leur année scolaire, étant plus que jamais écrit avec des pointillés. A Mata Sy Diallo, incombe la lourde responsabilité de traduire en actes et très rapidement, la promesse électorale de Macky Sall, de réduire les prix des denrées de première nécessité. Une des promesses sur lesquelles Macky Sall est le plus attendu par les populations, surtout les ménages à revenus faibles, pour qui chaque jour étant une nouvelle épreuve. Le riz, l’huile, le sucre, le loyer, l’eau, l’électricité, le téléphone sont tous hors de portée des populations. C’est à Benoît Sambou, de venir en aide aux populations du monde rural, mis aux abois par la campagne agricole désastreuse de l’année dernière. Chasser la famine qui s’installe par endroits et soulager les paysans, font partie des attentes qui pèsent sur les épaules de Benoît Sambou. Il a aussi la lourde responsabilité, de parer au plus pressé, pour éviter aux populations et au bétail de mourir de faim. La nourriture pour les hommes et les animaux étant une grosse équation. De la ménagère qui voit au quotidien ses provisions achetées au prix d’énormes sacrifices, pourrir au frigo, à l’industriel dont les activités sont complètement plombées par les délestages, en passant par l’acteur de l’informel asphyxié par le coût exorbitant du carburant pour faire fonctionner son groupe électrogène, la principale attente qui pèse sur le ministre des Mines et de l‘énergie, Aly Ngouille Ndiaye, c’est rendre disponible l’électricité. Le souhait le plus ardent des populations, c’est qu’il fasse des privations d’électricité, qui reviennent de façon perlée, depuis que l’été s’approche, de mauvais souvenir.
Augustin Tine n’est pas mieux loti. Changer la situation qui prévaut dans le Sud du pays, avec les rebelles, qui en plus de continuer à mettre en péril la vie des populations et des militaires, se payent le luxe de prendre en otage des militaires, et de s’attaquer à des postes de gendarmerie.
7 Commentaires
Zim
En Avril, 2012 (15:24 PM)Ndate
En Avril, 2012 (15:27 PM)Gregg
En Avril, 2012 (15:29 PM)Ad
En Avril, 2012 (17:02 PM)Ngôor
En Avril, 2012 (21:32 PM)Est-il exact que le PM Abdoul Mbaye est en liberté provisoire ? Le quotidien "Enquête" a révélé qu'il est actuellement sous inculpation par-devant le premier cabinet d'instruction du Tribunal Régional de Dakar pour faux et usage de faux, escroquerie ! Si les faits sont avérés, il ne reste plus au Président de la République et au PM lui-même d'autre solution que la démission de celui-ci, et partant celui de son gouvernement. Il est curieux que le black-out soit observé par la presque totalité des médias sur une information aussi capitale.
Jinné
En Avril, 2012 (22:13 PM)Naaru Gannaar
En Avril, 2012 (22:19 PM)Au petit matin!
Les sésnégalais se réveillent et se rendent compte que Wade et Macky ont bien joué leur comédie: celle de placer son dauphin ANTICONSTITUTIONNELLEMENT!
WADE = MACKY = PDS
NAARU GANNAAR WAXOON NA KO
AAAHHHH!!!
Les sénégalais ne cesseront jamais de nous étonner:
maintenant, ils ont un PRÉSIDENT maccudé (ESCLAVE) et un PREMIER MINISTRE gawlo (GRIOT).
Nous en Mauritanie nous devons méditer cette leçon de DÉMOCRATIE.
Participer à la Discussion