Le maire de Dakar a eu droit à un accueil chaleureux dans sa salle d'audience au Tribunal de Dakar. Ses fidèles sympathisants qui se sont déplacés en masse ont scandé son nom suite au report du procès. Regardez !
tres tres soulagé de voir autant de sérénité autant de grandeur.
au passage j'aimerai savoir à ceux ki était dans la salle si c bassirou gueye qui a représenté le parquet au procès oubin eskil a envoyé un substitut pour se débiner?
Voila comment on s'autodetruit lorsqu'on est pas intelligent. Je ne comprends pas toujours pas comment Macky a pu tomber dans ce piege lui qui a ete propulse a la tete du pays par les meme faits. Comme on dit les meme causes produisent tujours les memes effets.
Meme s'il arrive a priver a Khalifa le droit de se presenter - ce qui arrivera car c'est l'unique but d etoute cette machination - il sera oblige de le liberer avant 2019 face a la pression populaire comme dans le cas de Karim et aux presedentielles le candidat soutenu par Khalifa lui fera mordre la poussiere.
MACKY EST PERDANT SUR TOUS LES CAS DE FIGURE SI KHALIFA EST LIBERE IL DEVIENT UN CANDIDAT DIFFICILE A BATTRE S'IL EST CONDAMNE LES GOSSES DE LA MEDINA VONT EMPECHER MACKY DE TERMINER SON MANDAT DANS LA PAIX ET GARE SI LES POLICIERS COMMETTENT DES BAVURES EN TUANT DES MANIFESTANT C'EST LE PALAIS QUI SERA DEVASTE OAR UNE FOULE EN FURIE DIEU FASSE REVENIR MACKY A LA RAISON
les fétiches proposent, Allah dispose. personne ne peut arreter la mer avec ses bras. que le Miséricordieux étale son manteau de protection sur Khalifa en cette nuit céleste et bénie. amen. tu seras le prochain président inchallah
Réveillez vous sénégalais !coup d’état politique, coup d’Etat électoral permanent !sabotage organisé des législatives, Karim comme khalifa traqués pour des raisons politiques et ethniques, avez-vous vu maky traquer un poular ? Pour maky, il faut éliminer avant la présidentielle les candidats wolofs sérieux en oubliant la leçon de Moïse dégageant le pharaon. Tout le reste est du mackillage juridique pour moutons
Mickey !!! Arrête de gouverner ce pays selon les prédictions de tes fétiches. Faire des deals avec le diable c'est vendre son âme au diable. Même le choix des dates d'inauguration des édifices est dicté par tes fétiches et ce que les travaux soient achevés ou pas!!!! Attention attention!!!! Tes fétiches vont de perdre pendant et après ton magistère!!! Qu'Allah t'ouvre les yeux et te purifie ton cœur d'aigris!
mansour jamil dou supporter mouk al amine ci kholame. toute les occasions sont bonnes pour lui lancer des piques. kane mo mome "tivaouane ken andoulake wone ake mome" koudoule al amine. mansour jamil al amine nékétoufi mangua barsakh, khana gua war ko meuna maye diame. je te dis une chose mansour jamil al amine dou yawe. ta doko dape jamais. limou defe ci lou bakhe ba senegal yeupe guisse ko, doko defe jamais de ta vie`; un pour cent ba sakhe doko défe. pourquoi? parce ce que tu as toujours vécu dans la haine, dans la rancune, dans la méchanceté. meme tes freres le savent. do nitou dara loudoule un eternel aigri. al amine president boufi nieuw mou sekhe ak yawe diame. yaw nake macky dala utiliser lolou mola méti. yéke gua ci kawe auto yi ba tasse ta amossi dara maye niou diame. guisse banéyone deputé sakhe doko nék. senegalais yi wédi nanioula. do waadja
AFRIQUECONFIDENTIELLE vous propose ce document exclusif qui explique de manière limpide l’affaire judiciaire dans laquelle s’est empêtré le maire de Dakar M.Khalifa Ababacar Sall.
Il s’agit d’une escroquerie pure et simple au détriment des citoyens sénégalais. Khalifa Sall et ses 7 co-prévenus ont avoué leur forfait et tentent de se dédouaner en affirmant que l’argent de la caisse d’avance de la mairie de Dakar était des « fonds politiques ». Pourquoi alors faire des fausses factures ? Pourquoi utiliser un gié fictif ?
Khalifa Sall a cautionné tout cela et a signé en tant qu’ordonnateur. Il n’y a rien de politique dans cette affaire qui relève du tribunal correctionnel. Mme Anne Hidalgo qui a des liens douteux avec Khalifa Sall serait nostalgique de la défunte « françafrique » de triste mémoire. Les avocats français qui viennent de se constituer pour la défense du maire de Dakar sont en retard d’un train parce qu’ils se pointent à la 25ème heure. Que peuvent-ils changer dans ce dossier d’une clarté aveuglante ? Rien !
L’Afrique des colons est révolu. L'Afrique des sorciers blancs aussi. Quant aux relations douteuses elles finissent toujours par accoucher des odeurs pestilentielles.
À vous lecteurs de juger : les faits détaillés dans cette note sont incontestables et incontestés par les personnes accusées. L’aveu est la reine des preuves. Des aveux obtenus sans contrainte aucune.
Note sur l’affaire Ministère Public et Etat du Sénégal c/ Khalifa Ababacar SALL et autres.
Par soit-transmis du 07/02/2017, le Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar saisissait la Division des Investigations criminelles (une unité de la Direction de la Police judiciaire sénégalaise), du rapport n°12/16 du 24 mars 2016 de l’Inspection générale d’Etat, portant vérification administrative et financière de la Ville de Dakar pour la période 2011-2015.
Les vérificateurs ont constaté au cours de leurs investigations, que tous les mois, une structure privée dénommée GIE KEUR TABBAR livrait à la Ville de Dakar, du riz et du mil d’une valeur totale de 30.000.000 FCFA (environ 50.000 euros), montant qui correspondait à l’alimentation mensuelle de la caisse d’avance instituée au sein de la collectivité territoriale.
Pour le renouvellement de l’alimentation de cette caisse, ils ont aussi constaté que son gérant, en l’occurrence Mbaye TOURE, Directeur administratif et financier de la ville de Dakar, présentait au receveur percepteur municipal, à la fin de chaque mois, deux factures définitives du GIE KEUR TABBAR et deux procès-verbaux de réception, portant respectivement sur du mil et du riz, signés d’une part par lui-même, Amadou Moctar DIOP, Ibrahima Yatma DIAW, membres de la commission de réception de ladite ville et d’autre part, par le maire Khalifa Ababacar SALL.
Entendu au cours de l’enquête ouverte sur ces faits, Mbaye TOURE a soutenu que la caisse d’avance fonctionnait comme un fonds politique utilisé de façon discrétionnaire par le maire de la ville. Il a précisé que les procès-verbaux de réception produits pour le renouvellement de la caisse étaient des faux confectionnés dans l’unique but d’être en règle avec la comptabilité publique.
Interrogés à leur tour, Amadou Moctar DIOP et Ibrahima Yatma DIAO, membres de la commission de réception de la ville ont admis avoir cosigné les procès-verbaux de réception portant sur des denrées jamais livrées. Ils ont ajouté qu’il revenait au nommé Yaya BODIAN, agent de la Direction administrative et financière de la mairie de faire signer ces procès-verbaux de réception qui ne correspondaient à aucune livraison.
La fausseté des procès-verbaux de réception du mil et du riz a été confirmée par les frères Ibrahima et Fatou TRAORE, respectivement président et trésorière du GIE KEUR TABBAR qui n’existe que de nom.
Ibrahima TOURE et Oumar BOCOUM, Inspecteurs du Trésor, qui se sont succédé à la Perception municipale de Dakar comme receveurs percepteurs municipaux pendant la période sous revue, ont déclaré, reprenant les propos de Mbaye TOURE, qu’ils libéraient mensuellement la somme de 30.000.000 FCFA entre les mains de ce dernier qui, à cet effet, leur présentait comme documents justificatifs, un mandat de paiement signé par l’ordonnateur, en l’occurrence, le maire de la ville Khalifa Ababacar SALL, ainsi que des factures et procès-verbaux signés des membres de la commission de réception.
Entendu, Khalifa Ababacar SALL, maire de la ville de Dakar, a confirmé les déclarations de Mbaye TOURE, en soutenant que la caisse d’avance était en réalité un fonds politique laissé à la libre discrétion du maire de la ville. Il a ajouté aussi, sans qu’aucun texte ne le prévoit et sans en rapporter la preuve, que le mode de fonctionnement de cette caisse était dérogatoire du droit commun de la comptabilité publique. Pour leur utilisation, il a déclaré que ces fonds ont servi à appuyer des nécessiteux ou venir en aide à des personnes physiques ou morales dont il n’a pas voulu révéler les identités.
Sur la base de ce qui précède, Khalifa Ababacar SALL, Mbaye TOURE, Yaya BODIAN, Ibrahima Yatma DIAW, Mamadou Oumar BOCOUM, Ibrahima TOURE et Fatou TRAORE ont été inculpés par le Doyen des juges d’Instruction du Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar de différents chefs d’infractions, dont le détournement de deniers publics à l’égard Khalifa Ababacar SALL pour un montant d’un milliard huit cent trente millions (1.830.000.000) de FCFA, soit environ 2.800.000 euros.
La poursuite et la clôture de l’information ont confirmé toutes les charges qui avariant été initialement retenues contre Khalifa Ababacar SALL et ses coinculpés. Pour cette raison, le Doyen des juges a estimé devoir les renvoyer devant le tribunal correctionnel de Dakar où ils seront jugés conformément à la loi.
Pour sa part, l’Etat du Sénégal, en sa qualité de parie civile, a l’obligation d’intervenir dans la procédure pour les raisons suivantes :
• D’abord, le Sénégal est un Etat unitaire décentralisé où les collectivités territoriales sont délégataires de missions de service public. C’est à ce titre que l’Etat assure le financement des compétences qui leur sont transférées à partir de son budget.
• Ensuite, et en vertu de la loi organique n°2011-15 du 08 juillet 2011 relative aux lois de finances, les collectivités territoriales ne peuvent percevoir des impôts que sur la base d’une loi votée par le Parlement, donc au niveau de l’Etat.
• Enfin et sans être exhaustif, l’Etat assure à priori le contrôle de certaines dépenses tandis que d’autres font l’objet d’un contrôle à postériori dans le cadre de l’exécution des budgets des collectivités territoriales.
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19 Commentaires
Grand Monsieur
En Décembre, 2017 (17:20 PM)au passage j'aimerai savoir à ceux ki était dans la salle si c bassirou gueye qui a représenté le parquet au procès oubin eskil a envoyé un substitut pour se débiner?
Anonyme
En Décembre, 2017 (17:21 PM)Meme s'il arrive a priver a Khalifa le droit de se presenter - ce qui arrivera car c'est l'unique but d etoute cette machination - il sera oblige de le liberer avant 2019 face a la pression populaire comme dans le cas de Karim et aux presedentielles le candidat soutenu par Khalifa lui fera mordre la poussiere.
Anonyme
En Décembre, 2017 (17:45 PM)Anonyme
En Décembre, 2017 (18:04 PM)Seuls les dirigeants faibles d'esprit essaient de jouer avec la justice d'un Pays.
"Etat dou thiakhane";"Etat dou thiakhane";"Etat dou thiakhane";
les Magistrats doivent faire face au Politiciens qui les utilisent comme des jouets.
"Dieu est le Juge des juges"
"les Avocats, juges ...doivent penser à leur jour d'enterrement et au jugement dernier".
Anonyme
En Décembre, 2017 (19:49 PM)Anonyme
En Décembre, 2017 (20:19 PM)Anonyme
En Décembre, 2017 (20:21 PM)Anonyme
En Décembre, 2017 (20:34 PM)Anonyme
En Décembre, 2017 (22:24 PM)MACKY TU T'ENFONCES DE PLUS EN PLUS.
MEME SI KHALIFA N'EST PAS CANDIDAT IL SUFFIT DE DONNER UNE CONSIGNE DE VOTE EN 2019 ET TU SERAS PERDANT
Avis Observateur
En Décembre, 2017 (23:48 PM)Prophétesse
En Décembre, 2017 (01:40 AM)Anonyme
En Décembre, 2017 (07:08 AM)Anonyme
En Décembre, 2017 (07:16 AM)Appelez au 70 305 62 55
Anonyme
En Décembre, 2017 (07:22 AM)Anonyme
En Décembre, 2017 (07:27 AM)Anonyme
En Décembre, 2017 (08:52 AM)entre 2002 et 2009 il accumule un patrimoine de 9 milliards
Anonyme
En Décembre, 2017 (09:58 AM)Anonyme
En Décembre, 2017 (17:05 PM)AFFAIRE KHALIFA SALL : Document exclusif (AFRIQUECONFIDENTIELLE)
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AFRIQUECONFIDENTIELLE vous propose ce document exclusif qui explique de manière limpide l’affaire judiciaire dans laquelle s’est empêtré le maire de Dakar M.Khalifa Ababacar Sall.
Il s’agit d’une escroquerie pure et simple au détriment des citoyens sénégalais. Khalifa Sall et ses 7 co-prévenus ont avoué leur forfait et tentent de se dédouaner en affirmant que l’argent de la caisse d’avance de la mairie de Dakar était des « fonds politiques ». Pourquoi alors faire des fausses factures ? Pourquoi utiliser un gié fictif ?
Khalifa Sall a cautionné tout cela et a signé en tant qu’ordonnateur. Il n’y a rien de politique dans cette affaire qui relève du tribunal correctionnel. Mme Anne Hidalgo qui a des liens douteux avec Khalifa Sall serait nostalgique de la défunte « françafrique » de triste mémoire. Les avocats français qui viennent de se constituer pour la défense du maire de Dakar sont en retard d’un train parce qu’ils se pointent à la 25ème heure. Que peuvent-ils changer dans ce dossier d’une clarté aveuglante ? Rien !
L’Afrique des colons est révolu. L'Afrique des sorciers blancs aussi. Quant aux relations douteuses elles finissent toujours par accoucher des odeurs pestilentielles.
À vous lecteurs de juger : les faits détaillés dans cette note sont incontestables et incontestés par les personnes accusées. L’aveu est la reine des preuves. Des aveux obtenus sans contrainte aucune.
Note sur l’affaire Ministère Public et Etat du Sénégal c/ Khalifa Ababacar SALL et autres.
Par soit-transmis du 07/02/2017, le Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar saisissait la Division des Investigations criminelles (une unité de la Direction de la Police judiciaire sénégalaise), du rapport n°12/16 du 24 mars 2016 de l’Inspection générale d’Etat, portant vérification administrative et financière de la Ville de Dakar pour la période 2011-2015.
Les vérificateurs ont constaté au cours de leurs investigations, que tous les mois, une structure privée dénommée GIE KEUR TABBAR livrait à la Ville de Dakar, du riz et du mil d’une valeur totale de 30.000.000 FCFA (environ 50.000 euros), montant qui correspondait à l’alimentation mensuelle de la caisse d’avance instituée au sein de la collectivité territoriale.
Pour le renouvellement de l’alimentation de cette caisse, ils ont aussi constaté que son gérant, en l’occurrence Mbaye TOURE, Directeur administratif et financier de la ville de Dakar, présentait au receveur percepteur municipal, à la fin de chaque mois, deux factures définitives du GIE KEUR TABBAR et deux procès-verbaux de réception, portant respectivement sur du mil et du riz, signés d’une part par lui-même, Amadou Moctar DIOP, Ibrahima Yatma DIAW, membres de la commission de réception de ladite ville et d’autre part, par le maire Khalifa Ababacar SALL.
Entendu au cours de l’enquête ouverte sur ces faits, Mbaye TOURE a soutenu que la caisse d’avance fonctionnait comme un fonds politique utilisé de façon discrétionnaire par le maire de la ville. Il a précisé que les procès-verbaux de réception produits pour le renouvellement de la caisse étaient des faux confectionnés dans l’unique but d’être en règle avec la comptabilité publique.
Interrogés à leur tour, Amadou Moctar DIOP et Ibrahima Yatma DIAO, membres de la commission de réception de la ville ont admis avoir cosigné les procès-verbaux de réception portant sur des denrées jamais livrées. Ils ont ajouté qu’il revenait au nommé Yaya BODIAN, agent de la Direction administrative et financière de la mairie de faire signer ces procès-verbaux de réception qui ne correspondaient à aucune livraison.
La fausseté des procès-verbaux de réception du mil et du riz a été confirmée par les frères Ibrahima et Fatou TRAORE, respectivement président et trésorière du GIE KEUR TABBAR qui n’existe que de nom.
Ibrahima TOURE et Oumar BOCOUM, Inspecteurs du Trésor, qui se sont succédé à la Perception municipale de Dakar comme receveurs percepteurs municipaux pendant la période sous revue, ont déclaré, reprenant les propos de Mbaye TOURE, qu’ils libéraient mensuellement la somme de 30.000.000 FCFA entre les mains de ce dernier qui, à cet effet, leur présentait comme documents justificatifs, un mandat de paiement signé par l’ordonnateur, en l’occurrence, le maire de la ville Khalifa Ababacar SALL, ainsi que des factures et procès-verbaux signés des membres de la commission de réception.
Entendu, Khalifa Ababacar SALL, maire de la ville de Dakar, a confirmé les déclarations de Mbaye TOURE, en soutenant que la caisse d’avance était en réalité un fonds politique laissé à la libre discrétion du maire de la ville. Il a ajouté aussi, sans qu’aucun texte ne le prévoit et sans en rapporter la preuve, que le mode de fonctionnement de cette caisse était dérogatoire du droit commun de la comptabilité publique. Pour leur utilisation, il a déclaré que ces fonds ont servi à appuyer des nécessiteux ou venir en aide à des personnes physiques ou morales dont il n’a pas voulu révéler les identités.
Sur la base de ce qui précède, Khalifa Ababacar SALL, Mbaye TOURE, Yaya BODIAN, Ibrahima Yatma DIAW, Mamadou Oumar BOCOUM, Ibrahima TOURE et Fatou TRAORE ont été inculpés par le Doyen des juges d’Instruction du Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar de différents chefs d’infractions, dont le détournement de deniers publics à l’égard Khalifa Ababacar SALL pour un montant d’un milliard huit cent trente millions (1.830.000.000) de FCFA, soit environ 2.800.000 euros.
La poursuite et la clôture de l’information ont confirmé toutes les charges qui avariant été initialement retenues contre Khalifa Ababacar SALL et ses coinculpés. Pour cette raison, le Doyen des juges a estimé devoir les renvoyer devant le tribunal correctionnel de Dakar où ils seront jugés conformément à la loi.
Pour sa part, l’Etat du Sénégal, en sa qualité de parie civile, a l’obligation d’intervenir dans la procédure pour les raisons suivantes :
• D’abord, le Sénégal est un Etat unitaire décentralisé où les collectivités territoriales sont délégataires de missions de service public. C’est à ce titre que l’Etat assure le financement des compétences qui leur sont transférées à partir de son budget.
• Ensuite, et en vertu de la loi organique n°2011-15 du 08 juillet 2011 relative aux lois de finances, les collectivités territoriales ne peuvent percevoir des impôts que sur la base d’une loi votée par le Parlement, donc au niveau de l’Etat.
• Enfin et sans être exhaustif, l’Etat assure à priori le contrôle de certaines dépenses tandis que d’autres font l’objet d’un contrôle à postériori dans le cadre de l’exécution des budgets des collectivités territoriales.
AFRIQUECONFIDENTIELLE
Anonyme
En Décembre, 2017 (17:07 PM)Participer à la Discussion