Le chef de l’Etat Macky Sall a demandé mercredi en Conseil des ministres, au Premier ministre, ‘’de lui faire le point sur l’état d’exécution de l’ensemble des directives adressées au gouvernement depuis 2012 et des mesures adoptées lors des conseils des ministres délocalisés’’, a-t-on appris de source officielle.
Lors de la réunion gouvernementale, rapporte le communiqué du Conseil des ministres reçu à l'APS, Macky Sall a évoqué ‘’l’impératif de la mise en œuvre diligente des directives présidentielles et du suivi évaluation de l’action gouvernementale, dont dépend le respect de ses engagements’’.
Dans ce cadre, ajoute la même source, il a invité le Premier ministre à ‘’mettre en application un nouveau référentiel de suivi-évaluation du travail gouvernemental qui doit faire l’objet d’une revue semestrielle en présence des partenaires techniques et financiers’’.
Le communiqué précise que ce référentiel doit être ‘’assorti d’un rapport de performances des finances publiques, intégrant le niveau d’exécution des marchés publics et les taux d’absorption des crédits alloués aux dépenses de fonctionnement et d’investissement’’.
19 Commentaires
Mo
En Décembre, 2014 (11:06 AM)Dohine
En Décembre, 2014 (11:12 AM)Na Ja
En Décembre, 2014 (11:15 AM)Kooyou_macki_sale
En Décembre, 2014 (11:59 AM)Sidiki Diouf
En Décembre, 2014 (12:17 PM)Nandité
En Décembre, 2014 (12:59 PM)Malagoulou Iii
En Décembre, 2014 (13:32 PM)Niox
En Décembre, 2014 (13:52 PM)Je pense au BOM, à L IGE!
Avec un bon système de management, on ne peut donner de directives sans qu elles ne soient accompagnées d' un tableau de bord indiquant des méthodes et moyens de suivi et d'évaluation de leur exécution , et les services responsables!
Je suis étonné que de tels systèmes de management n'aient pas été mis en place face au nombre important de directives de politiques publiques émises par le Gouvernement de Macky Sall depuis 2012.
Au lieu d'un rapport semestriel, c'est plutôt un rapport trimestriel qui est plus adéquat pour mesurer la progression et les difficultés éventuelles dans l exécution des directives de politiques publiques et prendre les mesures correctives avant la fin de l année.
Dommage ! Dommage!
Mais il n'est pas trop tard pour bien faire
La Vision
En Décembre, 2014 (15:35 PM)L'afrique Sera Libre
En Décembre, 2014 (16:10 PM)Le Comba Du Siecle
En Décembre, 2014 (16:16 PM)Homme de grande valeur, le Président Laurent GBAGBO incarne des valeurs prisées par le peuple : le courage, la vérité, le parler vrai, l’intégrité, le respect des engagements pris, l’humilité, l’humanisme et la justice. C’est le «woody», le «jal Afrique», «le garçon pile ». Autant d’appellations affectueuses qui retracent sa constance, sa persévérance et sa témérité dans la lutte. Il estime d’ailleurs que Dieu l’a préparé pour les temps difficiles. Ce leader courageux a seulement deux peurs : la peur du jugement de Dieu et la peur du jugement du peuple. Il peut dormir tranquille car il vit dans la foi et ses actions plaident pour un jugement bienveillant du peuple.
Le Président GBAGBO dit la vérité parce que c’est par la vérité qu’on suit les traces. C’est par rapport à ce que tu dis qu’on sait ce que tu es. Il fustige le comportement de tous ceux qui croient que la politique, c’est l’art de mentir. Il sait aussi que le peuple aime la vérité. «Du reste, le Président de la République est un homme prédisposé à aimer et à cultiver la vérité. Le nom GBAGBO, nom prémonitoire, est une invitation à l’amour de la vérité. En effet, ce nom dans une de nos langues nationales, de nos langues du terroir, signifie «n’aie pas peur, n’aie aucune crainte de dire la vérité, de faire éclater la vérité», «GBA-GBO». Oui, «GBA-GBO ! Monsieur le Président, votre nom est une invitation, mieux, une injonction à toujours dire la vérité.».
Il est le «Tiantigui».
L'afrique Vaincra
En Décembre, 2014 (16:37 PM)Djoolof
En Décembre, 2014 (17:14 PM)Pour La Victoire Ds Noirs
En Décembre, 2014 (17:23 PM)Laurent GBAGBO
L'afrique Sera Libre
En Décembre, 2014 (17:35 PM)Charles Blé Goudé
Le Visionnaire
En Décembre, 2014 (18:02 PM)Laurent Gbagbo voulait marquer l’histoire. ‘Faire bouger les choses, s’opposer au diktat, ce n’est pas facile, ce qui m’arrive en est l’illustration. Nous ne sommes libres qu’en apparence, à l’intérieur de la cage où l’on nous a mis, nos finances et notre économie sous tutelle, sans poids réel au niveau international, menacés d’être mis à l’amende si nous n’obéissons pas.
Tekh Tekh Mayre
En Décembre, 2014 (18:54 PM)"Je refuse de suivre un homme apparemment kidnappé et instrumentalisé par des socialistes et de vieux communistes au point d’oser regarder tout un peuple dans le blanc des yeux et lui promettre de diminuer le prix des denrées de 1ere nécessité, en faisant fi des coûts de production qu’il ne maitrise pas ; et qui aujourd’hui, fait face en toute impuissance, à la flambée de l’ensemble des prix, plongeant notre pays dans une crise économique et financière sans précèdent.
Je refuse de suivre un homme qui crie, urbi et orbi, probité et sobriété à tous les carrefours du pays, alors qu’on informe peu après, qu’il disposerait d’un patrimoine symbolisé par un iceberg dont la seule partie visible dépasse dit on, les 8 milliards, fortune dont même la chancelière de la première puissance économique européenne Angela Merkel ne dispose du dixième, elle qui est pourtant aux affaires depuis 8 ans.
Oui j’avais toutes les raisons de refuser il y a un an de suivre des hommes dont le profil éthique pour gouverner est douteux, de suivre un candidat président sans vision, et conviction claires, qui une fois élu passerait tout son temps à tâtonner, tergiverser et imiter au lieu d' initier"
Au lieu de l ecouter on linsulter dans les commentaires !!!
Alioune Diouf
En Décembre, 2014 (00:40 AM)Le suivi des directives et des promesses electorales doivent faire l'objet d'un suivi permanent a travers des tableaux de bord bien organises revus et corriges au plus trimestriellement.
Six mois c'est trop long et 2017 est deja la
Alioune Diouf
En Décembre, 2014 (01:45 AM)Je respecte votre volonte de voir vos engagements se realiser. Et pour ce faire, vous auriez besoin d'un suivi regulier du niveau de leur execution.
Mon probleme est que vous demandiez au premier ministre de s'auto evaluer en vous presentant un rapport d'etat d'execution des directives.
Il me semble plus pertinent d'avoir une entite rattachee au secretariat general de la presidence chargee de ces taches.
Bref une entite de controle de gestion au niveau etatique
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