L’ancien premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, membre du parti démocratique Sénégalais (Pds) de 1978 à 2015, pense que le combat déclenché par Oumar Sarr et certains responsables du pds suite au remaniement du secrétariat exécutif du parti au profit des proches de Karim Wade, est perdu d’avance. Pour Jules Ndéné, les frondeurs sont en train de perdre du temps, mais ne pourront jamais avoir raison sur Abdoulaye Wade, qu’il défini comme le propriétaire légitime du parti.
Souleymane Ndene Ndiaye rappelle qu’il avait quitté le parti démocratique Sénégalais pour à peu près les mêmes raisons. » J’ai quitté le Pds parce que je n’étais pas d’accord sur la manière dont le candidat du parti avait été choisi par Wade. Selon l’ancien responsable libéral devenu leader de l’Union nationale pour le Peuple (UNP), les textes qui régissent le fonctionnement du parti au Pds confèrent au secrétaire général en l’occurrence Wade, « un droit de vie et de mort sur les membres du parti ».
L’ancien premier ministre sous Wade était l’invité du Grand Jury de la RFM ce dimanche.
16 Commentaires
Goor
En Août, 2019 (14:06 PM)Moustapha
En Août, 2019 (14:55 PM)Vous n avez rien à dire et continuer à vous réfugier derrière un irresponsable qui ne sait pas mesurer la charge qui lui est confiée et qui lui incombe
Le temps passe très vite
Volai414
En Août, 2019 (15:36 PM)Alors que M. Ndiaye nous explique un peu pourquoi il a fermé son clapet pendant aussi longtemps.
Aucun parti ne semble avoir un mode de fonctionnement interne démocratique
Qu’ils s’estiment heureux de recevoir de douces et mielleuses insultes car ils méritent qu’on les castrent ces mécréants et traîtres
Vive Wade
En Août, 2019 (16:37 PM)Kkk
En Août, 2019 (17:49 PM)Niangbalo
En Août, 2019 (18:08 PM)Bourr
En Août, 2019 (22:51 PM)La fronde qui secoue le PDS en ce moment, n'en est pas une première et libre à chaque militant de quitter la barque lorsqu'il n'y trouve plus sa place. Mais ce qui se passe avec les politiciens de notre époque n'honore guère la politique. A-t-on besoin de décliner son identité et ses ambitions en jetant l'opprobre sur un compagnon de lutte des années durant avec, comme arme, le dénigrement ? Lorsqu'on a les ambitions de diriger des hommes et d'être demain aux commandes d'un Etat, la retenue reste une vertu cardinale qui flétrit la haine et le mépris des autres. Si Wade était encore au pouvoir, tous ceux-là qui s'agitent aujourd'hui au sein du PDS n'auraient pas pris cette tournure de la désapprobation.
Can2021
En Août, 2019 (01:52 AM)Geo
En Août, 2019 (13:47 PM)Participer à la Discussion