deukbi dafa macky c vrai dara doukhoul, la vie est devenue plus chere, on ne trouve plus l'argent , les coupures d'electricite sont devenues plus recurentes, rien je dis rien ne larche dans ce pays . ET rien ne marcchera parce qu'il n'y a aucun programme mis en oeuvre pour gouverner ce pays. MACKY SALL KHAMUL MANUL
" Une bombe chimiques a la périphérie de la ville "
Risques de catastrophes sur des pipelines de la SAR
Une bombe chimique à la périphérie de la ville
La gazette vendredi 20 janvier 2012
Après le canal de la mort de « Hann-Fann », c’est une partie de la banlieue qui apprend qu’elle est également assise sur une bombe à retardement. Empiétés par des installations anarchiques, quatre vieux pipelines d’évacuation de fuel, kérosène, gasoil… pourraient ainsi causer d’importants dégâts.
C’est une catastrophe de plus qui se profile à l’horizon. La zone industrielle qui abrite parmi les plus anciens pipelines de la société africaine de raffinage (Sar), est aujourd’hui envahie d’installations anarchiques qui mettent gravement en danger la vie des populations dakaroises. Après le collecteur de « Hann-Fann » qui pourrait faire plus de 3000 victimes en cas d’affaissement, c’est au tour de la principale infrastructure d’approvisionnement en hydrocarbures d’inquiéter responsables de la SAR, autorités, populations... Tel un épicentre de tous les dégâts chimiques et écologiques de la capitale, le quartier de Hann est de nouveau le point de départ de ces oléoducs de la SAR qui représentent aujourd’hui une menace réelle sur la santé des populations ainsi que sur l’environnement.
En réalité, il s’agit de quatre pipelines appartenant à la SAR et servant à évacuer du fuel, du kérosène, de l’essence et du butane (hors service ndlr). Ces conduits qui sont enfouis depuis près de 40 ans à une profondeur variant de 80 centimètres à trois mètres, souffrent en effet d’une vétusté. Fortement érodés par le sable, ils peuvent incessamment connaître des fuites de produits pétroliers par endroits. S’y ajoutent que les trafics illicites d’hydrocarbures sur plusieurs points du canal, pourraient précipiter une catastrophe sans précédent.
D’après des éléments scientifiques produits par la direction de la protection civile (DPC), ces pipelines de la Société africaine de raffinage (Sar), par où transitent les hydrocarbures, ont été construits au début des années 1960 et sur une longueur de 15 km allant de Hann Bel-Air à Mbao. Aujourd’hui, ils sont enjambés par des constructions à usage d’habitations, de commerces et d’entreprises.
Comme sur le collecteur de Fann-Hann (Voir l’édition 128 de La Gazette), ces occupations anarchiques qui étouffent les quatre pipelines en question, sont principalement constituées de maisons, commerces, édifices publics etc. Selon les agents de la DPC : « les populations ont occupé toutes les emprises des pipelines. Même une mosquée est construite sur l’itinéraire de ces conduits. Des bouteilles truffées d’essence ou vides remplissent cet espace interlope. Les populations, malgré le danger, développent des activités économiques et allument même du feu, comme pour le séchage du poisson ».
Pourtant, cette bande à la périphérie de la capitale est bien connue comme étant une « zone franche industrielle » et regroupe d’importantes usines chimiques. N’empêche, la poussée démographique au fil des ans a terriblement réduit la distance entre les habitations et des unités industrielles initialement retirées de la ville. Non respect des codes de l’urbanisme et de l’environnement, indiscipline des populations et laxisme des autorités, mènent ainsi à une énième cohabitation hasardeuse avec des risques pouvant s’avérer dramatiques. Conséquence : les risques immédiats relevés par les experts sont une forte pollution de la nappe phréatique et de l’air. De plus, l’enclavement des usines expose les populations à d’énormes risques liés à la santé. Il y a également des menaces d’incendies (en cas de fuites) tout autour de ces pipelines. Les sites les plus exposés sont Thiaroye, Guinaw-Rail, Hann-Bel Air.
Prise de conscience tardive
Comment en est-on arrivé là ? Alors qu’un décret de 1963 du code de l’urbanisme et de l’habitation exige une distance d’au moins 5 mètres de part et d’autre entre les constructions et ce type d’infrastructure. Là également, les populations installées sur l’emprise des pipelines depuis plusieurs années, des décennies pour certaines, ignorent tout du danger avec lequel elles cohabitent depuis tout ce temps.
Pour éviter le pire, le directeur de la protection civile Mare Lô, préconise des mesures urgentes. « Les solutions sont nombreuses et seront de deux ordres. D’abord, il faudra déguerpir certains occupants de l’emprise des pipelines avant de songer à la réhabilitation de l’ouvrage. La faisabilité des deux solutions sera étudiée, ainsi que leur coût économique », a t-il expliqué en marge d’une visite guidée pour sensibiliser autorités et populations. En attendant, une chose est sûre : quelque soit l’option à prendre la note sera forcément très salée et le processus long. Surtout dans un pays où la question des déguerpissements même en situation d’urgence, s’oppose souvent à des intérêts particuliers. Contraintes à la délocalisation, les populations refusent souvent de se soumettre. Pour exemple, les cas de la Senchim (entreprise de fabrication de produits phytosanitaires), de l’émissaire de Cambérène ou encore du collecteur « Hann-Fann » entre autres, posent d’énormes difficultés liées au déguerpissement ou à la délocalisation.
A ce jour, tous ces cas présentent des risques chimiques, écologiques et sanitaires très élevés. Malgré le danger connu de tous, ces problèmes restent en l’état et illustrent à merveille la difficulté pour les autorités de les résoudre. Il est d’autant plus désolant que ces drames ambiants auraient pu être facilement évités.
Ce drame scientifique de plus est hélas à l’image de ce qui se passe tous les jours dans tous les secteurs au Sénégal. Défaut de surveillance et d’entretien courant des infrastructures, la même négligence -souvent fatale- se reproduit sans arrêt.
Toutefois, la question à se poser avec cette « mauvaise surprise », est sans doute : pourquoi les experts attendent-ils toujours qu’on soit aussi proche de l’irréparable pour inquiéter l’opinion publique et alerter des autorités qui ne vont jamais agir à la mesure du danger ?
Toujours dire que ca ne marche pas , deukebi daffa macky, ne sert a rien pour la bonne marche de ce pays.Au moins Mame mbaye a l entendre parler on se rend compte que c'est un véridique , il explique techniquement ce qui c'est réellement passé contrairement à Yakham qui essaie d'expliquer la marche du pays à l 'image des difficultés que traverse sa boite .un journaliste ne doit pas se baser sur les difficultés de sa boite pour dire que le pays marche ou ne marche pas .Pourquoi votre ligne éditoriale n’intéresse pas les lecteurs , pourquoi vous n arriver pas a vendre vos produits ? Pratiquement on dirait qu'au senegal ya pas assez de journalistes qui ont le niveau pour bien camper les problèmes du pays et de les décortiquer en profondeur par des techniciens et non par des politiciens qui ne parlent que de leurs intérêts et ceux de leur parti .Si aujourdhui on dit que y a pas d'argent qui circule dans le pays c'est tellement vrai pour une certaine couche de la population.En effet les salariés continuent de percevoir à leurs salaires, les paysans ont bien vendu leur récolte, il ne reste q'une certaine frange de la population trés importante qui vivent des produits de l'immigration. Pratiquement depuis la crise dans les pays européens les transferts d'argent des sénégalais établis à l’extérieur ont sérieusement baissés à tel point que cette baisse c'est répercuter sur beaucoup de ménages.Moi personnellement j’évolue dans le milieu des écoles privées ; auparavant les bons payeurs de la scolarité étaient les enfants des émigrés mais depuis la crise en Europe ils ne sont plus en mesure de payer la scolarité de leur enfants.c'est une situation qui c'est généraliser partout au niveau des écoles de la banlieue. Chers journalistes et politiciens ayez le sens des responsabilités pour aller au fond des choses dans ce pays .Quant à Serigne Mbacké Ndiaye personnellement je l’écoute pas . il devrait se sevrer des micros et cameras pour une période de 3 ans , peut être qu'il pourrait plaire à nouveau à certains senegalais. Wassalam.
Émission intéressante, mais Mame Mbaye NIANG n'avait pas le niveau de ses codebateurs. la prochaine fois L'APR doit envoyer des gens qui maitrisent plus les dossiers, pour mieux défendre le parti et son président.aujourd'hui le Président fait des efforts c'est vrai, mais c'est la communication pour les rendre visibles qui pose problème.
SEULS LES GENS QUI ONT DES PROBLEMES PERSONNELS ET CEUX QUI AVAIENT DES PRIVILEGES SOUS WADE ET AUSSI CEUX QUI VISENT LE FAUREUIL DU PRESIDENT QUI DISENT QUE DEUK BI DOKHOUL.QUEST CE QUI A CHANGE? AU CONTRAIRE MACKY A
- DIMINUER LES IMPOTS SUR LES SALAIRE
- DIMINUER LES PRIX DES DENREES
- ASSAINIR LA SANTE SURTOUT LA DIALISE ET LA GRATUITE DE CERTAINS SERVICE
- DIMINUER LES COUPURES INTEMPESTIVES DE FACON PROGRESSIVE MEME SI C'EST TOUJOURS D'ACTUALITE
-les salaries continuent toujours à percevoir leurs salaires
pour les inondations les sinistrés beneficient de l'aide de L'ETAT par des logements, des motos pompes etc et des projets visibles pour en finir
-macky est entrain de finir les projets rentables (et je dis bien rentables parce que il y'avait des projets crayaient uniquement pour voler de l'argent de l'ancien regime) et en cree d'autres.
-les problemes avec le secteur educatif sont entrains d'etre solutionnés.
-les voleurs sont entrains d'etre traqués et y'en a qui transigent
-le monde paysans est venu en aide vous n'entendez plus des problemes de bons impayes.la liste est tellement longue que je m'arrete là.MACKY ne fait pas de la politique politicienne.il travaille et il parle moins
ce que vous faites est trop facile et ça ne vous avance pas.il faut aller travailler c'est mieux.
il faut voir ce que tu peux faire pour ton pays et non ce que ton pays peut faire pour toi.prenez l'exemple des confréres africains c'est mieux de manger un bon plat de thiebou dieune accompgnés de leuweul sur un képar et critiquer
macky ndam lay woute ci dekeu bi amna khalis motakh mou dieul premier ministre bankier ko khamni dadiale rek la diangue mouy fekhè ba resultat bi di 1 plus 1 egal 2 mom la macky di woute motakh te lolou amoul ndiarigne ndakh dunud lane begue mou tane ak fekhe ba borom keur yi dundu sans stresse macky defu fi dara
franchement rien né encore avk maky absence total de vision et de courage les gorgorlou pleurent, les diplomés san emploi atendent les 500 mil emploi, les entreprise chuten, l'avenir des étudian hypotéké, des dirigeant incompéten et mu par la recherche du confor.
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14 Commentaires
Beye
En Août, 2013 (01:51 AM)VÉritÉ
En Août, 2013 (02:05 AM)" Une bombe chimiques a la périphérie de la ville "
Risques de catastrophes sur des pipelines de la SAR
Une bombe chimique à la périphérie de la ville
La gazette vendredi 20 janvier 2012
Après le canal de la mort de « Hann-Fann », c’est une partie de la banlieue qui apprend qu’elle est également assise sur une bombe à retardement. Empiétés par des installations anarchiques, quatre vieux pipelines d’évacuation de fuel, kérosène, gasoil… pourraient ainsi causer d’importants dégâts.
C’est une catastrophe de plus qui se profile à l’horizon. La zone industrielle qui abrite parmi les plus anciens pipelines de la société africaine de raffinage (Sar), est aujourd’hui envahie d’installations anarchiques qui mettent gravement en danger la vie des populations dakaroises. Après le collecteur de « Hann-Fann » qui pourrait faire plus de 3000 victimes en cas d’affaissement, c’est au tour de la principale infrastructure d’approvisionnement en hydrocarbures d’inquiéter responsables de la SAR, autorités, populations... Tel un épicentre de tous les dégâts chimiques et écologiques de la capitale, le quartier de Hann est de nouveau le point de départ de ces oléoducs de la SAR qui représentent aujourd’hui une menace réelle sur la santé des populations ainsi que sur l’environnement.
En réalité, il s’agit de quatre pipelines appartenant à la SAR et servant à évacuer du fuel, du kérosène, de l’essence et du butane (hors service ndlr). Ces conduits qui sont enfouis depuis près de 40 ans à une profondeur variant de 80 centimètres à trois mètres, souffrent en effet d’une vétusté. Fortement érodés par le sable, ils peuvent incessamment connaître des fuites de produits pétroliers par endroits. S’y ajoutent que les trafics illicites d’hydrocarbures sur plusieurs points du canal, pourraient précipiter une catastrophe sans précédent.
D’après des éléments scientifiques produits par la direction de la protection civile (DPC), ces pipelines de la Société africaine de raffinage (Sar), par où transitent les hydrocarbures, ont été construits au début des années 1960 et sur une longueur de 15 km allant de Hann Bel-Air à Mbao. Aujourd’hui, ils sont enjambés par des constructions à usage d’habitations, de commerces et d’entreprises.
Comme sur le collecteur de Fann-Hann (Voir l’édition 128 de La Gazette), ces occupations anarchiques qui étouffent les quatre pipelines en question, sont principalement constituées de maisons, commerces, édifices publics etc. Selon les agents de la DPC : « les populations ont occupé toutes les emprises des pipelines. Même une mosquée est construite sur l’itinéraire de ces conduits. Des bouteilles truffées d’essence ou vides remplissent cet espace interlope. Les populations, malgré le danger, développent des activités économiques et allument même du feu, comme pour le séchage du poisson ».
Pourtant, cette bande à la périphérie de la capitale est bien connue comme étant une « zone franche industrielle » et regroupe d’importantes usines chimiques. N’empêche, la poussée démographique au fil des ans a terriblement réduit la distance entre les habitations et des unités industrielles initialement retirées de la ville. Non respect des codes de l’urbanisme et de l’environnement, indiscipline des populations et laxisme des autorités, mènent ainsi à une énième cohabitation hasardeuse avec des risques pouvant s’avérer dramatiques. Conséquence : les risques immédiats relevés par les experts sont une forte pollution de la nappe phréatique et de l’air. De plus, l’enclavement des usines expose les populations à d’énormes risques liés à la santé. Il y a également des menaces d’incendies (en cas de fuites) tout autour de ces pipelines. Les sites les plus exposés sont Thiaroye, Guinaw-Rail, Hann-Bel Air.
Prise de conscience tardive
Comment en est-on arrivé là ? Alors qu’un décret de 1963 du code de l’urbanisme et de l’habitation exige une distance d’au moins 5 mètres de part et d’autre entre les constructions et ce type d’infrastructure. Là également, les populations installées sur l’emprise des pipelines depuis plusieurs années, des décennies pour certaines, ignorent tout du danger avec lequel elles cohabitent depuis tout ce temps.
Pour éviter le pire, le directeur de la protection civile Mare Lô, préconise des mesures urgentes. « Les solutions sont nombreuses et seront de deux ordres. D’abord, il faudra déguerpir certains occupants de l’emprise des pipelines avant de songer à la réhabilitation de l’ouvrage. La faisabilité des deux solutions sera étudiée, ainsi que leur coût économique », a t-il expliqué en marge d’une visite guidée pour sensibiliser autorités et populations. En attendant, une chose est sûre : quelque soit l’option à prendre la note sera forcément très salée et le processus long. Surtout dans un pays où la question des déguerpissements même en situation d’urgence, s’oppose souvent à des intérêts particuliers. Contraintes à la délocalisation, les populations refusent souvent de se soumettre. Pour exemple, les cas de la Senchim (entreprise de fabrication de produits phytosanitaires), de l’émissaire de Cambérène ou encore du collecteur « Hann-Fann » entre autres, posent d’énormes difficultés liées au déguerpissement ou à la délocalisation.
A ce jour, tous ces cas présentent des risques chimiques, écologiques et sanitaires très élevés. Malgré le danger connu de tous, ces problèmes restent en l’état et illustrent à merveille la difficulté pour les autorités de les résoudre. Il est d’autant plus désolant que ces drames ambiants auraient pu être facilement évités.
Ce drame scientifique de plus est hélas à l’image de ce qui se passe tous les jours dans tous les secteurs au Sénégal. Défaut de surveillance et d’entretien courant des infrastructures, la même négligence -souvent fatale- se reproduit sans arrêt.
Toutefois, la question à se poser avec cette « mauvaise surprise », est sans doute : pourquoi les experts attendent-ils toujours qu’on soit aussi proche de l’irréparable pour inquiéter l’opinion publique et alerter des autorités qui ne vont jamais agir à la mesure du danger ?
Tah!
En Août, 2013 (02:10 AM)Aaaaaaaaaaaaaaaa
En Août, 2013 (07:30 AM)Cervel
En Août, 2013 (08:12 AM)Rewmi Dokhoul
En Août, 2013 (09:53 AM)Militant
En Août, 2013 (10:35 AM)Kotch
En Août, 2013 (11:04 AM)- DIMINUER LES IMPOTS SUR LES SALAIRE
- DIMINUER LES PRIX DES DENREES
- ASSAINIR LA SANTE SURTOUT LA DIALISE ET LA GRATUITE DE CERTAINS SERVICE
- DIMINUER LES COUPURES INTEMPESTIVES DE FACON PROGRESSIVE MEME SI C'EST TOUJOURS D'ACTUALITE
-les salaries continuent toujours à percevoir leurs salaires
pour les inondations les sinistrés beneficient de l'aide de L'ETAT par des logements, des motos pompes etc et des projets visibles pour en finir
-macky est entrain de finir les projets rentables (et je dis bien rentables parce que il y'avait des projets crayaient uniquement pour voler de l'argent de l'ancien regime) et en cree d'autres.
-les problemes avec le secteur educatif sont entrains d'etre solutionnés.
-les voleurs sont entrains d'etre traqués et y'en a qui transigent
-le monde paysans est venu en aide vous n'entendez plus des problemes de bons impayes.la liste est tellement longue que je m'arrete là.MACKY ne fait pas de la politique politicienne.il travaille et il parle moins
ce que vous faites est trop facile et ça ne vous avance pas.il faut aller travailler c'est mieux.
il faut voir ce que tu peux faire pour ton pays et non ce que ton pays peut faire pour toi.prenez l'exemple des confréres africains c'est mieux de manger un bon plat de thiebou dieune accompgnés de leuweul sur un képar et critiquer
Kotch
En Août, 2013 (11:08 AM)Passant
En Août, 2013 (12:04 PM)Lod
En Août, 2013 (15:34 PM)Amoulblem
En Août, 2013 (15:35 PM)Resh
En Août, 2013 (16:55 PM)Léral
En Août, 2013 (17:13 PM)Participer à la Discussion