Pas de déclaration, ni d’interview. Il a pris la décision d’être sous boîte vocale. Dans son environnement, la presse n’a pas son mot à dire. Elle est considérée comme « Personna non Grata ». Depuis qu’il a été bombardé directeur général de l’Artp, la fameuse boite à « scandale », Abou Lo, ancien ministre de la Communication, semble « vendre » ses interviews. Impossible de lui tirer le plus petit mot.
D’où le questionnement du journal La Gazette. Dans un grand reportage consacré à l’homme, le magazine essaie de creuser pour comprendre les raisons qui poussent ce ministre de la Communication à ne pas communiquer. Contrairement aux anciens Dg qui avaient de bonnes relations avec la presse, Abou Lo a préféré se « bunkeriser » dans son coin. Il filtre tout.
« Et tout porte à croire que la dernière visite avortée du ministre des TIC obéit à cette logique que le « bronze » s’est assignée », relatent nos confrères qui soutiennent que ce mutisme s’explique par le fait que « ces dix derniers années, des scandales à répétition ont éclaboussé la boîte », sans compter l’arrestation de l’ancien Dg (Ndongo Dio) qui est actuellement en prison.
La Gazette reprend les propos du journal « Libération » et informe que la visite avortée du ministre est à mettre dans cette ligne communicationnelle, celle du mutisme.
Mais jusqu’à quand ? s’interroge le journal. En tout cas, ce qui est sûr, Abou Lo a décidé de ne pas piper mots pour l’instant. Même si La Gazette qui se montre plus au moins réticente, est d'avis que « s’il ne se débarrasse pas des pratiques de ses prédécesseurs, il risque de connaître le même sort ».
13 Commentaires
Vrai
En Février, 2013 (18:17 PM)Non A L'injustice
En Février, 2013 (18:21 PM)Face à l’injustice se défendre devient un droit inaliénable mais aussi face à une injustice exercée sur une personne innocente la défendre un devoir. C’est pourquoi en tant que étudiants de l’UCAD (Université Cheikh Anta DIOP de Dakar), en parfaite collaboration avec les écoles et instituts notamment ITECOM et ENSUD, nous nous sommes levés pour dire NON à l’incarcération arbitraire de l’ex DG de l’ARTP Ndongo DIAO, qui est une personne d’une probité morale irréprochable et ayant beaucoup contribuée au développement de son pays en tant que DG de l’ARTP par le biais d’un chiffres d’affaires de 17 milliards en moyenne par mois.
Aujourd’hui il a été limogé de son poste puis incarcéré injustement par le nouveau régime et sa justice au ordre, qui s’auto glorifie à suffisance d’une rupture déclarative et non réelle. Après huit mois de détention, il est entendu par le juge d’instruction puis par la chambre d’accusation en ces termes rapporté par la presse« en effet selon des sources judiciaires l’avocat général Abdou Karim DIOP, avait rédigé un premier réquisitoire infirmant l’ordonnance du doyen des juges d’instruction, Mawa Sémou DIOUF, qui avait refusé, la liberté provisoire à Ndongo DIAO ». En claire le représentant du parquet général « était disposé à ce que l’ex DG de l’ARTP obtienne la liberté provisoire qu’avaient demandé ses conseils. Un réquisitoire fait bien avant la tenue, vendredi dernier de l’audience devant la chambre d’Accusation. Des sources judiciaires renseignent que ce dit « réquisitoire a été changé en catimini à la dernière minute et remplacé par un autre défavorable à la libération de Ndongo DIAO ».Selon les mêmes sources l’agent judicaire de l’ETAT, représentant la partie civile dans cette affaire a soutenu qu’il ne réclame pas de dommages et intérêts car dit-il « LE DOSSIER EST VIDE », « c’est un non événement » Ce qui lui a valu malheureusement son poste quelques jours après. Mais une « note mystérieuse, venue d’on ne sait ou, transmise à un des magistrats, ainsi qu’un coup de fil, en pleine séance, venu également de l’extérieur ont changé la donne » D’aucun soupçonne la mainmise de la Chancellerie.
A la lumière de toutes ces considérations, ne pensez-vous pas qu’il est temps de dire STOP à L’injustice ? Car un adage disait « L’ORSQUE LE MAL A TOUTES LES AUDACES LA VERITE DOIT AVOIR TOUTES LES COURAGES AFIN D’Y REMEDIER » ? C’est pourquoi en tant que intellectuels et futur dirigeants de ce Pays, nous étudiants de l’UCAD nous disons NON à la détention arbitraire de l’otage politique NDONGO DIAO qui a beaucoup fait pour sa patrie.
Vrai
En Février, 2013 (18:38 PM)Pepes
En Février, 2013 (18:46 PM)@vrai
En Février, 2013 (18:47 PM)Jac
En Février, 2013 (19:01 PM)Etes vous sure de ce que vous avancer? Le problème du senegal c'est le fait d'etre capable de débiter des choses sans qu'on soit sure de la véracité. Qu'en dites vous alors de Karim Wade et cies?
Karime??,
En Février, 2013 (19:29 PM)Nkary
En Février, 2013 (20:11 PM)Au boulot
Justiciabilité
En Février, 2013 (20:56 PM)Injustice
En Février, 2013 (22:14 PM)Face à l’injustice se défendre devient un droit inaliénable mais aussi face à une injustice exercée sur une personne innocente la défendre un devoir. C’est pourquoi en tant que étudiants de l’UCAD (Université Cheikh Anta DIOP de Dakar), en parfaite collaboration avec les écoles et instituts notamment ITECOM et ENSUD, nous nous sommes levés pour dire NON à l’incarcération arbitraire de l’ex DG de l’ARTP Ndongo DIAO, qui est une personne d’une probité morale irréprochable et ayant beaucoup contribuée au développement de son pays en tant que DG de l’ARTP par le biais d’un chiffres d’affaires de 17 milliards en moyenne par mois.
Aujourd’hui il a été limogé de son poste puis incarcéré injustement par le nouveau régime et sa justice au ordre, qui s’auto glorifie à suffisance d’une rupture déclarative et non réelle. Après huit mois de détention, il est entendu par le juge d’instruction puis par la chambre d’accusation en ces termes rapporté par la presse« en effet selon des sources judiciaires l’avocat général Abdou Karim DIOP, avait rédigé un premier réquisitoire infirmant l’ordonnance du doyen des juges d’instruction, Mawa Sémou DIOUF, qui avait refusé, la liberté provisoire à Ndongo DIAO ». En claire le représentant du parquet général « était disposé à ce que l’ex DG de l’ARTP obtienne la liberté provisoire qu’avaient demandé ses conseils. Un réquisitoire fait bien avant la tenue, vendredi dernier de l’audience devant la chambre d’Accusation. Des sources judiciaires renseignent que ce dit « réquisitoire a été changé en catimini à la dernière minute et remplacé par un autre défavorable à la libération de Ndongo DIAO ».Selon les mêmes sources l’agent judicaire de l’ETAT, représentant la partie civile dans cette affaire a soutenu qu’il ne réclame pas de dommages et intérêts car dit-il « LE DOSSIER EST VIDE », « c’est un non événement » Ce qui lui a valu malheureusement son poste quelques jours après. Mais une « note mystérieuse, venue d’on ne sait ou, transmise à un des magistrats, ainsi qu’un coup de fil, en pleine séance, venu également de l’extérieur ont changé la donne » D’aucun soupçonne la mainmise de la Chancellerie.
A la lumière de toutes ces considérations, ne pensez-vous pas qu’il est temps de dire STOP à L’injustice ? Car un adage disait « L’ORSQUE LE MAL A TOUTES LES AUDACES LA VERITE DOIT AVOIR TOUTES LES COURAGES AFIN D’Y REMEDIER » ? C’est pourquoi en tant que intellectuels et futur dirigeants de ce Pays, nous étudiants de l’UCAD nous disons NON à la détention arbitraire de l’otage politique NDONGO DIAO qui a beaucoup fait pour sa patrie.
Deugg Djibna
En Février, 2013 (23:06 PM)Luodba
En Mars, 2013 (08:53 AM)Jeez
En Mars, 2013 (09:26 AM)Participer à la Discussion