Le nouveau directeur général du quotidien national "Le Soleil" a été victime d'un cambriolage à son appartement de la Médina, hier dans l'après-midi alors qu'il assistait à une réunion de l'Apr au King Fahd Palace.
Selon Lobservateur qui donne l'information, les visiteurs n'ont emporté ni argent ni documents, encore moins de matériels.
Des empreintes ont été prélevées par la police scientifique, informe le journaliste.
9 Commentaires
Anonyme
En Février, 2018 (12:00 PM)Mdr
En Février, 2018 (12:51 PM)Anonyme
En Février, 2018 (13:36 PM)Anonyme
En Février, 2018 (14:58 PM)Anonyme
En Février, 2018 (18:26 PM)Ady
En Février, 2018 (20:51 PM)Anonyme
En Février, 2018 (03:13 AM)senegal mo nekh
Anonyme
En Février, 2018 (09:42 AM)La politique est une entreprise financièrement rentable au Sénégal. Le pays est un immense gâteau de chef étoilé à partager entre plus de 300 partis dont 290 vautours n’osant pas voler de leurs propres ailes à une présidentielle car n’ayant ni le quotient électoral, ni la surface financière pour payer la caution, si ce n’est pas le pouvoir qui s’en acquitte à leur place pour berner les masses, astakhfiroullah !, baiser devrais-je dire. Ils se réfugient derrière le nid douillet des coalitions, désertent le terrain politique pour envahir le terrain médiatique et exister par l’unité de bruit ; ni permanence, ni structures, zéro activité. Le récépissé ne sert point à conquérir le suffrage des électeurs, mais c’est un permis de combinazione, de spoliation, de prédation, d’accaparement de ressources sur le dos du Sénégal. La stratégie est simple. Le parti-media dit soutenir l’action du Président de la république en fonction qui lui jette un grand os à ronger rembourré avec fromage : salaire, avantages en nature et espèces garantis durant le mandat.
Si c’est à la veille du premier tour de la présidentielle, il faut faire semblant de se présenter sans en avoir le courage. Aucune consigne et on attend le deuxième tour pour le grand chantage du maître en la matière. Au président sortant qui détient la caisse noire de milliards, il est exigé des frais de campagne. Les soi-disant souteneurs du challenger prétendent que leur soutien est sans condition. De ce fait, ils reçoivent des frais de campagne. Si le challenger passe, c’est le jackpot : rentes assurées durant le mandat du nouvel élu. Le supporter du candidat battu va transhumer par contournement, pour, dit-il, soutenir l’action du Président de la République. Dans tous les cas, les entrepreneurs politiques ne perdent rien de leur investissement et suceront le sang du contribuable sénégalais : salaires, passeport, logement, couverture maladie, parc automobiles, carburant, voyages à l’autre bout du monde. C’est pourquoi les partis yobaléma, altoppé prospèrent. Violence au summum sur le peuple dépouillé ne saurait être plus pernicieuse. Ainsi déguisé, le vol est institutionnalisé et le crime organisé sans porter le nom de camorra ou oser appeler au « legalize it » à propos du yamba de Peter Tosh et du mouvement rastafari. Personne ou peu pour défendre les intérêts supérieurs de la nation orpheline et impunément violée à répétitions sur recommandation juridiquement encadrée. Le seul métier qui vaille est la politique. Inutile de travailler ; point de curriculum-vitae à faire valoir. Le parcours politique prime sur parcours professionnel.
Faites de la politique et toujours de la politique, rien que de la politique, ainsi ventre et bas-ventre sont éternellement satisfaits. Les compétences en politique politicienne payent plus que les compétences pures.
Ah tchim !, tchim mbaye ! transhumance !, appellation d’origine contrôlée de la prostitution politique dans le maquis avec ou sans la carte sanitaire du parti au pouvoir! Et si la proposition de l’ex- Premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye avait abouti, combien d’hommes politiques, pardon, de bêtes en transhumance à la recherche de pâturages d’abord verts-PS, ensuite bleus-PDS, après marron-beige-APR, voulant goinfrer à tous les râteliers, de Senghor à Diouf, en passant par Wade et Macky, seraient fusillés ?
Rage du Sunugal, les politichiens émergent, l’homo-senegalensis s’immerge et se noie mais quand le peuple se réveillera, le monde des politichiens s’effondrera. Donald Trump ne parlera plus de pays de merde. Le rire du nègre bon banania, comme pendant l’époque coloniale, ne se rappellera plus au bon souvenir de l’homo-africanus, risée du monde.
Tuubé Waalo
Anonyme
En Février, 2018 (16:26 PM)le « Soleil », ; « Direct Infos », sous la coupole de l’homme d’affaires Cheikh Amar et du Directeur général du Port autonome de Dakar, Cheikh Kanté ; « L’Observateur »,TFM ou télé falaat Maky, RFM ou radio falaat Maky qui appartiennent à son ministre-conseiller bodio bodio Youssou Ndour ; « Libération », propriété de son secrétaire d’Etat à la Communication, Yakham Mbaye ; « Vox pop» de son allié Bara Tall, leader du mouvement « Yémalé » ; « Le Témoin » sous la coupe de Abdoulaye Bamba Diallo qui est, comme le patron du « Quotidien, Madiambal Diagne, un de ses « journalistes » ; « Rewmi », qui appartient à Mbagnick Diop, le président du Mouvement des entreprises du Sénégal, qui tient à plaire à tous les régimes, « L’As », puisque son Directeur Thierno Talla est le frère du Directeur de la Rts(radio mille collines du senegal) Racine Talla,« L’Enquête » de Mamoudou Wane, la gazette de Abdou Latif Coulibaly, « Libération » du Ministre amadou ba , Assane Diop de RFIn diogou wack seck qui insulte pour maky depuis le journal il est midi
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