Le Crédit mutuel du Sénégal (Cms) de Sahm, à la Médina, est au cœur d'un détournement de 40 millions de Fcfa. Des fonds qui représenteraient, selon Libération qui donne l'information, de l'argent pompé des comptes des clients.
Dans le détail, la mise en cause, Ndèye Ndella Nguirandou Diouf, a d'abord retiré 29,5 millions Fcfa du compte d'Abdou Sarr et 700.000 Fcfa de celui d'Afi/Ud. Elle a aussi procédé à deux opérations de caisse de 5 millions Fcfa.
L'enquête révèle également qu'elle a fait transiter 8 millions sur un compte ouvert par sa collègue Aby Ndiaye, caissière au Cms de Sahm. Cette dernière sera arrêtée par la Division des investigations criminelles (Dic).
Quant au cerveau du détournement, en l'occurrence Ndèye Ndella Nguirandou Diouf, elle a été inculpée et placée sous mandat de dépôt pour détournements de deniers publics, faux et usage de faux, blanchiment de capitaux.
83 Commentaires
Anonyme
En Février, 2019 (07:25 AM)Anonyme
En Février, 2019 (07:34 AM)Anonyme
En Février, 2019 (07:44 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:01 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:19 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:24 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:24 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:24 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:24 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:24 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:24 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:26 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:26 AM)Maxxx
En Février, 2019 (08:44 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:51 AM)Anonyme
En Février, 2019 (08:51 AM)Professionalisme
En Février, 2019 (08:57 AM)Sociaitaire
En Février, 2019 (09:03 AM)Anonym
En Février, 2019 (09:06 AM)Anonym
En Février, 2019 (09:06 AM)Anonym
En Février, 2019 (09:07 AM)Anonym
En Février, 2019 (09:07 AM)Foubés!
En Février, 2019 (09:10 AM)Le CERTAINISME est un cruel HANDICAP cruellement HANDICAPANT!
Certaubs.es.certainement.certains-es.....?
Foulbés!!!
Anonym
En Février, 2019 (09:11 AM)Anonyme
En Février, 2019 (09:14 AM)Anonyme
En Février, 2019 (09:14 AM)Anonyme
En Février, 2019 (09:14 AM)Anonyme
En Février, 2019 (09:14 AM)Anonyme
En Février, 2019 (09:18 AM)Anonyme
En Février, 2019 (09:21 AM)Anonyme
En Février, 2019 (09:43 AM)Anonyme
En Février, 2019 (10:24 AM)Selon un livre à paraître la semaine prochaine, certains des plus hauts dignitaires religieux de l’église catholique romaine qui ont violemment attaqué l’homosexualité sont eux-mêmes homosexuels.
Quatre-vingts pour cent des prêtres qui travaillent au Vatican sont homosexuels, mais pas nécessairement sexuellement actifs, selon le livre In the Closet of the Vatican.
Le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde et je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd’hui plus mixte, il y ait autant d’homos ! » Publié en France le 21 février et simultanément en sept autres langues, Sodoma (Robert Laffont) affiche en couverture un cierge, mais a tout d’une bombe éditoriale. Son auteur, le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel, spécialiste de la question homosexuelle, a enquêté pendant quatre ans au sein du Vatican, mais aussi dans trente pays. L’auteur du Rose et le Noir et de Mainstream a interrogé près de 1 500 personnes, dont 41 cardinaux, 52 évêques et monsignori et 45 nonces apostoliques.
Sur 630 pages, le sociologue décrit ce qu’il nomme « le secret le mieux gardé du Vatican » : l’omniprésence des homosexuels au sommet de l’Église. On connaissait les scandales récents, comme l’arrestation du prêtre Luigi Capozzi, organisateur d’orgies chimiques dans son appartement du Vatican, ou les ahurissantes allégations en août dernier de monseigneur Vigano, accusant, entre autres, le pape d’avoir couvert les abus sexuels de l’ancien cardinal Theodore McCarrick. On savait aussi que le pape François multipliait les attaques à peine voilées contre les « rigides qui mènent une double vie ».
Mais Frédéric Martel entend mettre au jour tout un système, non pas un « lobby gay » comme on l’entend souvent, mais presque une normalité. Selon lui, « l’homosexualité s’étend à mesure que l’on s’approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d’homosexuels lorsqu’on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l’homosexualité devient la règle, l’hétérosexualité l’exception. » Il affirme qu’une autre règle contre-intuitive, mais « qui se vérifie presque toujours », est que les prélats qui tiennent les discours les plus homophobes et traditionnels sur le plan des mœurs s’avèrent eux-mêmes en privé homosexuels ou homophiles, étant ces fameux « rigides » hypocrites dénoncés par François.
Dans un épilogue bouleversant, l’écrivain révèle que le prêtre de sa jeunesse, du côté d’Avignon, est mort du sida dans les années 1990, abandonné par l’Église. Citant Rimbaud (« Je n’aime pas les femmes. L’amour est à réinventer »), il assure que certains résidents du Vatican ont, du fait des contraintes du célibat, réinventé leurs amours, un vieux cardinal vivant avec « son beau-frère » ou beaucoup d’autres avec leur secrétaire privé. Frédéric Martel dit d’ailleurs sa sympathie pour nombre de prélats « dans le placard » qu’il a rencontrés, même les plus conservateurs.
L’objectif de ce journaliste gay est donc de forcer le Vatican à faire son coming out et à rejoindre la grande croisade sidaïque contre l’homme blanc hétérosexuel avec toute la force des autels de la Chrétienté.
Anonyme
En Février, 2019 (10:24 AM)Selon un livre à paraître la semaine prochaine, certains des plus hauts dignitaires religieux de l’église catholique romaine qui ont violemment attaqué l’homosexualité sont eux-mêmes homosexuels.
Quatre-vingts pour cent des prêtres qui travaillent au Vatican sont homosexuels, mais pas nécessairement sexuellement actifs, selon le livre In the Closet of the Vatican.
Le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde et je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd’hui plus mixte, il y ait autant d’homos ! » Publié en France le 21 février et simultanément en sept autres langues, Sodoma (Robert Laffont) affiche en couverture un cierge, mais a tout d’une bombe éditoriale. Son auteur, le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel, spécialiste de la question homosexuelle, a enquêté pendant quatre ans au sein du Vatican, mais aussi dans trente pays. L’auteur du Rose et le Noir et de Mainstream a interrogé près de 1 500 personnes, dont 41 cardinaux, 52 évêques et monsignori et 45 nonces apostoliques.
Sur 630 pages, le sociologue décrit ce qu’il nomme « le secret le mieux gardé du Vatican » : l’omniprésence des homosexuels au sommet de l’Église. On connaissait les scandales récents, comme l’arrestation du prêtre Luigi Capozzi, organisateur d’orgies chimiques dans son appartement du Vatican, ou les ahurissantes allégations en août dernier de monseigneur Vigano, accusant, entre autres, le pape d’avoir couvert les abus sexuels de l’ancien cardinal Theodore McCarrick. On savait aussi que le pape François multipliait les attaques à peine voilées contre les « rigides qui mènent une double vie ».
Mais Frédéric Martel entend mettre au jour tout un système, non pas un « lobby gay » comme on l’entend souvent, mais presque une normalité. Selon lui, « l’homosexualité s’étend à mesure que l’on s’approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d’homosexuels lorsqu’on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l’homosexualité devient la règle, l’hétérosexualité l’exception. » Il affirme qu’une autre règle contre-intuitive, mais « qui se vérifie presque toujours », est que les prélats qui tiennent les discours les plus homophobes et traditionnels sur le plan des mœurs s’avèrent eux-mêmes en privé homosexuels ou homophiles, étant ces fameux « rigides » hypocrites dénoncés par François.
Dans un épilogue bouleversant, l’écrivain révèle que le prêtre de sa jeunesse, du côté d’Avignon, est mort du sida dans les années 1990, abandonné par l’Église. Citant Rimbaud (« Je n’aime pas les femmes. L’amour est à réinventer »), il assure que certains résidents du Vatican ont, du fait des contraintes du célibat, réinventé leurs amours, un vieux cardinal vivant avec « son beau-frère » ou beaucoup d’autres avec leur secrétaire privé. Frédéric Martel dit d’ailleurs sa sympathie pour nombre de prélats « dans le placard » qu’il a rencontrés, même les plus conservateurs.
L’objectif de ce journaliste gay est donc de forcer le Vatican à faire son coming out et à rejoindre la grande croisade sidaïque contre l’homme blanc hétérosexuel avec toute la force des autels de la Chrétienté.
Anonyme
En Février, 2019 (10:24 AM)Selon un livre à paraître la semaine prochaine, certains des plus hauts dignitaires religieux de l’église catholique romaine qui ont violemment attaqué l’homosexualité sont eux-mêmes homosexuels.
Quatre-vingts pour cent des prêtres qui travaillent au Vatican sont homosexuels, mais pas nécessairement sexuellement actifs, selon le livre In the Closet of the Vatican.
Le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde et je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd’hui plus mixte, il y ait autant d’homos ! » Publié en France le 21 février et simultanément en sept autres langues, Sodoma (Robert Laffont) affiche en couverture un cierge, mais a tout d’une bombe éditoriale. Son auteur, le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel, spécialiste de la question homosexuelle, a enquêté pendant quatre ans au sein du Vatican, mais aussi dans trente pays. L’auteur du Rose et le Noir et de Mainstream a interrogé près de 1 500 personnes, dont 41 cardinaux, 52 évêques et monsignori et 45 nonces apostoliques.
Sur 630 pages, le sociologue décrit ce qu’il nomme « le secret le mieux gardé du Vatican » : l’omniprésence des homosexuels au sommet de l’Église. On connaissait les scandales récents, comme l’arrestation du prêtre Luigi Capozzi, organisateur d’orgies chimiques dans son appartement du Vatican, ou les ahurissantes allégations en août dernier de monseigneur Vigano, accusant, entre autres, le pape d’avoir couvert les abus sexuels de l’ancien cardinal Theodore McCarrick. On savait aussi que le pape François multipliait les attaques à peine voilées contre les « rigides qui mènent une double vie ».
Mais Frédéric Martel entend mettre au jour tout un système, non pas un « lobby gay » comme on l’entend souvent, mais presque une normalité. Selon lui, « l’homosexualité s’étend à mesure que l’on s’approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d’homosexuels lorsqu’on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l’homosexualité devient la règle, l’hétérosexualité l’exception. » Il affirme qu’une autre règle contre-intuitive, mais « qui se vérifie presque toujours », est que les prélats qui tiennent les discours les plus homophobes et traditionnels sur le plan des mœurs s’avèrent eux-mêmes en privé homosexuels ou homophiles, étant ces fameux « rigides » hypocrites dénoncés par François.
Dans un épilogue bouleversant, l’écrivain révèle que le prêtre de sa jeunesse, du côté d’Avignon, est mort du sida dans les années 1990, abandonné par l’Église. Citant Rimbaud (« Je n’aime pas les femmes. L’amour est à réinventer »), il assure que certains résidents du Vatican ont, du fait des contraintes du célibat, réinventé leurs amours, un vieux cardinal vivant avec « son beau-frère » ou beaucoup d’autres avec leur secrétaire privé. Frédéric Martel dit d’ailleurs sa sympathie pour nombre de prélats « dans le placard » qu’il a rencontrés, même les plus conservateurs.
L’objectif de ce journaliste gay est donc de forcer le Vatican à faire son coming out et à rejoindre la grande croisade sidaïque contre l’homme blanc hétérosexuel avec toute la force des autels de la Chrétienté.
Anonyme
En Février, 2019 (10:24 AM)Selon un livre à paraître la semaine prochaine, certains des plus hauts dignitaires religieux de l’église catholique romaine qui ont violemment attaqué l’homosexualité sont eux-mêmes homosexuels.
Quatre-vingts pour cent des prêtres qui travaillent au Vatican sont homosexuels, mais pas nécessairement sexuellement actifs, selon le livre In the Closet of the Vatican.
Le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde et je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd’hui plus mixte, il y ait autant d’homos ! » Publié en France le 21 février et simultanément en sept autres langues, Sodoma (Robert Laffont) affiche en couverture un cierge, mais a tout d’une bombe éditoriale. Son auteur, le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel, spécialiste de la question homosexuelle, a enquêté pendant quatre ans au sein du Vatican, mais aussi dans trente pays. L’auteur du Rose et le Noir et de Mainstream a interrogé près de 1 500 personnes, dont 41 cardinaux, 52 évêques et monsignori et 45 nonces apostoliques.
Sur 630 pages, le sociologue décrit ce qu’il nomme « le secret le mieux gardé du Vatican » : l’omniprésence des homosexuels au sommet de l’Église. On connaissait les scandales récents, comme l’arrestation du prêtre Luigi Capozzi, organisateur d’orgies chimiques dans son appartement du Vatican, ou les ahurissantes allégations en août dernier de monseigneur Vigano, accusant, entre autres, le pape d’avoir couvert les abus sexuels de l’ancien cardinal Theodore McCarrick. On savait aussi que le pape François multipliait les attaques à peine voilées contre les « rigides qui mènent une double vie ».
Mais Frédéric Martel entend mettre au jour tout un système, non pas un « lobby gay » comme on l’entend souvent, mais presque une normalité. Selon lui, « l’homosexualité s’étend à mesure que l’on s’approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d’homosexuels lorsqu’on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l’homosexualité devient la règle, l’hétérosexualité l’exception. » Il affirme qu’une autre règle contre-intuitive, mais « qui se vérifie presque toujours », est que les prélats qui tiennent les discours les plus homophobes et traditionnels sur le plan des mœurs s’avèrent eux-mêmes en privé homosexuels ou homophiles, étant ces fameux « rigides » hypocrites dénoncés par François.
Dans un épilogue bouleversant, l’écrivain révèle que le prêtre de sa jeunesse, du côté d’Avignon, est mort du sida dans les années 1990, abandonné par l’Église. Citant Rimbaud (« Je n’aime pas les femmes. L’amour est à réinventer »), il assure que certains résidents du Vatican ont, du fait des contraintes du célibat, réinventé leurs amours, un vieux cardinal vivant avec « son beau-frère » ou beaucoup d’autres avec leur secrétaire privé. Frédéric Martel dit d’ailleurs sa sympathie pour nombre de prélats « dans le placard » qu’il a rencontrés, même les plus conservateurs.
L’objectif de ce journaliste gay est donc de forcer le Vatican à faire son coming out et à rejoindre la grande croisade sidaïque contre l’homme blanc hétérosexuel avec toute la force des autels de la Chrétienté.
Anonyme
En Février, 2019 (10:26 AM)Anonymeg
En Février, 2019 (10:29 AM)Selon un livre à paraître la semaine prochaine, certains des plus hauts dignitaires religieux de l’église catholique romaine qui ont violemment attaqué l’homosexualité sont eux-mêmes homosexuels.
Quatre-vingts pour cent des prêtres qui travaillent au Vatican sont homosexuels, mais pas nécessairement sexuellement actifs, selon le livre In the Closet of the Vatican.
Le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde et je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd’hui plus mixte, il y ait autant d’homos ! » Publié en France le 21 février et simultanément en sept autres langues, Sodoma (Robert Laffont) affiche en couverture un cierge, mais a tout d’une bombe éditoriale. Son auteur, le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel, spécialiste de la question homosexuelle, a enquêté pendant quatre ans au sein du Vatican, mais aussi dans trente pays. L’auteur du Rose et le Noir et de Mainstream a interrogé près de 1 500 personnes, dont 41 cardinaux, 52 évêques et monsignori et 45 nonces apostoliques.
Sur 630 pages, le sociologue décrit ce qu’il nomme « le secret le mieux gardé du Vatican » : l’omniprésence des homosexuels au sommet de l’Église. On connaissait les scandales récents, comme l’arrestation du prêtre Luigi Capozzi, organisateur d’orgies chimiques dans son appartement du Vatican, ou les ahurissantes allégations en août dernier de monseigneur Vigano, accusant, entre autres, le pape d’avoir couvert les abus sexuels de l’ancien cardinal Theodore McCarrick. On savait aussi que le pape François multipliait les attaques à peine voilées contre les « rigides qui mènent une double vie ».
Mais Frédéric Martel entend mettre au jour tout un système, non pas un « lobby gay » comme on l’entend souvent, mais presque une normalité. Selon lui, « l’homosexualité s’étend à mesure que l’on s’approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d’homosexuels lorsqu’on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l’homosexualité devient la règle, l’hétérosexualité l’exception. » Il affirme qu’une autre règle contre-intuitive, mais « qui se vérifie presque toujours », est que les prélats qui tiennent les discours les plus homophobes et traditionnels sur le plan des mœurs s’avèrent eux-mêmes en privé homosexuels ou homophiles, étant ces fameux « rigides » hypocrites dénoncés par François.
Dans un épilogue bouleversant, l’écrivain révèle que le prêtre de sa jeunesse, du côté d’Avignon, est mort du sida dans les années 1990, abandonné par l’Église. Citant Rimbaud (« Je n’aime pas les femmes. L’amour est à réinventer »), il assure que certains résidents du Vatican ont, du fait des contraintes du célibat, réinventé leurs amours, un vieux cardinal vivant avec « son beau-frère » ou beaucoup d’autres avec leur secrétaire privé. Frédéric Martel dit d’ailleurs sa sympathie pour nombre de prélats « dans le placard » qu’il a rencontrés, même les plus conservateurs.
L’objectif de ce journaliste gay est donc de forcer le Vatican à faire son coming out et à rejoindre la grande croisade sidaïque contre l’homme blanc hétérosexuel avec toute la force des autels de la Chrétienté.
Anonymeg
En Février, 2019 (10:29 AM)Selon un livre à paraître la semaine prochaine, certains des plus hauts dignitaires religieux de l’église catholique romaine qui ont violemment attaqué l’homosexualité sont eux-mêmes homosexuels.
Quatre-vingts pour cent des prêtres qui travaillent au Vatican sont homosexuels, mais pas nécessairement sexuellement actifs, selon le livre In the Closet of the Vatican.
Le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde et je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd’hui plus mixte, il y ait autant d’homos ! » Publié en France le 21 février et simultanément en sept autres langues, Sodoma (Robert Laffont) affiche en couverture un cierge, mais a tout d’une bombe éditoriale. Son auteur, le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel, spécialiste de la question homosexuelle, a enquêté pendant quatre ans au sein du Vatican, mais aussi dans trente pays. L’auteur du Rose et le Noir et de Mainstream a interrogé près de 1 500 personnes, dont 41 cardinaux, 52 évêques et monsignori et 45 nonces apostoliques.
Sur 630 pages, le sociologue décrit ce qu’il nomme « le secret le mieux gardé du Vatican » : l’omniprésence des homosexuels au sommet de l’Église. On connaissait les scandales récents, comme l’arrestation du prêtre Luigi Capozzi, organisateur d’orgies chimiques dans son appartement du Vatican, ou les ahurissantes allégations en août dernier de monseigneur Vigano, accusant, entre autres, le pape d’avoir couvert les abus sexuels de l’ancien cardinal Theodore McCarrick. On savait aussi que le pape François multipliait les attaques à peine voilées contre les « rigides qui mènent une double vie ».
Mais Frédéric Martel entend mettre au jour tout un système, non pas un « lobby gay » comme on l’entend souvent, mais presque une normalité. Selon lui, « l’homosexualité s’étend à mesure que l’on s’approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d’homosexuels lorsqu’on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l’homosexualité devient la règle, l’hétérosexualité l’exception. » Il affirme qu’une autre règle contre-intuitive, mais « qui se vérifie presque toujours », est que les prélats qui tiennent les discours les plus homophobes et traditionnels sur le plan des mœurs s’avèrent eux-mêmes en privé homosexuels ou homophiles, étant ces fameux « rigides » hypocrites dénoncés par François.
Dans un épilogue bouleversant, l’écrivain révèle que le prêtre de sa jeunesse, du côté d’Avignon, est mort du sida dans les années 1990, abandonné par l’Église. Citant Rimbaud (« Je n’aime pas les femmes. L’amour est à réinventer »), il assure que certains résidents du Vatican ont, du fait des contraintes du célibat, réinventé leurs amours, un vieux cardinal vivant avec « son beau-frère » ou beaucoup d’autres avec leur secrétaire privé. Frédéric Martel dit d’ailleurs sa sympathie pour nombre de prélats « dans le placard » qu’il a rencontrés, même les plus conservateurs.
L’objectif de ce journaliste gay est donc de forcer le Vatican à faire son coming out et à rejoindre la grande croisade sidaïque contre l’homme blanc hétérosexuel avec toute la force des autels de la Chrétienté.
Anonymeg
En Février, 2019 (10:29 AM)Selon un livre à paraître la semaine prochaine, certains des plus hauts dignitaires religieux de l’église catholique romaine qui ont violemment attaqué l’homosexualité sont eux-mêmes homosexuels.
Quatre-vingts pour cent des prêtres qui travaillent au Vatican sont homosexuels, mais pas nécessairement sexuellement actifs, selon le livre In the Closet of the Vatican.
Le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde et je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd’hui plus mixte, il y ait autant d’homos ! » Publié en France le 21 février et simultanément en sept autres langues, Sodoma (Robert Laffont) affiche en couverture un cierge, mais a tout d’une bombe éditoriale. Son auteur, le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel, spécialiste de la question homosexuelle, a enquêté pendant quatre ans au sein du Vatican, mais aussi dans trente pays. L’auteur du Rose et le Noir et de Mainstream a interrogé près de 1 500 personnes, dont 41 cardinaux, 52 évêques et monsignori et 45 nonces apostoliques.
Sur 630 pages, le sociologue décrit ce qu’il nomme « le secret le mieux gardé du Vatican » : l’omniprésence des homosexuels au sommet de l’Église. On connaissait les scandales récents, comme l’arrestation du prêtre Luigi Capozzi, organisateur d’orgies chimiques dans son appartement du Vatican, ou les ahurissantes allégations en août dernier de monseigneur Vigano, accusant, entre autres, le pape d’avoir couvert les abus sexuels de l’ancien cardinal Theodore McCarrick. On savait aussi que le pape François multipliait les attaques à peine voilées contre les « rigides qui mènent une double vie ».
Mais Frédéric Martel entend mettre au jour tout un système, non pas un « lobby gay » comme on l’entend souvent, mais presque une normalité. Selon lui, « l’homosexualité s’étend à mesure que l’on s’approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d’homosexuels lorsqu’on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l’homosexualité devient la règle, l’hétérosexualité l’exception. » Il affirme qu’une autre règle contre-intuitive, mais « qui se vérifie presque toujours », est que les prélats qui tiennent les discours les plus homophobes et traditionnels sur le plan des mœurs s’avèrent eux-mêmes en privé homosexuels ou homophiles, étant ces fameux « rigides » hypocrites dénoncés par François.
Dans un épilogue bouleversant, l’écrivain révèle que le prêtre de sa jeunesse, du côté d’Avignon, est mort du sida dans les années 1990, abandonné par l’Église. Citant Rimbaud (« Je n’aime pas les femmes. L’amour est à réinventer »), il assure que certains résidents du Vatican ont, du fait des contraintes du célibat, réinventé leurs amours, un vieux cardinal vivant avec « son beau-frère » ou beaucoup d’autres avec leur secrétaire privé. Frédéric Martel dit d’ailleurs sa sympathie pour nombre de prélats « dans le placard » qu’il a rencontrés, même les plus conservateurs.
L’objectif de ce journaliste gay est donc de forcer le Vatican à faire son coming out et à rejoindre la grande croisade sidaïque contre l’homme blanc hétérosexuel avec toute la force des autels de la Chrétienté.
Anonymeg
En Février, 2019 (10:29 AM)Selon un livre à paraître la semaine prochaine, certains des plus hauts dignitaires religieux de l’église catholique romaine qui ont violemment attaqué l’homosexualité sont eux-mêmes homosexuels.
Quatre-vingts pour cent des prêtres qui travaillent au Vatican sont homosexuels, mais pas nécessairement sexuellement actifs, selon le livre In the Closet of the Vatican.
Le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde et je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd’hui plus mixte, il y ait autant d’homos ! » Publié en France le 21 février et simultanément en sept autres langues, Sodoma (Robert Laffont) affiche en couverture un cierge, mais a tout d’une bombe éditoriale. Son auteur, le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel, spécialiste de la question homosexuelle, a enquêté pendant quatre ans au sein du Vatican, mais aussi dans trente pays. L’auteur du Rose et le Noir et de Mainstream a interrogé près de 1 500 personnes, dont 41 cardinaux, 52 évêques et monsignori et 45 nonces apostoliques.
Sur 630 pages, le sociologue décrit ce qu’il nomme « le secret le mieux gardé du Vatican » : l’omniprésence des homosexuels au sommet de l’Église. On connaissait les scandales récents, comme l’arrestation du prêtre Luigi Capozzi, organisateur d’orgies chimiques dans son appartement du Vatican, ou les ahurissantes allégations en août dernier de monseigneur Vigano, accusant, entre autres, le pape d’avoir couvert les abus sexuels de l’ancien cardinal Theodore McCarrick. On savait aussi que le pape François multipliait les attaques à peine voilées contre les « rigides qui mènent une double vie ».
Mais Frédéric Martel entend mettre au jour tout un système, non pas un « lobby gay » comme on l’entend souvent, mais presque une normalité. Selon lui, « l’homosexualité s’étend à mesure que l’on s’approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d’homosexuels lorsqu’on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l’homosexualité devient la règle, l’hétérosexualité l’exception. » Il affirme qu’une autre règle contre-intuitive, mais « qui se vérifie presque toujours », est que les prélats qui tiennent les discours les plus homophobes et traditionnels sur le plan des mœurs s’avèrent eux-mêmes en privé homosexuels ou homophiles, étant ces fameux « rigides » hypocrites dénoncés par François.
Dans un épilogue bouleversant, l’écrivain révèle que le prêtre de sa jeunesse, du côté d’Avignon, est mort du sida dans les années 1990, abandonné par l’Église. Citant Rimbaud (« Je n’aime pas les femmes. L’amour est à réinventer »), il assure que certains résidents du Vatican ont, du fait des contraintes du célibat, réinventé leurs amours, un vieux cardinal vivant avec « son beau-frère » ou beaucoup d’autres avec leur secrétaire privé. Frédéric Martel dit d’ailleurs sa sympathie pour nombre de prélats « dans le placard » qu’il a rencontrés, même les plus conservateurs.
L’objectif de ce journaliste gay est donc de forcer le Vatican à faire son coming out et à rejoindre la grande croisade sidaïque contre l’homme blanc hétérosexuel avec toute la force des autels de la Chrétienté.
Anonymeg
En Février, 2019 (10:29 AM)Selon un livre à paraître la semaine prochaine, certains des plus hauts dignitaires religieux de l’église catholique romaine qui ont violemment attaqué l’homosexualité sont eux-mêmes homosexuels.
Quatre-vingts pour cent des prêtres qui travaillent au Vatican sont homosexuels, mais pas nécessairement sexuellement actifs, selon le livre In the Closet of the Vatican.
Le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde et je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd’hui plus mixte, il y ait autant d’homos ! » Publié en France le 21 février et simultanément en sept autres langues, Sodoma (Robert Laffont) affiche en couverture un cierge, mais a tout d’une bombe éditoriale. Son auteur, le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel, spécialiste de la question homosexuelle, a enquêté pendant quatre ans au sein du Vatican, mais aussi dans trente pays. L’auteur du Rose et le Noir et de Mainstream a interrogé près de 1 500 personnes, dont 41 cardinaux, 52 évêques et monsignori et 45 nonces apostoliques.
Sur 630 pages, le sociologue décrit ce qu’il nomme « le secret le mieux gardé du Vatican » : l’omniprésence des homosexuels au sommet de l’Église. On connaissait les scandales récents, comme l’arrestation du prêtre Luigi Capozzi, organisateur d’orgies chimiques dans son appartement du Vatican, ou les ahurissantes allégations en août dernier de monseigneur Vigano, accusant, entre autres, le pape d’avoir couvert les abus sexuels de l’ancien cardinal Theodore McCarrick. On savait aussi que le pape François multipliait les attaques à peine voilées contre les « rigides qui mènent une double vie ».
Mais Frédéric Martel entend mettre au jour tout un système, non pas un « lobby gay » comme on l’entend souvent, mais presque une normalité. Selon lui, « l’homosexualité s’étend à mesure que l’on s’approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d’homosexuels lorsqu’on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l’homosexualité devient la règle, l’hétérosexualité l’exception. » Il affirme qu’une autre règle contre-intuitive, mais « qui se vérifie presque toujours », est que les prélats qui tiennent les discours les plus homophobes et traditionnels sur le plan des mœurs s’avèrent eux-mêmes en privé homosexuels ou homophiles, étant ces fameux « rigides » hypocrites dénoncés par François.
Dans un épilogue bouleversant, l’écrivain révèle que le prêtre de sa jeunesse, du côté d’Avignon, est mort du sida dans les années 1990, abandonné par l’Église. Citant Rimbaud (« Je n’aime pas les femmes. L’amour est à réinventer »), il assure que certains résidents du Vatican ont, du fait des contraintes du célibat, réinventé leurs amours, un vieux cardinal vivant avec « son beau-frère » ou beaucoup d’autres avec leur secrétaire privé. Frédéric Martel dit d’ailleurs sa sympathie pour nombre de prélats « dans le placard » qu’il a rencontrés, même les plus conservateurs.
L’objectif de ce journaliste gay est donc de forcer le Vatican à faire son coming out et à rejoindre la grande croisade sidaïque contre l’homme blanc hétérosexuel avec toute la force des autels de la Chrétienté.
Anonymeg
En Février, 2019 (10:29 AM)Selon un livre à paraître la semaine prochaine, certains des plus hauts dignitaires religieux de l’église catholique romaine qui ont violemment attaqué l’homosexualité sont eux-mêmes homosexuels.
Quatre-vingts pour cent des prêtres qui travaillent au Vatican sont homosexuels, mais pas nécessairement sexuellement actifs, selon le livre In the Closet of the Vatican.
Le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde et je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd’hui plus mixte, il y ait autant d’homos ! » Publié en France le 21 février et simultanément en sept autres langues, Sodoma (Robert Laffont) affiche en couverture un cierge, mais a tout d’une bombe éditoriale. Son auteur, le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel, spécialiste de la question homosexuelle, a enquêté pendant quatre ans au sein du Vatican, mais aussi dans trente pays. L’auteur du Rose et le Noir et de Mainstream a interrogé près de 1 500 personnes, dont 41 cardinaux, 52 évêques et monsignori et 45 nonces apostoliques.
Sur 630 pages, le sociologue décrit ce qu’il nomme « le secret le mieux gardé du Vatican » : l’omniprésence des homosexuels au sommet de l’Église. On connaissait les scandales récents, comme l’arrestation du prêtre Luigi Capozzi, organisateur d’orgies chimiques dans son appartement du Vatican, ou les ahurissantes allégations en août dernier de monseigneur Vigano, accusant, entre autres, le pape d’avoir couvert les abus sexuels de l’ancien cardinal Theodore McCarrick. On savait aussi que le pape François multipliait les attaques à peine voilées contre les « rigides qui mènent une double vie ».
Mais Frédéric Martel entend mettre au jour tout un système, non pas un « lobby gay » comme on l’entend souvent, mais presque une normalité. Selon lui, « l’homosexualité s’étend à mesure que l’on s’approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d’homosexuels lorsqu’on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l’homosexualité devient la règle, l’hétérosexualité l’exception. » Il affirme qu’une autre règle contre-intuitive, mais « qui se vérifie presque toujours », est que les prélats qui tiennent les discours les plus homophobes et traditionnels sur le plan des mœurs s’avèrent eux-mêmes en privé homosexuels ou homophiles, étant ces fameux « rigides » hypocrites dénoncés par François.
Dans un épilogue bouleversant, l’écrivain révèle que le prêtre de sa jeunesse, du côté d’Avignon, est mort du sida dans les années 1990, abandonné par l’Église. Citant Rimbaud (« Je n’aime pas les femmes. L’amour est à réinventer »), il assure que certains résidents du Vatican ont, du fait des contraintes du célibat, réinventé leurs amours, un vieux cardinal vivant avec « son beau-frère » ou beaucoup d’autres avec leur secrétaire privé. Frédéric Martel dit d’ailleurs sa sympathie pour nombre de prélats « dans le placard » qu’il a rencontrés, même les plus conservateurs.
L’objectif de ce journaliste gay est donc de forcer le Vatican à faire son coming out et à rejoindre la grande croisade sidaïque contre l’homme blanc hétérosexuel avec toute la force des autels de la Chrétienté.
Anonyme
En Février, 2019 (10:29 AM)Anonymeg
En Février, 2019 (10:29 AM)Selon un livre à paraître la semaine prochaine, certains des plus hauts dignitaires religieux de l’église catholique romaine qui ont violemment attaqué l’homosexualité sont eux-mêmes homosexuels.
Quatre-vingts pour cent des prêtres qui travaillent au Vatican sont homosexuels, mais pas nécessairement sexuellement actifs, selon le livre In the Closet of the Vatican.
Le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde et je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd’hui plus mixte, il y ait autant d’homos ! » Publié en France le 21 février et simultanément en sept autres langues, Sodoma (Robert Laffont) affiche en couverture un cierge, mais a tout d’une bombe éditoriale. Son auteur, le journaliste, chercheur et écrivain Frédéric Martel, spécialiste de la question homosexuelle, a enquêté pendant quatre ans au sein du Vatican, mais aussi dans trente pays. L’auteur du Rose et le Noir et de Mainstream a interrogé près de 1 500 personnes, dont 41 cardinaux, 52 évêques et monsignori et 45 nonces apostoliques.
Sur 630 pages, le sociologue décrit ce qu’il nomme « le secret le mieux gardé du Vatican » : l’omniprésence des homosexuels au sommet de l’Église. On connaissait les scandales récents, comme l’arrestation du prêtre Luigi Capozzi, organisateur d’orgies chimiques dans son appartement du Vatican, ou les ahurissantes allégations en août dernier de monseigneur Vigano, accusant, entre autres, le pape d’avoir couvert les abus sexuels de l’ancien cardinal Theodore McCarrick. On savait aussi que le pape François multipliait les attaques à peine voilées contre les « rigides qui mènent une double vie ».
Mais Frédéric Martel entend mettre au jour tout un système, non pas un « lobby gay » comme on l’entend souvent, mais presque une normalité. Selon lui, « l’homosexualité s’étend à mesure que l’on s’approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d’homosexuels lorsqu’on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l’homosexualité devient la règle, l’hétérosexualité l’exception. » Il affirme qu’une autre règle contre-intuitive, mais « qui se vérifie presque toujours », est que les prélats qui tiennent les discours les plus homophobes et traditionnels sur le plan des mœurs s’avèrent eux-mêmes en privé homosexuels ou homophiles, étant ces fameux « rigides » hypocrites dénoncés par François.
Dans un épilogue bouleversant, l’écrivain révèle que le prêtre de sa jeunesse, du côté d’Avignon, est mort du sida dans les années 1990, abandonné par l’Église. Citant Rimbaud (« Je n’aime pas les femmes. L’amour est à réinventer »), il assure que certains résidents du Vatican ont, du fait des contraintes du célibat, réinventé leurs amours, un vieux cardinal vivant avec « son beau-frère » ou beaucoup d’autres avec leur secrétaire privé. Frédéric Martel dit d’ailleurs sa sympathie pour nombre de prélats « dans le placard » qu’il a rencontrés, même les plus conservateurs.
L’objectif de ce journaliste gay est donc de forcer le Vatican à faire son coming out et à rejoindre la grande croisade sidaïque contre l’homme blanc hétérosexuel avec toute la force des autels de la Chrétienté.
Anonyme
En Février, 2019 (10:33 AM)Anonyme
En Février, 2019 (10:37 AM)Anonyme
En Février, 2019 (10:44 AM)Jack
En Février, 2019 (10:52 AM)Anonyme
En Février, 2019 (11:02 AM)Anonyme
En Février, 2019 (11:02 AM)Anonyme
En Février, 2019 (11:21 AM)Anonyme
En Février, 2019 (11:21 AM)Le Veridique
En Février, 2019 (11:27 AM)Le Veridique
En Février, 2019 (11:27 AM)Le Veridique
En Février, 2019 (11:27 AM)Le Veridique
En Février, 2019 (11:27 AM)Le Veridique
En Février, 2019 (11:27 AM)Le Veridique
En Février, 2019 (11:27 AM)Le Veridique
En Février, 2019 (11:27 AM)Le Veridique
En Février, 2019 (11:27 AM)Le Veridique
En Février, 2019 (11:27 AM)Anonyme
En Février, 2019 (11:31 AM)Anonyme
En Février, 2019 (11:32 AM)Anonyme
En Février, 2019 (11:47 AM)beaucoup de citoyens ne pourront pas voter car sur leur carte c'est écrit "NON INSCRIT" alors qu'ils étaient bien inscrit.C'est là où se trouve toute l'INJUSTICE.
je demande: Pourquoi avoir imprimé des cartes CIN où les uns peuvent voter et d'autres pas;
les mentions "NE PEUT PAS VOTER" ou "NON INSCRIT" ne doivent nullement figurer sur une carte d'identité nationale.
J'AI HONTE, l'un des premiers qualités d'un président de la république est LA LOYAUTE
Anonymenndeye Sathi Presume
En Février, 2019 (12:58 PM)ah les femmes le parraitre mo lenn sonal nekk caissier mais beug diayy affaire vip chez toi tu te dis banquier di frimer avec largent d'autrui
dommage les femmes nio gueuneu am fitt legui quoi
cest triste alal mbolo alal diambour boul lall tres chere ndeye tu fais la honte de ta famille ton quartier ton pays et les femmes
Diola Yen
En Février, 2019 (16:05 PM)Oumou
En Février, 2019 (20:52 PM)Anonyme
En Février, 2019 (22:34 PM)Anonyme
En Février, 2019 (23:10 PM)J'ai quelques sous que (j'ai gagnés avec beaucoup de peines) dans une banque de la place. Mais la façon dont la gestionnaire les gère me donne des frissons et m'empêche de dormir.
Anonyme
En Février, 2019 (00:52 AM)Anonyme
En Février, 2019 (00:52 AM)Anonyme
En Février, 2019 (00:52 AM)Anonyme
En Février, 2019 (02:55 AM)Anonyme
En Février, 2019 (07:24 AM)Anonyme
En Février, 2019 (07:24 AM)Anonyme
En Février, 2019 (07:24 AM)Anonyme
En Février, 2019 (10:37 AM)Anonyme
En Février, 2019 (10:56 AM)Anonyme
En Février, 2019 (11:53 AM)Anonyme
En Février, 2019 (15:28 PM)Participer à la Discussion