
Extraits choisis de Franc Maçonnerie Magazine - Janvier - Février 2012 :
Vestige du colonialisme, repaire de corrompus, pépinère de dictateurs, la franc-maçonnerie africaine, presque entièrement aux mains des pouvoirs, bafoue au quotidien les idéaux maçonniques de justice, de liberté et de tolérance qui devraient être ceux de frans-maçons libres dans des loges libres. Constat amer pour un continent où malgré les efforts désespérés d’une poignée de frères idéalistes, des fils de lumière dévoyés organisés en caste, se servent de leur appartenance pour maintenir leurs privilèges et étouffer les peuples sous un épais manteau de ténèbres.
Jean Moïse Braitberg – Franc Maçonnerie Magazine Janvier – Février 2012
« J’ai peur que si un jour on assiste à un « printemps africain », les francs-maçons ne soient les premières victimes de la colère populaire ».
Un membre africain du GODF.
« Qu’il y ait eu par la suite des dévoiements, ce n’est pas propre à l’Afrique ni à la franc-maçonnerie. Cela ne déshonore pas la franc-maçonnerie africaine dans son ensemble. Je pense au contraire que la franc-maçonnerie peut servir de tremplin au développement des valeurs démocratiques et humanistes sur le continent ».
Jean Marie Bockel, ancien secrétaire d’Etat à la Coopération.
« Au Gabon ou au Congo on ne peut pas espérer avoir un poste si l'on n'est pas initié ».
Antoine Glaser
« Les conférences nationales ont échoué partout où les loges étaient tenues en laisse par la France ».
« En Afrique, aujourd’hui, une minorité de francs-maçons gardent secrète leur appartenance parce qu’ils ont honte qu’on les confondent avec les persécuteurs et les pillards ».
Jean Moïse Braitberg - Franc Maçonnerie Magazine Janvier – Février 2012
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