
Le coup d’Etat survenu, hier, en Guinée Bissau s’expliquerait par la découverte d’un accord secret signé par le Premier ministre Carlos Gomes Junior et le président par intérim Raimondo Preira.
On en sait aujourd’hui plus sur le coup d’Etat du jeudi 12 avril en Guinée Bissau au cours duquel, les putchistes ont attaqué la résidence du candidat du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée Bissau et du Cap -Vert (Paigc) Carlos Gomes Junior, par ailleurs Premier ministre et du président par intérim Raimondo Preira, qui, auparavant, présidait l’Assemblée nationale.
Les militaires bissau-guinéens ont expliqué, sur Rfi, que le Premier ministre et le président par intérim auraient passé un accord secret avec l'Angola aux fins d’intervention en cas de crise. La présence d'une mission militaire angolaise à Bissau était devenue la pomme de discorde entre les autorités politiques et l'armée bissau-guinéenne qui réclamait ouvertement son départ.
Le président par intérim de Guinée-Bissau, Raimondo Pereira, a été arrêté jeudi soir 12 avril à sa résidence par des militaires. Le Premier ministre sortant Carlos Gomes Junior, candidat au second tour de la présidentielle du 29 avril, dont la résidence a été attaquée au même moment, est également détenu par l'armée. Les militaires ont depuis bouclé le centre-ville et pris position dans les rues. L'état-major affirme dans un communiqué ce vendredi 13 avril au matin que l'armée a voulu «dénoncer» un accord militaire secret conclu, selon elle, par le Premier ministre, le président intérimaire et l'Angola.
Les Etats-Unis ont réclamé ce vendredi, par le canal de leur ambassade à Dakar, le retour d'un pouvoir civil en Guinée-Bissau. La Cedeao, la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest a par ailleurs condamné ce «coup de force» dans un pays très instable, où les rumeurs de putsch se faisaient insistantes à l'approche du second tour de la présidentielle.
Le premier tour de l’élection présidentielle a été vivement contesté par l'opposition, notamment le Parti pour la rénovation sociale de Koumba Yala.
On en sait aujourd’hui plus sur le coup d’Etat du jeudi 12 avril en Guinée Bissau au cours duquel, les putchistes ont attaqué la résidence du candidat du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée Bissau et du Cap -Vert (Paigc) Carlos Gomes Junior, par ailleurs Premier ministre et du président par intérim Raimondo Preira, qui, auparavant, présidait l’Assemblée nationale.
Les militaires bissau-guinéens ont expliqué, sur Rfi, que le Premier ministre et le président par intérim auraient passé un accord secret avec l'Angola aux fins d’intervention en cas de crise. La présence d'une mission militaire angolaise à Bissau était devenue la pomme de discorde entre les autorités politiques et l'armée bissau-guinéenne qui réclamait ouvertement son départ.
Le président par intérim de Guinée-Bissau, Raimondo Pereira, a été arrêté jeudi soir 12 avril à sa résidence par des militaires. Le Premier ministre sortant Carlos Gomes Junior, candidat au second tour de la présidentielle du 29 avril, dont la résidence a été attaquée au même moment, est également détenu par l'armée. Les militaires ont depuis bouclé le centre-ville et pris position dans les rues. L'état-major affirme dans un communiqué ce vendredi 13 avril au matin que l'armée a voulu «dénoncer» un accord militaire secret conclu, selon elle, par le Premier ministre, le président intérimaire et l'Angola.
Les Etats-Unis ont réclamé ce vendredi, par le canal de leur ambassade à Dakar, le retour d'un pouvoir civil en Guinée-Bissau. La Cedeao, la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest a par ailleurs condamné ce «coup de force» dans un pays très instable, où les rumeurs de putsch se faisaient insistantes à l'approche du second tour de la présidentielle.
Le premier tour de l’élection présidentielle a été vivement contesté par l'opposition, notamment le Parti pour la rénovation sociale de Koumba Yala.
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