Une enquête passionnante réalisée par Echourouk TV révèle des talents algériens qui ont brillé, chacun dans son domaine, par des inventions révolutionnaires mais ignorées par les pouvoirs publics.
Parmi les inventeurs, il y a un médecin ayant conçu un médicament pour soulager les malades atteints d’ichtyose, une dystrophie cutanée congénitale très douloureuse. Toufik Zaibit, de son nom, se dit fier de pouvoir atténuer les souffrances des enfants atteints de cette maladie grâce au traitement qu’il a inventé. « Je n’ai pas besoin d’argent ou de reconnaissance. Ma récompense est de voir le sourire de mes malades », déclare-t-il fièrement.
Un architecte a conçu une nouvelle méthode pour construire une maison en un mois. Il a construit des bâtisses au Danemark, au Chili et au Mexique où, souligne-t-il, sévissent des tremblements de terre de 9 sur l’échelle de Richter. Pourtant, en Algérie nous n’avons presque jamais entendu parler de ce talent qui profite à d’autres. Un autre inventeur de Bordj Bou Arriridj se rappelle comment il a été accueilli par les responsables de Sonatrach quand il leur a présenté son invention: un puits réduit pour calculer les caractéristiques physiques de la pierre petroleum. « Dégage est un mot tellement facile à prononcer par nos responsables », raconte Bilel Talbi.
Nafissa Benmebarek est, pour sa part, une chimiste et une inventrice dans le monde de la santé, qui étudie actuellement la formule chimique d’un médicament en mesure de prévenir le sida. L’inventrice raconte comment le ministère de la Santé et les laboratoires pharmaceutiques ont ignoré ses recherches. Se tournant vers l’étranger, précisément l’Allemagne la chercheuse a reçu un accord favorable et sa thèse est actuellement étudiée par les plus grands chercheurs sur le VIH.
L’enquête est un hommage à tous les inventeurs et talents algériens qui se tournent, en dernier recours, vers l’Occident pour s’imposer et faire profiter l’humanité de leur génie au moment où leur pays les ignore.
Parmi les inventeurs, il y a un médecin ayant conçu un médicament pour soulager les malades atteints d’ichtyose, une dystrophie cutanée congénitale très douloureuse. Toufik Zaibit, de son nom, se dit fier de pouvoir atténuer les souffrances des enfants atteints de cette maladie grâce au traitement qu’il a inventé. « Je n’ai pas besoin d’argent ou de reconnaissance. Ma récompense est de voir le sourire de mes malades », déclare-t-il fièrement.
Un architecte a conçu une nouvelle méthode pour construire une maison en un mois. Il a construit des bâtisses au Danemark, au Chili et au Mexique où, souligne-t-il, sévissent des tremblements de terre de 9 sur l’échelle de Richter. Pourtant, en Algérie nous n’avons presque jamais entendu parler de ce talent qui profite à d’autres. Un autre inventeur de Bordj Bou Arriridj se rappelle comment il a été accueilli par les responsables de Sonatrach quand il leur a présenté son invention: un puits réduit pour calculer les caractéristiques physiques de la pierre petroleum. « Dégage est un mot tellement facile à prononcer par nos responsables », raconte Bilel Talbi.
Nafissa Benmebarek est, pour sa part, une chimiste et une inventrice dans le monde de la santé, qui étudie actuellement la formule chimique d’un médicament en mesure de prévenir le sida. L’inventrice raconte comment le ministère de la Santé et les laboratoires pharmaceutiques ont ignoré ses recherches. Se tournant vers l’étranger, précisément l’Allemagne la chercheuse a reçu un accord favorable et sa thèse est actuellement étudiée par les plus grands chercheurs sur le VIH.
L’enquête est un hommage à tous les inventeurs et talents algériens qui se tournent, en dernier recours, vers l’Occident pour s’imposer et faire profiter l’humanité de leur génie au moment où leur pays les ignore.
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