Le président gambien devrait surveiller ses arrières. Après les condamnations multiples et mouvements de protestations contre les exécutions de prisonniers condamnés à mort, il est à craindre « un automne à Banjul » où le président Yaha Jammeh, persiste et signe, dans sa décision d'appliquer la peine capitale.
« Jammeh dégage ! »
Un Conseil national de transition : l’idée est en train de germer dans la tête de certaines personnalités influentes en Gambie et à l’étranger. Opposées toutes, à la dictature du président Yahya Jammeh, arrivé au pouvoir après un coup d’Etat le 22 juillet 1994. Le voir finir comme Moubarak, Ben Ali ou encore Kadhafi, emportés tous par le printemps arabe, c’est le vœu le plus cher formulé par certains ressortissants gambien au lendemain des manifestations et protestations dans la diaspora, Europe, Etats-Unis, Dakar, entre autres. Le départ du président gambien, est plus que « Jammeh » évoqué dans les discours.
Si à Dakar le président sénégalais Macky Sall a vivement interpelé les organismes de défense des droits de l’homme et réclamé des sanctions contre Banjul après les exécutions de prisonniers dont deux ressortissants sénégalais, à Paris, la diaspora gambienne réclame le départ de Jammeh, ce qui passe nécessairement, selon elle, par la mise en place d’un Conseil national de transition, comme en Libye. En France en tout cas, l’idée du conseil national, est en train de prendre forme.
Un Conseil national de transition : l’idée est en train de germer dans la tête de certaines personnalités influentes en Gambie et à l’étranger. Opposées toutes, à la dictature du président Yahya Jammeh, arrivé au pouvoir après un coup d’Etat le 22 juillet 1994. Le voir finir comme Moubarak, Ben Ali ou encore Kadhafi, emportés tous par le printemps arabe, c’est le vœu le plus cher formulé par certains ressortissants gambien au lendemain des manifestations et protestations dans la diaspora, Europe, Etats-Unis, Dakar, entre autres. Le départ du président gambien, est plus que « Jammeh » évoqué dans les discours.
Si à Dakar le président sénégalais Macky Sall a vivement interpelé les organismes de défense des droits de l’homme et réclamé des sanctions contre Banjul après les exécutions de prisonniers dont deux ressortissants sénégalais, à Paris, la diaspora gambienne réclame le départ de Jammeh, ce qui passe nécessairement, selon elle, par la mise en place d’un Conseil national de transition, comme en Libye. En France en tout cas, l’idée du conseil national, est en train de prendre forme.
« La transition en Gambie est inévitable »
Né à Paris en 1979 et diplômé de l’université de Versailles St-Quentin en Yvelines, Sheikh Sidia Bayo, chef d’entreprise, expert et consultant en gaz et pétrole, compte tout mettre en œuvre, avec l’aide de ses compatriotes pour faire partir Jammeh. Le jeune leader rêve d’un soulèvement populaire comme en Egypte, en Tunisie ou en Libye où les populations ont payé au prix fort les départs de leurs présidents. Suffisant pour lui d’appuyer « les Gambiens de tous bord », qui « sont en train de s’organiser pour unifier leurs actions en vue de déstabiliser le régime de Jammeh », explique-t-il dans les colonnes de Libération (Dakar). Pour ce faire, Sheikh Sidia Bayo préconise « de lourdes sanctions extérieures, qui pèseront lourd sur Jammeh, et qui vont l’asphyxier de tout bord et pousser les populations gambiennes à exprimer ouvertement leur colère et leur ras-le-bol. »
Sheikh Sidia Bayo reste convaincu que « la transition en Gambie est inévitable, et les fils de la Gambie tout entière sont en train d’y travailler (politiciens, corps militaire, société civile, etc.) pour une Gambie émergente, démocratique et républicaine ».
En attendant le « Jammeh dégage ! », et l’écho que le peule gambien donnera au futur Conseil national de transition, il va falloir, bien évidemment, à Sheikh Sidia Bayo et aux siens, défier Jammeh sur le terrain, à Banjul.
Né à Paris en 1979 et diplômé de l’université de Versailles St-Quentin en Yvelines, Sheikh Sidia Bayo, chef d’entreprise, expert et consultant en gaz et pétrole, compte tout mettre en œuvre, avec l’aide de ses compatriotes pour faire partir Jammeh. Le jeune leader rêve d’un soulèvement populaire comme en Egypte, en Tunisie ou en Libye où les populations ont payé au prix fort les départs de leurs présidents. Suffisant pour lui d’appuyer « les Gambiens de tous bord », qui « sont en train de s’organiser pour unifier leurs actions en vue de déstabiliser le régime de Jammeh », explique-t-il dans les colonnes de Libération (Dakar). Pour ce faire, Sheikh Sidia Bayo préconise « de lourdes sanctions extérieures, qui pèseront lourd sur Jammeh, et qui vont l’asphyxier de tout bord et pousser les populations gambiennes à exprimer ouvertement leur colère et leur ras-le-bol. »
Sheikh Sidia Bayo reste convaincu que « la transition en Gambie est inévitable, et les fils de la Gambie tout entière sont en train d’y travailler (politiciens, corps militaire, société civile, etc.) pour une Gambie émergente, démocratique et républicaine ».
En attendant le « Jammeh dégage ! », et l’écho que le peule gambien donnera au futur Conseil national de transition, il va falloir, bien évidemment, à Sheikh Sidia Bayo et aux siens, défier Jammeh sur le terrain, à Banjul.
27 Commentaires
Casamance
En Septembre, 2012 (12:28 PM)Les Supers Lundis
En Septembre, 2012 (12:29 PM)Adja
En Septembre, 2012 (12:32 PM)Pis
En Septembre, 2012 (12:38 PM)ce qu'on voit avec le Cameroun. La Gambie comme Etat, c'est insensé !
Rata
En Septembre, 2012 (12:43 PM)Yaya
En Septembre, 2012 (12:46 PM)Lawson
En Septembre, 2012 (12:49 PM)Ok
En Septembre, 2012 (12:53 PM)Comment un pays peut être dans un autre pays?? INSENSE...
Diatoo
En Septembre, 2012 (13:11 PM)Mbatio
En Septembre, 2012 (13:17 PM)Yaya
En Septembre, 2012 (13:25 PM)Zed Dead
En Septembre, 2012 (13:27 PM)Rismatanne
En Septembre, 2012 (13:34 PM)Eldo
En Septembre, 2012 (13:39 PM)Au moment où la presse faisait leur promenade déontologique pour vérifier l'authenticité du communiqué ,les forces de résistances patriotiques Gambiennes étaient consternée par cette sortie inopportune faisant le portrait d'un menteur acerbe qui se présente comme un chef d'entreprise française et ancien conseiller du leader de l'opposition Ousseynou Dabo .
En effet SIDYA BAYO est le fils d'un ressortissant Gambien ne comme il le dit lui même en France ,il est bien élégant ,intelligent ,ruse et très connu dans ,les grands hôtels et boîtes de nuit françaises comme tout bon Taximan de métier qu'il est .
Depuis 2011 il sillonne l'Europe exhibant ses prises de vue avec de grands hommes d'affaires de l'hexagone pour mieux infiltrer les mouvements de résistance Gambiennes .
Sidya travaille pour les services secrets de JAMMEH ,pour preuve il est très connu dans les milieux d'homosexuels Français où il pavanait comme une bouteille de champagne avec l'ancien charge d'affaire et ambassadeur Gambien à Paris Moses Jallow ,il est toujours dans l'entourage de Zeinab Jammeh ,la femme de Yayah Jammeh quand cette dernière visite la France .
La semaine dernière il a fait circuler une liste de gouvernement intérimaire avec des Gambiens exilés et d'autres qui vivent encore sur le sol Gambien pour donner à Jammeh un prétexte d'arreter ces innocents et ainsi dévier l'attention du monde entier sur ses pratiques criminelles .
Une liste que nous refusons de rendre public compte tenu de la sensibilité du document cette période est favorable pour Jammeh pour semer la zizanie et déstabiliser le moral très haut des Gambiens qui exigent sa punition et son départ.
Dans nos prochaines livraisons nous ferons un portrait global sur cet escroc itinérant qui a été déjà file par les RG sénégalais .
La photo publiée nous le montre ici avec le fils de Sarkozy qu'il déclare être un confident .
Saa
En Septembre, 2012 (13:44 PM)Wadee
En Septembre, 2012 (13:51 PM)Mercus
En Septembre, 2012 (14:00 PM)Souleymanegaye7
En Septembre, 2012 (14:17 PM)Serigne Bi
En Septembre, 2012 (14:36 PM).aaaron
En Septembre, 2012 (15:16 PM)ah aussi dormir comme si ils ont tous ete piqué par la mouche tse tse
Afrique
En Septembre, 2012 (15:18 PM)Yatt
En Septembre, 2012 (15:40 PM)Arrêtez de rêver !!!
Pensez-vous que sans ressources naturelles (pétrole, or diamant, tungstène, uranium etc...) les occidentaux, organisateurs des rebellions contre des régimes qui freinent leurs boulimies, vont soutenir matériellement ceux qu'ils considèrent comme "2 chauves et 3 tondus" ?
Ne "suicidez" pas les pauvres gambiens !
WASSALAM.
Tounksg4
En Septembre, 2012 (16:04 PM)Deug
En Septembre, 2012 (16:15 PM)Tounksg4
En Septembre, 2012 (16:19 PM)Jammeh Out
En Septembre, 2012 (22:31 PM)Djiby
En Septembre, 2012 (07:24 AM)A l'heure ou la Senegambie est en peril, le Journaliste Mboup sort un article brossant le portrait de S.s.Bayo comme un agent de Jammeh, c delirant quand on sait que Mr Bayo est le petit fils de l'ancien ministre de Sir dawda Jawara, sherif Ceesay... Il vient d'une famille noble, et les révélations de ce journaliste sont fausses car tous les gambiens savent que Sheikh Bayo ne peut se rendre en Gambie depuis les dernières manifestations de la diaspora gambienne en France, j'y étais avec tous les gambiens, en face de l'ambassade de Gambie, à Paris, c'est un jeune africain rare dans son espèce, il s'est engagé pour son pays d'origine alors qu'il avait d'autres choix étant né et grandi à Paris, il est vrai également qui l'est très proche du chef de l'opposition, Oussaynou Darboe depuis des années, Mr Mboup fait partie d'un groupe d'opposants gambiens exilé, frustrés et jaloux de l'étoile de Sheikh BAYO...Il présidera la Gambie car il a le charisme, l'expérience des hommes et il est aimé de toute la diaspora gambienne et également à l'intérieur de la Gambie... C'est un changement générationel dont l'Afrique a besoin pour avoir sa place dans le monde et se faire respecter, Mr Sheikh Bayo va lancer cette génération africaine, inchallah...
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