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L'opposition a appelé à des manifestations pacifiques pour protester contre la volonté du pouvoir de modifier la loi électorale.
De nouvelles élections présidentielles seront organisées le 26 octobre après l'annulation du scrutin du 8 août par la cour suprême.
Le candidat de l'opposition Raila Odinga a dénoncé l'initiative du parti au pouvoir d'amender la loi électorale.
Selon lui, il s'agit d'une attaque contre la démocratie et la Constitution.
M. Odinga a appelé ses compatriotes "à résister à la tentative de ramener le Kenya à l'époque de la dictature du parti unique"
Lundi ses partisans s'étaient rassemblés devant la Commission électorale (IEBC) à Nairobi, pour exiger la démission d'une partie des membres de ladite commission que l'opposition accuse d'être partiale.
Parmi les changements il y a une disposition qui prévoit que les résultats enregistrés manuellement priment sur ceux envoyés électroniquement.
Ce qui signifie un retour à un scrutin manuel comme ce fut le cas avant 2007, estime le candidat de l'opposition.
Un autre point de l'amendement prévoit que le président de la commission électorale peut être remplacé en cas d'absence par son vice-président.
Ces ajustements sont proposés alors que pouvoir et opposition ont ouvert des discussions avec l'IEBC pour tenter d'aplanir les divergences pour une bonne préparation de l'élection présidentielle du 26 octobre.
2 Commentaires
Anonymeafricain
En Septembre, 2017 (18:51 PM)Niit Doff
En Septembre, 2017 (21:40 PM)Je me demande comment nous sommes arrivés à ce stade de désintéressement de nos dirigeants à la bonne formation de l’avenir de notre pays. Que nous apporte la Turquie de Erdogan jusqu’à ce que le Président Macky Sall, le Premier ministre B A Dionne et le Ministre de l’éducation nationale Sérigne Mbaye Thiam veulent sacrifier l’avenir de milliers d’enfant sénégalais innocents. Pourtant les services politico-stratégiques sénégalais doivent savoir que la Turquie de Erdogan n’est pas viable, car la Turquie de Erdogan risque de finir comme la syrie. Déjà sur le plan économique, ce pays est en chute libre. La turquie est de plus en plus isolée sur la scène internationale. D’ici quelques mois la guerre contre les kurdes va reprendre de plus belle, car les kurdes (irakiens, turques et syriens) vont accélérer la création de leur état.
Nos dirigeants ont-ils oublié cette règle élémentaire qui veut qu’un pays n’ait pas d’amis et n’a que des intérêts. L’intérêt immédiat que peut tirer nos dirigeants sur cette affaire vaut-il l’anéantissement de l’excellent cursus scolaire qu’aurait pu avoir ces milliers d’enfant sénégalais ? Je ne le crois pas, car la vraie richesse du Sénégal réside dans la qualité de ses ressources humaines.
Chers dirigeants, (Président Macky Sall, Premier ministre B A Dionne, et Ministre de l’éducation nationale Sérigne Mbaye Thiam), on vous a confié notre Sénégal pour que vous défendiez nos intérêts, nous sénégalais, et pas vos intérêts, ni ceux d’un fou dictateur sanguinaire turc.
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