
Trente et une personnes sont mortes et dix ont été blessées, dont certaines grièvement, lorsqu'un car transportant des voyageurs allant au Burkina Faso est tombé d'un pont mardi dans le sud-est du Mali, a indiqué le ministère des Transports.
"Un car (...) transportant des Maliens et des ressortissants de la sous région, (qui) quittait Kéniéba pour le Burkina Faso, s’est renversé du pont. La cause probable est la non maitrise du véhicule par le conducteur", dit un communiqué.
L'accident s'est produit aux environ de 17h00 (locales et GMT) sur le pont traversant le fleuve Bagoé de la route nationale n°7, précisément sur la section Niéna-Koumantou, précise le ministère.
La prise en charge des victimes est en cours, poursuit-il, invitant "les chauffeurs et conducteurs routiers à faire preuve de vigilance et de prudence en adoptant un comportement responsable et citoyen".
Un autre accident a tué quinze personnes et fait 46 blessés il y a huit jours après la collision d'un car et d'un camion dans le centre.
Les accidents de la route sont fréquents au Mali et sont généralement dus au mauvais état des routes et des véhicules, et à des défaillances humaines.
5 Commentaires
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En Février, 2024 (22:56 PM)Amagaara
En Février, 2024 (09:49 AM)Bonjour;
Condoléances aux familles des victimes. La sécurité s'est améliorée au Mali en réalité. Souvenez des attaques de l'Hôtel Radisson et du campement Kangaba. Ce n'est pas une question de museler la presse, Bamako n'a plus connu d'attaque depuis le départ de Barkhane, c'est un fait. Bazoum disait que Ménaka allait tomber depuis 2022 et le ministre français des armées a précisé au sénat que le Mali allait se diviser en plusieurs morceaux et peint tout en noir, comme ils l'ont fait en Lybie. La réalité est que Ménaka n'est pas occupée par les djihadistes, Bamako qu'ils disaient encerclé se débrouille bien et bref, l'insécurité est une réalité mais nous sommes très loin des attaques de nos camps militaires avec des dizaines de morts ou des villages attaqués en faisant des centaines de morts.
La fin justifie les moyens, le changement de partenaire n'est pas un crime. L'approche occidentale face au terrorisme ne marche pas. Le cas de l'Afghanistan est une illustration. Les milliards investis en Afghanistan ont servi à quoi? Barkhane faisait tout sauf sécuriser le Mali. Imaginez qu’ils estiment Wagner à 1 000 hommes au Mali. Et si 1000 agents de Wagner sans avions remplacent 5 100 militaires français sans compter Takuba et Minusma, vous vous rendez compte que le changement était nécessaire. L'Afrique ira mieux si les Africains se donnent la main et entre nous, nous pouvons nous orienter nous aider mais sans être à la solde de Macron qui se permet de convoquer nos présidents à Pau, qui insulte qui il veut et quand il veut mais pour quel apport concret?
Oui, le partenariat doit être évalué. Pour vous vendre un hélico, on vous fait du chantage et on impose toutes les conditions du monde. De 2012 à 2020, aucun hélico n’a pu être acquis avec les français. Pourquoi ? Au même moment, les djihadistes se retrouvent avec toutes les armes du monde. Toujours démocratie, droit de l’homme….
Pourquoi ils ne parlent de droit de l’homme à l’Arabie saoudite qui fait pire au Yémen, pourquoi ils ne parlent pas de démocratie à Déby fils. est il plus démocraique que Goita du Mali? A l’étape actuelle, le partenariat avec la France n’est pas bénéfique pour l’Afrique.
Imaginez combien de multinationales françaises au Sénégal, combien apportent-ils en réalité au Sénégal ? Elles paient même leurs impôts en France pour la plupart. Le partenariat doit être évalué sans complaisance et l’Afrique doit dire son mot.
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En Février, 2024 (08:14 AM)Participer à la Discussion