
Suite à ce que l'armée mauritanienne a qualifié de " tirs amis " sur le président Abdel Aziz, l'officier, un lieutenant, en faction sur le deuxième check-point, et, officiellement, à l'origine des tirs, avait été arrêté. Le journal Libération nous apprend qu'un autre officier, présent sur le premier check-point, avait aussi été mis aux arrêts. Ce serait lui qui aurait averti qu'un véhicule banalisé venait de refuser de s'arrêter au niveau du check-point. Ce qui aurait obligé son collègue à ouvrir le feu sur la voiture (banalisée) du président mauritanien et sur celle de son garde du corps qui suivait à bonne distance. Rappelons que le président Mohamed ould Abdel Aziz était en villégiatures (sic !) à 50 km de la capitale Nouakchott. Il est actuellement hospitalisé en France.
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