
Ce dernier soutient que cette mesure est de l’intérêt même de Cellou Dalein Diallo, au vu ‘’des velléités de représailles des deux bords’’. C’est donc pour éviter, dit-il, le scénario à la rwandaise que l’Etat a pris les devants.
Seulement, le ministre semble accuser le camp de l’opposant de vouloir installer le chaos.
« Nous connaissons le plan machiavélique du camp d’en face : c’est de nous amener dans des scénarios d’atteinte à l’intégrité physique d’une personnalité politique pour qu’on crie à des violences à relent ethnique », accuse-t-il.
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