M. Embalo a exprimé son indignation lors d'un rassemblement populaire à Ondame, dans la région de Biombo, après avoir conseillé à José Mario Vaz de quitter la course présidentielle et de le soutenir, car "la chaîne de commandement de la Jomav a déraillé".
Selon lui, la souveraineté guinéenne risquait d'être violée, car la CEDEAO adopte une position préjudiciable à la situation de la Guinée-Bissau, contrairement à ce qu'elle fait dans d'autres États membres comme la Guinée-Conakry "où des civils sont tués dans la rue".
L'ancien Premier ministre Bissau-Guinéen Umaro Sissoco Embalo avec Macron, Bongo et Mouhamed 6 à Abidjan en 2017, au sommet UA-UE
L'homme politique estime que le bureau du procureur général et la Cour suprême ne devaient pas rester silencieux face à l'ingérence de la CEDEAO dans les affaires intérieures de l'Etat et à la violation totale de la Constitution de la République de Guinée-Bissau.
Il a tout de même assuré qu'en dépit de la décision de la CEDEAO, José Mario Vaz ne sera pas lésé par qui que ce soit.
Le candidat du Madem G-15 s'est aussi pris à Domingos Simoes Pereira (candidat à la présidence du parti au pouvoir) qu'il a accusé d'inciter à la discorde entre Guinéens.
Pour terminer, M. Embalo a salué la décision de Faustino Fudut Imbali de démissionner de son poste de Premier ministre.
Le candidat du Madem G-15 s'est aussi pris à Domingos Simoes Pereira (candidat à la présidence du parti au pouvoir) qu'il a accusé d'inciter à la discorde entre Guinéens.
Pour terminer, M. Embalo a salué la décision de Faustino Fudut Imbali de démissionner de son poste de Premier ministre.
0 Commentaires
Participer à la Discussion