Selon des informations, relayées par la presse, le Gouvernement du Sénégal aurait l’intention d’acquérir du matériel roulant ferroviaire en provenance d’Indonésie.
Le ministre délégué chargé du développement du Réseau ferroviaire tient à préciser qu’il a bien reçu son Excellence, l’Ambassadeur d’Indonésie au Sénégal qui était accompagné de représentants de l’entreprise indonésienne de matériels ferroviaires PT.Inka.
Au cours de cette audience, le Ministre délégué a promis de transmettre les offres de cette entreprise à Dakar Bamako ferroviaire et d’en rendre compte au Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement.
A aucun moment il n’a été question d’une quelconque décision d’achat de matériel roulant par le Sénégal. Il convient, à cet égard, de préciser que l’acquisition de matériels ferroviaires par l’Etat obéit à des procédures spécifiques, nécessitant l’approbation préalable du Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, et l’instruction du dossier par les services du Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, en accord avec les orientations définies par les plus hautes autorités.
Abdou Ndéné Sall
18 Commentaires
Mouvement Yi
En Février, 2018 (12:09 PM)Anonyme
En Février, 2018 (13:30 PM)Quand colonisation tu nous tiens
Anonyme
En Février, 2018 (18:50 PM)«Ceux qui parlaient d’éléphants blancs doivent faire profil blanc ». C’est du moins l’avis de Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué Chargé du Développement du réseau ferroviaire. il a déclaré que 600 mètres de rail ont déjà été posés et le Train Express régional (TEr) sera livré précisément le lundi 4 janvier 2019. il a par ailleurs annoncé le début des travaux de réhabilitation du chemin de fer entre Dakar et Bamako.
«Il faut être maintenant sourd, muet et aveugle pour assimiler le projet du Train Express Régional (Ter) à un éléphant blanc». C’est la conviction exprimée ce weekend à Tivaouane par Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué chargé du développement du réseau ferroviaire, à l’occasion du 7e anniversaire de l’artiste musicien Gora Awa Niang.
Selon lui, 600 mètres de rail sont déjà posés et le Train Express Régional commencera effectivement à siffler à Dakar en 2019 après livraison des travaux le lundi 4 janvier 2019. A l’en croire les entreprises impliquées dans la réalisation du projet sont à pied d’œuvre pour que cet objectif soit atteint. Il ajoute qu’avec le TER, le nombre de passagers passera de 17.000 à 115.000 et il s’agit d’un système de transport ancré dans la régularité.
A ce sujet, Abdou Ndéné Sall révèle qu’il y aura un train toutes les 15 minutes, avec la combinaison de la vitesse et de la fiabilité. Il renseigne que déjà 15 trains sont acquis pour la première phase et à terme il est attendu un parc de 22 trains. Il s’agit de rames composées de 4 compartiments de 500 places chacun soit 2000 voyageurs par rame. « Pour l’amélioration de la mobilité urbaine entre Dakar et sa Banlieue, puis entre Dakar et Diamniadio et Dakar-Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), le Président de la République Macky a imaginé ce système de transport rapide, sur la base d’un diagnostic profond de la situation actuelle.
En effet, Dakar qui occupe 0,3% de la superficie nationale, concentre le quart de la population du pays. Il s’y ajoute 40.000 nouvelles immatriculations chaque année en ce qui concerne les véhicules. C’est pourquoi la ville étouffe, parce que souffrant d’un problème structurel énorme», dit-il. C’est fort de ce constat dit-il, que le Chef de l’Etat est allé d’abord dans le sens de la création de pôles urbains dont celui de Diamniadio où seront transférées certains activités économiques et administratives comme le parc industriel avec ses 10.000 emplois, les ministères techniques avec 10.000 fonctionnaires.
Anonyme
En Février, 2018 (18:50 PM)«Ceux qui parlaient d’éléphants blancs doivent faire profil blanc ». C’est du moins l’avis de Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué Chargé du Développement du réseau ferroviaire. il a déclaré que 600 mètres de rail ont déjà été posés et le Train Express régional (TEr) sera livré précisément le lundi 4 janvier 2019. il a par ailleurs annoncé le début des travaux de réhabilitation du chemin de fer entre Dakar et Bamako.
«Il faut être maintenant sourd, muet et aveugle pour assimiler le projet du Train Express Régional (Ter) à un éléphant blanc». C’est la conviction exprimée ce weekend à Tivaouane par Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué chargé du développement du réseau ferroviaire, à l’occasion du 7e anniversaire de l’artiste musicien Gora Awa Niang.
Selon lui, 600 mètres de rail sont déjà posés et le Train Express Régional commencera effectivement à siffler à Dakar en 2019 après livraison des travaux le lundi 4 janvier 2019. A l’en croire les entreprises impliquées dans la réalisation du projet sont à pied d’œuvre pour que cet objectif soit atteint. Il ajoute qu’avec le TER, le nombre de passagers passera de 17.000 à 115.000 et il s’agit d’un système de transport ancré dans la régularité.
A ce sujet, Abdou Ndéné Sall révèle qu’il y aura un train toutes les 15 minutes, avec la combinaison de la vitesse et de la fiabilité. Il renseigne que déjà 15 trains sont acquis pour la première phase et à terme il est attendu un parc de 22 trains. Il s’agit de rames composées de 4 compartiments de 500 places chacun soit 2000 voyageurs par rame. « Pour l’amélioration de la mobilité urbaine entre Dakar et sa Banlieue, puis entre Dakar et Diamniadio et Dakar-Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), le Président de la République Macky a imaginé ce système de transport rapide, sur la base d’un diagnostic profond de la situation actuelle.
En effet, Dakar qui occupe 0,3% de la superficie nationale, concentre le quart de la population du pays. Il s’y ajoute 40.000 nouvelles immatriculations chaque année en ce qui concerne les véhicules. C’est pourquoi la ville étouffe, parce que souffrant d’un problème structurel énorme», dit-il. C’est fort de ce constat dit-il, que le Chef de l’Etat est allé d’abord dans le sens de la création de pôles urbains dont celui de Diamniadio où seront transférées certains activités économiques et administratives comme le parc industriel avec ses 10.000 emplois, les ministères techniques avec 10.000 fonctionnaires.
Anonyme
En Février, 2018 (18:50 PM)«Ceux qui parlaient d’éléphants blancs doivent faire profil blanc ». C’est du moins l’avis de Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué Chargé du Développement du réseau ferroviaire. il a déclaré que 600 mètres de rail ont déjà été posés et le Train Express régional (TEr) sera livré précisément le lundi 4 janvier 2019. il a par ailleurs annoncé le début des travaux de réhabilitation du chemin de fer entre Dakar et Bamako.
«Il faut être maintenant sourd, muet et aveugle pour assimiler le projet du Train Express Régional (Ter) à un éléphant blanc». C’est la conviction exprimée ce weekend à Tivaouane par Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué chargé du développement du réseau ferroviaire, à l’occasion du 7e anniversaire de l’artiste musicien Gora Awa Niang.
Selon lui, 600 mètres de rail sont déjà posés et le Train Express Régional commencera effectivement à siffler à Dakar en 2019 après livraison des travaux le lundi 4 janvier 2019. A l’en croire les entreprises impliquées dans la réalisation du projet sont à pied d’œuvre pour que cet objectif soit atteint. Il ajoute qu’avec le TER, le nombre de passagers passera de 17.000 à 115.000 et il s’agit d’un système de transport ancré dans la régularité.
A ce sujet, Abdou Ndéné Sall révèle qu’il y aura un train toutes les 15 minutes, avec la combinaison de la vitesse et de la fiabilité. Il renseigne que déjà 15 trains sont acquis pour la première phase et à terme il est attendu un parc de 22 trains. Il s’agit de rames composées de 4 compartiments de 500 places chacun soit 2000 voyageurs par rame. « Pour l’amélioration de la mobilité urbaine entre Dakar et sa Banlieue, puis entre Dakar et Diamniadio et Dakar-Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), le Président de la République Macky a imaginé ce système de transport rapide, sur la base d’un diagnostic profond de la situation actuelle.
En effet, Dakar qui occupe 0,3% de la superficie nationale, concentre le quart de la population du pays. Il s’y ajoute 40.000 nouvelles immatriculations chaque année en ce qui concerne les véhicules. C’est pourquoi la ville étouffe, parce que souffrant d’un problème structurel énorme», dit-il. C’est fort de ce constat dit-il, que le Chef de l’Etat est allé d’abord dans le sens de la création de pôles urbains dont celui de Diamniadio où seront transférées certains activités économiques et administratives comme le parc industriel avec ses 10.000 emplois, les ministères techniques avec 10.000 fonctionnaires.
Anonyme
En Février, 2018 (18:50 PM)«Ceux qui parlaient d’éléphants blancs doivent faire profil blanc ». C’est du moins l’avis de Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué Chargé du Développement du réseau ferroviaire. il a déclaré que 600 mètres de rail ont déjà été posés et le Train Express régional (TEr) sera livré précisément le lundi 4 janvier 2019. il a par ailleurs annoncé le début des travaux de réhabilitation du chemin de fer entre Dakar et Bamako.
«Il faut être maintenant sourd, muet et aveugle pour assimiler le projet du Train Express Régional (Ter) à un éléphant blanc». C’est la conviction exprimée ce weekend à Tivaouane par Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué chargé du développement du réseau ferroviaire, à l’occasion du 7e anniversaire de l’artiste musicien Gora Awa Niang.
Selon lui, 600 mètres de rail sont déjà posés et le Train Express Régional commencera effectivement à siffler à Dakar en 2019 après livraison des travaux le lundi 4 janvier 2019. A l’en croire les entreprises impliquées dans la réalisation du projet sont à pied d’œuvre pour que cet objectif soit atteint. Il ajoute qu’avec le TER, le nombre de passagers passera de 17.000 à 115.000 et il s’agit d’un système de transport ancré dans la régularité.
A ce sujet, Abdou Ndéné Sall révèle qu’il y aura un train toutes les 15 minutes, avec la combinaison de la vitesse et de la fiabilité. Il renseigne que déjà 15 trains sont acquis pour la première phase et à terme il est attendu un parc de 22 trains. Il s’agit de rames composées de 4 compartiments de 500 places chacun soit 2000 voyageurs par rame. « Pour l’amélioration de la mobilité urbaine entre Dakar et sa Banlieue, puis entre Dakar et Diamniadio et Dakar-Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), le Président de la République Macky a imaginé ce système de transport rapide, sur la base d’un diagnostic profond de la situation actuelle.
En effet, Dakar qui occupe 0,3% de la superficie nationale, concentre le quart de la population du pays. Il s’y ajoute 40.000 nouvelles immatriculations chaque année en ce qui concerne les véhicules. C’est pourquoi la ville étouffe, parce que souffrant d’un problème structurel énorme», dit-il. C’est fort de ce constat dit-il, que le Chef de l’Etat est allé d’abord dans le sens de la création de pôles urbains dont celui de Diamniadio où seront transférées certains activités économiques et administratives comme le parc industriel avec ses 10.000 emplois, les ministères techniques avec 10.000 fonctionnaires.
Anonyme
En Février, 2018 (18:50 PM)«Ceux qui parlaient d’éléphants blancs doivent faire profil blanc ». C’est du moins l’avis de Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué Chargé du Développement du réseau ferroviaire. il a déclaré que 600 mètres de rail ont déjà été posés et le Train Express régional (TEr) sera livré précisément le lundi 4 janvier 2019. il a par ailleurs annoncé le début des travaux de réhabilitation du chemin de fer entre Dakar et Bamako.
«Il faut être maintenant sourd, muet et aveugle pour assimiler le projet du Train Express Régional (Ter) à un éléphant blanc». C’est la conviction exprimée ce weekend à Tivaouane par Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué chargé du développement du réseau ferroviaire, à l’occasion du 7e anniversaire de l’artiste musicien Gora Awa Niang.
Selon lui, 600 mètres de rail sont déjà posés et le Train Express Régional commencera effectivement à siffler à Dakar en 2019 après livraison des travaux le lundi 4 janvier 2019. A l’en croire les entreprises impliquées dans la réalisation du projet sont à pied d’œuvre pour que cet objectif soit atteint. Il ajoute qu’avec le TER, le nombre de passagers passera de 17.000 à 115.000 et il s’agit d’un système de transport ancré dans la régularité.
A ce sujet, Abdou Ndéné Sall révèle qu’il y aura un train toutes les 15 minutes, avec la combinaison de la vitesse et de la fiabilité. Il renseigne que déjà 15 trains sont acquis pour la première phase et à terme il est attendu un parc de 22 trains. Il s’agit de rames composées de 4 compartiments de 500 places chacun soit 2000 voyageurs par rame. « Pour l’amélioration de la mobilité urbaine entre Dakar et sa Banlieue, puis entre Dakar et Diamniadio et Dakar-Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), le Président de la République Macky a imaginé ce système de transport rapide, sur la base d’un diagnostic profond de la situation actuelle.
En effet, Dakar qui occupe 0,3% de la superficie nationale, concentre le quart de la population du pays. Il s’y ajoute 40.000 nouvelles immatriculations chaque année en ce qui concerne les véhicules. C’est pourquoi la ville étouffe, parce que souffrant d’un problème structurel énorme», dit-il. C’est fort de ce constat dit-il, que le Chef de l’Etat est allé d’abord dans le sens de la création de pôles urbains dont celui de Diamniadio où seront transférées certains activités économiques et administratives comme le parc industriel avec ses 10.000 emplois, les ministères techniques avec 10.000 fonctionnaires.
Anonyme
En Février, 2018 (18:50 PM)«Ceux qui parlaient d’éléphants blancs doivent faire profil blanc ». C’est du moins l’avis de Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué Chargé du Développement du réseau ferroviaire. il a déclaré que 600 mètres de rail ont déjà été posés et le Train Express régional (TEr) sera livré précisément le lundi 4 janvier 2019. il a par ailleurs annoncé le début des travaux de réhabilitation du chemin de fer entre Dakar et Bamako.
«Il faut être maintenant sourd, muet et aveugle pour assimiler le projet du Train Express Régional (Ter) à un éléphant blanc». C’est la conviction exprimée ce weekend à Tivaouane par Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué chargé du développement du réseau ferroviaire, à l’occasion du 7e anniversaire de l’artiste musicien Gora Awa Niang.
Selon lui, 600 mètres de rail sont déjà posés et le Train Express Régional commencera effectivement à siffler à Dakar en 2019 après livraison des travaux le lundi 4 janvier 2019. A l’en croire les entreprises impliquées dans la réalisation du projet sont à pied d’œuvre pour que cet objectif soit atteint. Il ajoute qu’avec le TER, le nombre de passagers passera de 17.000 à 115.000 et il s’agit d’un système de transport ancré dans la régularité.
A ce sujet, Abdou Ndéné Sall révèle qu’il y aura un train toutes les 15 minutes, avec la combinaison de la vitesse et de la fiabilité. Il renseigne que déjà 15 trains sont acquis pour la première phase et à terme il est attendu un parc de 22 trains. Il s’agit de rames composées de 4 compartiments de 500 places chacun soit 2000 voyageurs par rame. « Pour l’amélioration de la mobilité urbaine entre Dakar et sa Banlieue, puis entre Dakar et Diamniadio et Dakar-Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), le Président de la République Macky a imaginé ce système de transport rapide, sur la base d’un diagnostic profond de la situation actuelle.
En effet, Dakar qui occupe 0,3% de la superficie nationale, concentre le quart de la population du pays. Il s’y ajoute 40.000 nouvelles immatriculations chaque année en ce qui concerne les véhicules. C’est pourquoi la ville étouffe, parce que souffrant d’un problème structurel énorme», dit-il. C’est fort de ce constat dit-il, que le Chef de l’Etat est allé d’abord dans le sens de la création de pôles urbains dont celui de Diamniadio où seront transférées certains activités économiques et administratives comme le parc industriel avec ses 10.000 emplois, les ministères techniques avec 10.000 fonctionnaires.
Anonyme
En Février, 2018 (18:50 PM)«Ceux qui parlaient d’éléphants blancs doivent faire profil blanc ». C’est du moins l’avis de Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué Chargé du Développement du réseau ferroviaire. il a déclaré que 600 mètres de rail ont déjà été posés et le Train Express régional (TEr) sera livré précisément le lundi 4 janvier 2019. il a par ailleurs annoncé le début des travaux de réhabilitation du chemin de fer entre Dakar et Bamako.
«Il faut être maintenant sourd, muet et aveugle pour assimiler le projet du Train Express Régional (Ter) à un éléphant blanc». C’est la conviction exprimée ce weekend à Tivaouane par Abdou Ndéné Sall Ministre Délégué chargé du développement du réseau ferroviaire, à l’occasion du 7e anniversaire de l’artiste musicien Gora Awa Niang.
Selon lui, 600 mètres de rail sont déjà posés et le Train Express Régional commencera effectivement à siffler à Dakar en 2019 après livraison des travaux le lundi 4 janvier 2019. A l’en croire les entreprises impliquées dans la réalisation du projet sont à pied d’œuvre pour que cet objectif soit atteint. Il ajoute qu’avec le TER, le nombre de passagers passera de 17.000 à 115.000 et il s’agit d’un système de transport ancré dans la régularité.
A ce sujet, Abdou Ndéné Sall révèle qu’il y aura un train toutes les 15 minutes, avec la combinaison de la vitesse et de la fiabilité. Il renseigne que déjà 15 trains sont acquis pour la première phase et à terme il est attendu un parc de 22 trains. Il s’agit de rames composées de 4 compartiments de 500 places chacun soit 2000 voyageurs par rame. « Pour l’amélioration de la mobilité urbaine entre Dakar et sa Banlieue, puis entre Dakar et Diamniadio et Dakar-Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), le Président de la République Macky a imaginé ce système de transport rapide, sur la base d’un diagnostic profond de la situation actuelle.
En effet, Dakar qui occupe 0,3% de la superficie nationale, concentre le quart de la population du pays. Il s’y ajoute 40.000 nouvelles immatriculations chaque année en ce qui concerne les véhicules. C’est pourquoi la ville étouffe, parce que souffrant d’un problème structurel énorme», dit-il. C’est fort de ce constat dit-il, que le Chef de l’Etat est allé d’abord dans le sens de la création de pôles urbains dont celui de Diamniadio où seront transférées certains activités économiques et administratives comme le parc industriel avec ses 10.000 emplois, les ministères techniques avec 10.000 fonctionnaires.
Anonyme
En Février, 2018 (18:59 PM)IIII. SECTEUR DES CHEMINS DE FER
1. Situation de référence
a. Description globale
Le chemin de fer sénégalais traverse actuellement une crise profonde. Cette situation est la conséquence directe de l’absence d’un vison claire constatée lors de la décennie passée où il n’a jamais été pris en compte dans les stratégies de développement. Pour cette raison, les infrastructures ferroviaires qui existent au Sénégal sont dans un niveau de service très peu satisfaisant. A certains endroits, la vitesse commerciale ne dépasse guère les 20 km à l’heure, comme par exemple entre Goudiry et Kidira sur l’axe Dakar-Bamako.
De surcroît, le quasi abandon de l’Etat de toute politique ferroviaire justifie que les emprises du chemin de fer ont été anarchiquement occupées. Leur libération en vue de la réalisation des projets ferroviaires coûtera beaucoup aux contribuables sénégalais du fait des compensations financières qui seront nécessaires.
En raison de l’état défectueux des lignes existantes entre Dakar et Bamako, le rail rend un service très en deçà de ses capacités au transport des voyageurs. En effet, si les trains de marchandises et de voyageurs parviennent encore à rouler, tant bien que mal, sur le tronçon Dakar-Thiès globalement, le transport de voyageur est devenu quant à lui impossible sur le tronçon Thiès-Bamako.
Pire, c’est au prix de multiples acrobaties que le Petit Train de Banlieue (PTB) arrive à faire rouler ses locomotives jusqu’à Rufisque et, plus loin, Thiès.
A cet égard, force est de constater que l’Etat du Sénégal est en droit de ressentir beaucoup d’insatisfactions par rapport à la concession qu’il a accordée à la Société Transrail S.A. En effet, les déficits d’entretien et de maintenance du réseau ferroviaire sur l’axe Dakar-Bamako se constatent aisément.
Le paroxysme du recul de la politique ferroviaire s’était exprimé à travers la décision de retirer la Gare centrale de Dakar du trafic ferroviaire au profit de projets culturels. Les trains de voyageurs s’arrêtent désormais à Cyrnos.
Or, la Gare, classée dans le patrimoine universel UNESCO comme monument historique, peut autant servir au transport ferroviaire et en même temps s’intégrer harmonieusement dans la vocation culturelle qui a été décidée pour ce site.
Anonyme
En Février, 2018 (18:59 PM)IIII. SECTEUR DES CHEMINS DE FER
1. Situation de référence
a. Description globale
Le chemin de fer sénégalais traverse actuellement une crise profonde. Cette situation est la conséquence directe de l’absence d’un vison claire constatée lors de la décennie passée où il n’a jamais été pris en compte dans les stratégies de développement. Pour cette raison, les infrastructures ferroviaires qui existent au Sénégal sont dans un niveau de service très peu satisfaisant. A certains endroits, la vitesse commerciale ne dépasse guère les 20 km à l’heure, comme par exemple entre Goudiry et Kidira sur l’axe Dakar-Bamako.
De surcroît, le quasi abandon de l’Etat de toute politique ferroviaire justifie que les emprises du chemin de fer ont été anarchiquement occupées. Leur libération en vue de la réalisation des projets ferroviaires coûtera beaucoup aux contribuables sénégalais du fait des compensations financières qui seront nécessaires.
En raison de l’état défectueux des lignes existantes entre Dakar et Bamako, le rail rend un service très en deçà de ses capacités au transport des voyageurs. En effet, si les trains de marchandises et de voyageurs parviennent encore à rouler, tant bien que mal, sur le tronçon Dakar-Thiès globalement, le transport de voyageur est devenu quant à lui impossible sur le tronçon Thiès-Bamako.
Pire, c’est au prix de multiples acrobaties que le Petit Train de Banlieue (PTB) arrive à faire rouler ses locomotives jusqu’à Rufisque et, plus loin, Thiès.
A cet égard, force est de constater que l’Etat du Sénégal est en droit de ressentir beaucoup d’insatisfactions par rapport à la concession qu’il a accordée à la Société Transrail S.A. En effet, les déficits d’entretien et de maintenance du réseau ferroviaire sur l’axe Dakar-Bamako se constatent aisément.
Le paroxysme du recul de la politique ferroviaire s’était exprimé à travers la décision de retirer la Gare centrale de Dakar du trafic ferroviaire au profit de projets culturels. Les trains de voyageurs s’arrêtent désormais à Cyrnos.
Or, la Gare, classée dans le patrimoine universel UNESCO comme monument historique, peut autant servir au transport ferroviaire et en même temps s’intégrer harmonieusement dans la vocation culturelle qui a été décidée pour ce site.
Anonyme
En Février, 2018 (18:59 PM)IIII. SECTEUR DES CHEMINS DE FER
1. Situation de référence
a. Description globale
Le chemin de fer sénégalais traverse actuellement une crise profonde. Cette situation est la conséquence directe de l’absence d’un vison claire constatée lors de la décennie passée où il n’a jamais été pris en compte dans les stratégies de développement. Pour cette raison, les infrastructures ferroviaires qui existent au Sénégal sont dans un niveau de service très peu satisfaisant. A certains endroits, la vitesse commerciale ne dépasse guère les 20 km à l’heure, comme par exemple entre Goudiry et Kidira sur l’axe Dakar-Bamako.
De surcroît, le quasi abandon de l’Etat de toute politique ferroviaire justifie que les emprises du chemin de fer ont été anarchiquement occupées. Leur libération en vue de la réalisation des projets ferroviaires coûtera beaucoup aux contribuables sénégalais du fait des compensations financières qui seront nécessaires.
En raison de l’état défectueux des lignes existantes entre Dakar et Bamako, le rail rend un service très en deçà de ses capacités au transport des voyageurs. En effet, si les trains de marchandises et de voyageurs parviennent encore à rouler, tant bien que mal, sur le tronçon Dakar-Thiès globalement, le transport de voyageur est devenu quant à lui impossible sur le tronçon Thiès-Bamako.
Pire, c’est au prix de multiples acrobaties que le Petit Train de Banlieue (PTB) arrive à faire rouler ses locomotives jusqu’à Rufisque et, plus loin, Thiès.
A cet égard, force est de constater que l’Etat du Sénégal est en droit de ressentir beaucoup d’insatisfactions par rapport à la concession qu’il a accordée à la Société Transrail S.A. En effet, les déficits d’entretien et de maintenance du réseau ferroviaire sur l’axe Dakar-Bamako se constatent aisément.
Le paroxysme du recul de la politique ferroviaire s’était exprimé à travers la décision de retirer la Gare centrale de Dakar du trafic ferroviaire au profit de projets culturels. Les trains de voyageurs s’arrêtent désormais à Cyrnos.
Or, la Gare, classée dans le patrimoine universel UNESCO comme monument historique, peut autant servir au transport ferroviaire et en même temps s’intégrer harmonieusement dans la vocation culturelle qui a été décidée pour ce site.
Anonyme
En Février, 2018 (18:59 PM)IIII. SECTEUR DES CHEMINS DE FER
1. Situation de référence
a. Description globale
Le chemin de fer sénégalais traverse actuellement une crise profonde. Cette situation est la conséquence directe de l’absence d’un vison claire constatée lors de la décennie passée où il n’a jamais été pris en compte dans les stratégies de développement. Pour cette raison, les infrastructures ferroviaires qui existent au Sénégal sont dans un niveau de service très peu satisfaisant. A certains endroits, la vitesse commerciale ne dépasse guère les 20 km à l’heure, comme par exemple entre Goudiry et Kidira sur l’axe Dakar-Bamako.
De surcroît, le quasi abandon de l’Etat de toute politique ferroviaire justifie que les emprises du chemin de fer ont été anarchiquement occupées. Leur libération en vue de la réalisation des projets ferroviaires coûtera beaucoup aux contribuables sénégalais du fait des compensations financières qui seront nécessaires.
En raison de l’état défectueux des lignes existantes entre Dakar et Bamako, le rail rend un service très en deçà de ses capacités au transport des voyageurs. En effet, si les trains de marchandises et de voyageurs parviennent encore à rouler, tant bien que mal, sur le tronçon Dakar-Thiès globalement, le transport de voyageur est devenu quant à lui impossible sur le tronçon Thiès-Bamako.
Pire, c’est au prix de multiples acrobaties que le Petit Train de Banlieue (PTB) arrive à faire rouler ses locomotives jusqu’à Rufisque et, plus loin, Thiès.
A cet égard, force est de constater que l’Etat du Sénégal est en droit de ressentir beaucoup d’insatisfactions par rapport à la concession qu’il a accordée à la Société Transrail S.A. En effet, les déficits d’entretien et de maintenance du réseau ferroviaire sur l’axe Dakar-Bamako se constatent aisément.
Le paroxysme du recul de la politique ferroviaire s’était exprimé à travers la décision de retirer la Gare centrale de Dakar du trafic ferroviaire au profit de projets culturels. Les trains de voyageurs s’arrêtent désormais à Cyrnos.
Or, la Gare, classée dans le patrimoine universel UNESCO comme monument historique, peut autant servir au transport ferroviaire et en même temps s’intégrer harmonieusement dans la vocation culturelle qui a été décidée pour ce site.
Anonyme
En Février, 2018 (18:59 PM)IIII. SECTEUR DES CHEMINS DE FER
1. Situation de référence
a. Description globale
Le chemin de fer sénégalais traverse actuellement une crise profonde. Cette situation est la conséquence directe de l’absence d’un vison claire constatée lors de la décennie passée où il n’a jamais été pris en compte dans les stratégies de développement. Pour cette raison, les infrastructures ferroviaires qui existent au Sénégal sont dans un niveau de service très peu satisfaisant. A certains endroits, la vitesse commerciale ne dépasse guère les 20 km à l’heure, comme par exemple entre Goudiry et Kidira sur l’axe Dakar-Bamako.
De surcroît, le quasi abandon de l’Etat de toute politique ferroviaire justifie que les emprises du chemin de fer ont été anarchiquement occupées. Leur libération en vue de la réalisation des projets ferroviaires coûtera beaucoup aux contribuables sénégalais du fait des compensations financières qui seront nécessaires.
En raison de l’état défectueux des lignes existantes entre Dakar et Bamako, le rail rend un service très en deçà de ses capacités au transport des voyageurs. En effet, si les trains de marchandises et de voyageurs parviennent encore à rouler, tant bien que mal, sur le tronçon Dakar-Thiès globalement, le transport de voyageur est devenu quant à lui impossible sur le tronçon Thiès-Bamako.
Pire, c’est au prix de multiples acrobaties que le Petit Train de Banlieue (PTB) arrive à faire rouler ses locomotives jusqu’à Rufisque et, plus loin, Thiès.
A cet égard, force est de constater que l’Etat du Sénégal est en droit de ressentir beaucoup d’insatisfactions par rapport à la concession qu’il a accordée à la Société Transrail S.A. En effet, les déficits d’entretien et de maintenance du réseau ferroviaire sur l’axe Dakar-Bamako se constatent aisément.
Le paroxysme du recul de la politique ferroviaire s’était exprimé à travers la décision de retirer la Gare centrale de Dakar du trafic ferroviaire au profit de projets culturels. Les trains de voyageurs s’arrêtent désormais à Cyrnos.
Or, la Gare, classée dans le patrimoine universel UNESCO comme monument historique, peut autant servir au transport ferroviaire et en même temps s’intégrer harmonieusement dans la vocation culturelle qui a été décidée pour ce site.
Anonyme
En Février, 2018 (18:59 PM)IIII. SECTEUR DES CHEMINS DE FER
1. Situation de référence
a. Description globale
Le chemin de fer sénégalais traverse actuellement une crise profonde. Cette situation est la conséquence directe de l’absence d’un vison claire constatée lors de la décennie passée où il n’a jamais été pris en compte dans les stratégies de développement. Pour cette raison, les infrastructures ferroviaires qui existent au Sénégal sont dans un niveau de service très peu satisfaisant. A certains endroits, la vitesse commerciale ne dépasse guère les 20 km à l’heure, comme par exemple entre Goudiry et Kidira sur l’axe Dakar-Bamako.
De surcroît, le quasi abandon de l’Etat de toute politique ferroviaire justifie que les emprises du chemin de fer ont été anarchiquement occupées. Leur libération en vue de la réalisation des projets ferroviaires coûtera beaucoup aux contribuables sénégalais du fait des compensations financières qui seront nécessaires.
En raison de l’état défectueux des lignes existantes entre Dakar et Bamako, le rail rend un service très en deçà de ses capacités au transport des voyageurs. En effet, si les trains de marchandises et de voyageurs parviennent encore à rouler, tant bien que mal, sur le tronçon Dakar-Thiès globalement, le transport de voyageur est devenu quant à lui impossible sur le tronçon Thiès-Bamako.
Pire, c’est au prix de multiples acrobaties que le Petit Train de Banlieue (PTB) arrive à faire rouler ses locomotives jusqu’à Rufisque et, plus loin, Thiès.
A cet égard, force est de constater que l’Etat du Sénégal est en droit de ressentir beaucoup d’insatisfactions par rapport à la concession qu’il a accordée à la Société Transrail S.A. En effet, les déficits d’entretien et de maintenance du réseau ferroviaire sur l’axe Dakar-Bamako se constatent aisément.
Le paroxysme du recul de la politique ferroviaire s’était exprimé à travers la décision de retirer la Gare centrale de Dakar du trafic ferroviaire au profit de projets culturels. Les trains de voyageurs s’arrêtent désormais à Cyrnos.
Or, la Gare, classée dans le patrimoine universel UNESCO comme monument historique, peut autant servir au transport ferroviaire et en même temps s’intégrer harmonieusement dans la vocation culturelle qui a été décidée pour ce site.
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En Février, 2018 (18:59 PM)Anonyme
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