D’abord, souhaiter, avec respect, que cet ouvrage publié chez Michel Lafon et admirablement bien conçu techniquement -le même éditeur, en son temps, du Président Wade- que votre ouvrage donc, dont le premier tome fait ici l’objet de notre humble lecture, soit publié un jour, si cela était envisageable, en livre de poche, pour être accessible au plus grand nombre des Sénégalais lettrés, avec des versions dans les langues nationales. Puissent les trois tomes, si cela pouvait également être envisagé, être rassemblés en un seul tome afin de servir de « livre rouge » pour l’histoire. Nous souhaitons que ce travail puisse être confié, le moment venu, s’il était validé, à un rigoureux collectif d’éditeurs sénégalais.
Nous avons pu donc, Monsieur le Président, parcourir le premier tome de vos réflexions, sous le titre: « CONVICTION RÉPUBLICAINE Discours sur le développement ». Vous avez choisi le singulier à la place du pluriel. C’est encore plus puissant. Et d’ailleurs, la République n’est qu’une ! Vous y évoquez les institutions, la gouvernance, la paix, la sécurité, le développement et d’autres thèmes non moins prégnants qui touchent à la vie de la nation et les questions brûlantes qui tiennent éveillées la communauté internationale. Permettez-nous de saluer bien affectueusement votre Conseiller Spécial Abdoul Aziz Diop. Homme apaisé, respectueux et érudit, qui, après notre récital poétique musical au centre culturel français le 8 mai 2018 dernier -animé par l’Orchestre Symphonique du Sénégal créé par Modou Kara Mbacké, orchestre, hélas, très peu connu- nous a remis, en public, votre ouvrage. Celui-ci est attirant par sa couverture flamboyante illustrée par une reposante photo de notre Président que nous aimerions voir souvent avec ce visage sucré et rieur qui fait tant de bien, loin des tempêtes et des orages politiques et qui contraste avec celui grave et solennel dont nous nous sommes habitués. Charge oblige !
En nous remettant votre ouvrage, notre frère Aziz, comme il sait le dire avec élégance, nous a invités à un échange contradictoire constructif, au seul bénéfice de notre pays et du renforcement de sa démocratie. C’est à cet exercice que nous tentons ici de répondre, non comme un expert infaillible et prétentieux, mais comme un citoyen libre et fort humble qui porte cependant « souverainement » son regard sur sa société dont il entend battre chaque matin, chaque soir, le cœur social, économique, culturel et politique souffrant. Nous sommes peu nombreux sans doute, de ceux qui croient que les peuples ne devraient pas seulement retenir de leurs gouvernants leur échec à ne pas les rendre prospères et heureux. L’intérêt général devrait primer, à condition que celui-ci ne serve pas outrancièrement, en premier et toujours, les gouvernants. Cette image est hélas la plus répandue.
Mais venons-en justement à votre ouvrage, Monsieur le Président, votre ouvrage qui porte votre programme théorique de gouvernance, c’est à dire les petits et les grands discours qui tracent votre vision globale et expriment vos vœux de servir et votre peuple et l’Afrique et le monde, dans une pratique de gouvernance qui réponde à ce que la meilleure des démocraties puissent offrir. En un mot, comment le contenu théorique de votre riche ouvrage s’est-il traduit dans la pratique de votre 1er mandat ?
Dans votre Avant-propos, vous évoquez d’abord «votre plume » en ces termes : « …je ne me sépare jamais de ma plume. Je m’en sers tout le temps pour signer un avis, un arrêté, un décret…je m’en sers aussi pour écrire ou pour corriger ce que j’ai demandé à mes collaborateurs de rédiger… A force d’écouter, d’entendre, de lire, de relire, de corriger et d’écrire moi-même, l’idée de systématiser certaines de mes prises de position engageant la collectivité toute entière m’a plus d’une fois traversé l’esprit… ». Et puis vous évoquez le formidable travail de conviction du Secrétaire général de la présidence de la République, le ministre Maxime Jean Simon Ndiaye, qui vous a poussé à « dissiper un doute » au terme duquel vous affirmez ceci: «… l’essentiel de mes adresses sur tous les thèmes d’intérêt général peut enfin être mis à la disposition du public ». Vous ne manquez pas aussi de saluer « l’esprit d’équipe », « lacontribution exceptionnelle » de votre Secrétaire général et de votre Conseiller spécial Abdoul Aziz Diop « à la conception et à la réalisation » de votre ouvrage. Bel hommage ! Touchante humilité !
Vous résumez vos ambitions démocratiques en écrivant ceci: « Sous l’éclairage du Siècle des lumières, c’est en effet un enfant de la France, Montesquieu, qui enseignait que contre les risques d’abus du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir. Il en est ainsi parce que c’est dans la vertu de la séparation et de l’équilibre des pouvoirs que l’idéal de démocratie s’incarne et se revitalise à l’épreuve du temps ». Vous êtes au Sénat français le 20 décembre 2016 quand vous prononcez ces mots. Cette confession semble vous tarauder tout le long de votre ouvrage et tout le long de vos nombreux discours et prises de paroles au Sénégal et de par le monde. Le renforcement de la démocratie vous préoccupe. Vous écrivez, parlant du renforcement de l’État de droit en Afrique: « Parce qu’il ne s’agit pas seulement de textes à adopter et d’organes à créer, mais surtout de réticences à vaincre et de comportements à changer ». Comme vous avez raison, mais les évolutions vont à dos d’âne en Afrique et les gouvernants en sont les premières abominables causes! Et sans tarder vous ajoutez que « Dans ce combat inachevé sur plusieurs fronts, il est fort utile d’engager le débat, d’échanger nos points de vue et nos expériences respectives pour améliorer nos perspectives ». Hélas, l’Union Africaine aurait dû être un de ces puissants réceptacles. Elle ne l’est point comme elle devrait l’être et c’est triste, sinon désespérant, depuis près de 60 ans d’indépendance ! Pour notre part, il serait utile de faire le bilan du chemin parcouru au Sénégal, non pas d’ailleurs seulement sous votre 1er mandat, mais depuis les longs mandats de Senghor. Ce bilan ne saurait être fiable que s’il est porté avec rigueur et honnêteté par les organes et organismes indépendants de compétence nationale, africaine et internationale, hors du gouvernement, même si c’est son rôle de porter dans la continuité de l’État ce bilan, hors des partis politiques claniques. Partout, nous devons apprendre à nous soumettre à l’évaluation, au-delà du seul travail des gouvernements qui ne s’arrêtent souvent qu’au satisfecit face aux performances et résultats de nos institutions, face au respect ou non de notre démocratie. Il y faut beaucoup d’indépendance, beaucoup de vertus, beaucoup de courage et d’engagement au service du peuple, beaucoup de responsabilité. Pour plaider et convaincre d’une gouvernance juste et éthique, il faut à un Chef d’État ou un gouvernement beaucoup de renoncements, de dépassements, de courage. Il est rare dans la gouvernance mondiale, quel que soit le pays, qu’un Chef d’État ou qu’un gouvernement mette également en exergue ses failles, ses échecs, ses fautes. Et pourtant, comme cela ferait du bien aux gouvernés d’entendre de ceux à qui ils ont confié leur destin, qu’ils n’ont pas tout réussi et qu’il leur faut encore travailler davantage.
Il a été réconfortant de vous entendre dire et témoigner à propos de la « Charte de gouvernance démocratique » établie par les « Assises nationales » pour un « Sénégal nouveau », et dont vous précisez que vous l’avez signé après vous en être imprégné: « Cinq ans après mon élection à la Présidence de la République (…) il convient de montrer que mon discours et mon action, à défaut d’une conformité parfaite qui ne tiendrait pas compte de ma propre trajectoire et des réalités politiques, économiques et sociales de 2012, cadre avec l’essentiel des indications phares de la Charte ». Des observateurs pointus et libres vous diraient: « Non Monsieur le Président ! Vous avez plutôt choisi ce qui vous était essentiel. Votre référendum du 20 mars 2016 a fait un tri partial, même si des acquis indéniables ont été conquis, comme la généralisation de la candidature indépendante à tout type d’élection. Cela, l’histoire le retiendra. » Vous écrivez et ajoutez encore ceci: « Les signataires de la Charte comme moi ambitionnaient de « mettre un terme à la tendance à la concentration excessive des pouvoirs à la Présidence de la République » et « à toute immixtion du Président de la République dans le fonctionnement du législatif et du judiciaire ». Les Sénégalais jugeront ou ont déjà jugé si vous avez donné suite ou non « à la concentration excessive des pouvoirs à la Présidence de la République, sans compter l’immixtion du Chef de l’État dans le législatif et le judiciaire. » Pour cette dernière, on pourrait vous demander pourquoi avoir renoncé à vous décharger de vos fonctions de Président du Haut Conseil de la Magistrature et de laisser la justice se gouverner au lieu d’être gouvernée ? Pourquoi, par ailleurs, le statut de l’opposition entériné par le Référendum tarde t-il encore à être concrétisé dans les actes ? N’est-ce pas s’arrêter à la théorie et aux bons vœux que de penser également qu’une Assemblée nationale largement acquise à la majorité présidentielle, évaluera sans état d’âme les politiques publiques mises en œuvre par votre gouvernement ? Quelque chose coince dans le mécanisme, mais ce qui coince pourrait ne pas toujours relever de vous, car tout pouvoir rêve de détenir les moyens de sa gouvernance et tant mieux si vous avez la majorité à l’Assemblée nationale, ce qui vous permet de mettre en œuvre votre politique de développement comme élu légitime du peuple qui attend beaucoup de vous ! Demain, d’autres, arrivés au pouvoir, mettront sans doute « toute » la Charte en application. La suite des « réalités politiques » -c’est votre propre expression- démontrera si les propositions les plus audacieuses et les plus innovantes des « Assises nationales » donneront une démocratie plus avancée, avec des pouvoirs qui enfin arrêtent des pouvoirs. Revenant à l’indépendance de la justice, telle que l’on croit qu’elle le sera mais surtout qu’elle s’exercera, vous avez reçu en ce mois de mai 2018 un rapport des corps de la justice, dont on ne connaît pas la suite que vous allez lui réserver. Attendons de connaitre la fin de l’histoire.
Tout le monde ou presque rêve de l’indépendance des juges, sans savoir ce qu’il en adviendra. N’en vivons nous pas déjà un avant-goût, sans oublier les hurlements de l’opposition face à une Cour constitutionnelle se réclamant trop souvent, avec agacement, « non compétente » ? La justice n’est-elle pas déjà indépendante quand on sait que l’article 92 de la Constitution prescrit, comme vous le rappelez d’ailleurs vous-même à la page 42, que « Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d’aucune voie de recours » ni de la part du président de la République, ni de l’opposition, ni d’un quelconque citoyen ? Pourquoi, pour éviter le soupçon de partialité des juges et celui de la mainmise du Chef de l’État sur eux, ne pas partager équitablement leur nomination entre le président de la République et le chef de l’opposition reconnu par la loi, ou toute autre formule impartiale ?
Vous avez, par ailleurs, donné votre explication sur votre renoncement à la promesse de vivre un quinquennat à la place d’un septennat. Vous écrivez, page 43, « …le Conseil constitutionnel considère que le mandat en cour au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, dont la durée, préalablement fixée dans le temps, et par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle ». En un mot, votre promesse a été vaincue par la loi constitutionnelle. La polémique a été pénible, mais entre votre promesse et la loi, vous avez choisi la loi. Sur les pages d’histoire de votre vie de Chef d’État, cette posture a déjà son signet. La postérité jugera. Aujourd’hui, nous sommes des acteurs trop près du feu, pour être sans doute équitables.
Monsieur le Président, êtes-vous au courant qu’un étrange personnage parcourt le pays et tient un langage singulier et énigmatique aux foules qui l’écoutent: « Dites au Président que des enfants trop vite grandis racontent l’histoire admirable d’un guide qui avait tenu un testament moral mais que les lois de la République ne lui avaient pas permis d’honorer. Alors, tenaillé par l’éthique, il décida sans que personne ne sut le prévoir ni l’imaginer, de ramener à « trois » tables les « cinq » qui lui étaient dressées, quand il remporta son second mandat. Il avait ainsi tenu à rétablir sa souveraineté morale propre sur celle de la République et démontrer aux hommes, contrairement à ce qu’ils croyaient, que sa parole était d’or et que cette fois-ci, c’est lui qui avait imposé son verdict aux lois, attristé ses partisans, dérouté ses adversaires, ému son peuple aux larmes, ce peuple qui en le réélisant pour un second mandat, ne lui avait pas tourné le dos comme on voulait le faire croire » !
Nul élu à la magistrature suprême ne saurait tout réussir au cours de ses mandats constitutionnels ! Les premiers comme Senghor, moins formés en économie mais maitrisant la prospective et la méthode, ont bâti à la fois une république et une nation, installé des fondamentaux, c’est à dire des valeurs, une discipline, une rigueur, une autorité républicaine, une morale et une éthique de gouvernance d’où étaient exclus le pouvoir de l’argent mal acquis, la médiocrité érigée abjectement en promotion, le manque hilarant de culture et de finesse d’un si grand nombre d’hommes politiques. Oui, c’est un poète -et les poètes font sourire- qui a érigé le Sénégal en République, qui lui a donné un hymne national et un drapeau, mis en symbiose toutes les spiritualités, forgé une école et une université au savoir-faire et au savoir-être retentissants, érigé et proclamé une armée nationale invincible, inapte a commettre des coups d’État militaires, parce que tenue par des officiers et des sous-officiers formés au latin et au grec en plus des mathématiques et de la physique. Une république était posée pour résister, à ce jour, à tous les séismes, jusque sous Macky Sall. Mais le temps faisant, le Sénégal a changé, muté même. Et c’est là, Monsieur le Président, que nous comprenons mieux vos inquiétudes quand vous invoquez Montesquieu pour que « le pouvoir arrête le pouvoir », à moins que ce ne soit le peuple qui arrête le pouvoir.
Tous les Présidents sénégalais ont écrit des livres. Vous venez de poser théoriquement dans un livre les fondements de votre gouvernance politique, en reproduisant et laissant parler vos discours. Senghor avec sa série des « Liberté » et par une haute et fine réflexion à la fois politique, idéologique, sociale, philosophique même, avait défini ses champs d’actions. Abdou Diouf a écrit ses mémoires qui ont fait polémique. Il a choisi le moins réflexif en nous racontant dans un fauteuil son parcours singulier et si rare, qu’il ressemble à un conte de fée ! Abdoulaye Wade a porté rageusement le combat panafricaniste de l’Afrique. Il a beaucoup théorisé et indiqué des chemins de sortie du colonialisme comme du néocolonialisme. Il fut un redoutable débatteur. Professeur comme Senghor, ils sont allés tous les deux taquiner les forces et les ruses de la pensée et des idéologies dominantes.
Mais revenons à vous, à votre ouvrage, Monsieur le Président.
Votre livre est dédié, comme vous l’écrivez, à vos concitoyens. Avoir pensé à eux, est un acte républicain touchant. Ils vous ont mis là où vous êtes aujourd’hui. C’est eux également qui décideront en février 2019 de vous garder ou non au pouvoir.
Vous vous prononcez sur l’Administration sénégalaise en commençant fort votre propos: « Ce n’est qu’avec la vérité et la franchise drapées d’un courage résolu, que l’on vainc les hésitations et les résistances. » Et vous assénez sans faire trembler votre plume: « Les agents de l’État doivent adopter le culte du résultat, et cultivez davantage la probité, la loyauté, l’humilité, le respect et la courtoisie. » Vous dites: « S’adapter pour être une administration de développement ». Nous savons tous, hélas, ce qu’est devenue l’Administration sénégalaise. Elle a sombré ou presque, comme l’école sénégalaise. Le Président Abdoulaye Wade n’y était pas allé par quatre chemins. Son raccourci était détonnant: « On a jamais vu une administration développer un pays ! ». Et paf ! Comment guérir et faire face à ce mal ? La réponse n’est pas aisée. Elle trouve son malheur dans ce que sont devenues nos écoles d’administration dans la formation des cadres de la hiérarchie A et B. Le niveau n’y est plus, dit-on, à tort ou à raison. Il s’y ajoute nos postures culturelles propres dont certaines desservent plus qu’elles ne servent l’Administration. On ne travaille pas, on fait semblant de travailler. Et puis vient la corruption, ce cancer âpre à extirper que de maigres salaires face à des ambitions démesurées, des « paraître » et des charges sociétales vaniteusement assumées, nourrissent. L’honneur et la probité ont baissé les armes. Il s’agit non de vivre mais de survivre et à tous les prix. On a égorgé tout sentiment de honte, assassiné toute dignité. Il faut alors réformer l’Administration, Monsieur le Président, la rapprocher des usagers dans vos propres choix de mots: « l’efficacité », la « simplicité », la « performance ». Il faut en effet la moderniser pour qu’elle puisse échapper à l’appétit féroce de ceux qui se servent au lieu de la servir. Il s’agirait de procéder à une véritable révolution où les responsabilités seraient renversées afin de faire de l’usager l’arbitre, le veilleur de jour, pour une Administration plus surveillée, plus transparente, plus pratique, moins honteuse et irresponsable. Innovez Monsieur le Président ! Vous en avez le pouvoir et la charge ! Déménager vos ministères à Diamniadio est déjà une révolution ! Donnez en location au privé le building administratif rénové, ancien siège « fédéral » de vos ministères. Il rapportera à l’État des dividendes pour sa trésorerie qui tirerait moins la langue. Sous la même formule, avec des clauses d’occupation souveraine chaque fois que de besoin, délestez l’État de certaines charges et faites rentrez de l’argent dans ses caisses. Nous pensons à la cession des stades L S Senghor, Demba Diop, le Grand Théâtre, la future arène de lutte, le Centre international Abdou Diouf.
Quand vous évoquez votre politique et votre vision de l’agriculture sénégalaise, on se plaît à vous lire. Et là, vous avez réussi Monsieur le président de la République, sans doute parce que vous avez fait le bon choix en nommant un ministre hors des partis politiques, donc moins distrait, moins concentré, moins soumis et moins envahi par la terrifiante fourmilière du parti, mais surtout un ministre reconnu par la communauté internationale et dont l’expertise a été saluée par nombre de fonctions pointues occupées dans le domaine de la recherche, par nombre d’universités et d’académies de par le monde. L’agriculture est un poumon fragile et il est le premier moteur, avec l’industrie, du véritable développement. Vous le dites d’ailleurs si bien: « En premier, la modernisation de l’agriculture (…) sera bâtie sur notre vision d’une agriculture multifonctionnelle au triple plan de la sécurité alimentaire, de la génération de revenus pour les populations rurales et de la protection de l’environnement ». Dans la difficile lutte contre le chômage, donnez des bras à l’agriculture, attirez la jeunesse vers elle, non seulement en la formant à court terme, mais en offrant des emplois à cette multitude qui attend devant les interminables théières ou entassée dans des amphithéâtres bouchés, en créant des projets comme: « Un hectare, dix jeunes ! ». Il s’agit d’affecter des terres à un groupe de jeunes, dans toutes les régions du Sénégal, et de les accompagner pour un temps dans leur exploitation, avant de les laisser s’autogérer à la sueur de leur front !
Votre ouvrage, Monsieur le Président, aborde, encore une fois de plus, les institutions, la gouvernance, la paix, la sécurité, le développement. Vos discours reproduits sur chacun de ces axes donnent dans votre livre un éclairage heureux. Pour ce qui est de la paix comme de la sécurité, vous avez accompli de grandes avancées. La Casamance que nous aimons tant s’était tue. Ce n’est que « récemment », quand vous avez évoquez la rébellion dans un de vos messages à la nation, que le feu a repris, si étrangement, comme si les deux étaient forcément liés, comme certains observateurs l’ont relevé sans trop y croire. Mais la paix, vous la cultivez. Elle est sincère en vous. Prions mais travaillons encore plus pour la conforter, pour l’installer durablement depuis l’indépendance, dans notre pays. Mais la paix, Monsieur le Président, cher écrivain, c’est aussi la justice. Il ne peut exister de paix sans justice. Il ne peut exister également de justice sans liberté. Alors, pour vous protéger, pour installer le président de la République hors de tout soupçon d’ingérence, et pour donner l’exemple en Afrique et au-delà, prenez la mesure de l’histoire en répartissant courageusement et noblement le pouvoir, pour votre gloire, afin que celui-ci arrête réellement le pouvoir, comme vous l’écrivez vous-même et comme vous le souhaitez, malgré les obstacles qui ne manquent pas pour vaincre cet adage qui dit que « le pouvoir ne se partage pas » !
La sécurité est de nos jours inséparable du terrorisme. Vous vous prononcez en écrivant ceci: « …le terrorisme a tendance à se sanctuariser en Afrique, parce que ses cerveaux, agissent en réseau, considèrent le continent comme le ventre mou du système international ». Tout est dit ! L’on susurre dans les salons des Grands Blancs à Dakar, que le Sénégal, depuis Senghor, est doté du meilleur système de renseignements à la dimension de ceux des pays les plus développés. Ce système que vous avez renforcé en femmes et hommes de terrain et équipé des plus performants outils technologiques, veille sur nous et préserve notre pays du grand mal. Notre défense nationale est notre premier bouclier de sécurité !
Vous évoquez dans votre livre un sujet qui fait polémique et qui heurte certaines consciences dans une Afrique indépendante depuis près de 60 ans: la monnaie unique ! Vous écrivez: « Il est tout aussi nécessaire de résoudre l’équation que pose la pluralité de monnaies dans un espace dont la vocation est de se constituer en marché commun. » Puissiez-vous faire de ce combat, votre combat. Il est de ceux que l’histoire retient. Le FCFA disparaîtra avec sa parité avec l’euro. C’est programmé, inéluctable ! ll reste seulement d’en connaître l’échéance, mais cela est inscrit dans l’histoire de nos pays vers une indépendance monétaire, mais en phase et en harmonie avec les exigences de la politique monétaire internationale et ses organes de contrôle et de régulation. Ce qui appelle un temps d’organisation, de gestation, de mise en place des meilleurs mécanismes. Ce qui est fait est fait et appartient à une histoire coloniale qui s’est imposée à nous. Maintenant, sans hâte, sans rage, mais avec lucidité et un engagement inflexible, il s’agit de sortir de l’étau, de nous appartenir et non d’appartenir aux autres. Vous y avez votre part, Monsieur le Président et l’histoire -encore elle- vous épie.
A propos d’histoire et de postérité justement, vous proclamez, en poète et en homme de paix -page 131- de faire « retentir le chant des rameurs, la mélodie des pasteurs et la romance des agriculteurs ». Alors, prenez beaucoup plus de soin à nos côtes, à notre littoral, à notre corniche, à notre architecture, à la création de bois de ville, d’espaces verts. Veillez à ce que vos services compétents n’abattent plus des arbres centenaires dans Dakar. L’Avenue Lamine Guèye en est l’horrible théâtre aujourd’hui. Par ailleurs, et surtout, ne laissez pas construire le port à containers de Ndayane à près de huit kilomètres de celui déjà en chantier de Bargny Sendou et dont les tragiques répercussions marines se font déjà sentir jusqu’à Joal ! Vous commettrez avec ce port de Ndayane un génocide écologique et environnemental unique dans l’histoire. Votre pire ennemi ne vous souhaiterait pas de laisser un tel drame dans l’histoire de votre pays, Monsieur le Président ! Allez voir par vous-même, sur le terrain, aves les populations, l’étendue du prochain désastre, vous qui, par vos fonctions, habitez la résidence présidentielle de Popenguine impactée par ce monstre de port qui s’étend jusqu’aux côtes de Toubab-Dialaw et occupe plus de 3850 hectares à l’intérieur des terres pour installer des entrepôts. Nous ne combattrons pas le développement, mais nous combattrons un développement qui apporte la mort, les maladies, le dépouillement, l’exil, la ruine des patrimoines, l’effacement des mémoires. Renoncez à ce port en ces lieux ! La côte et le littoral vers Saint-Louis du Sénégal vous offrent un océan géant moins habité par les baleines qui viennent se reproduire à Ndayane-Popenguine-Toubab Dialaw, des terres vierges moins fécondées par une nature miraculeuse et unique, moins occupées par les agriculteurs, les pêcheurs, les maraîchères, les infrastructures hôtelières au prix d’énormes investissements, les entreprises culturelles cotées à l’international. Ce projet de port, en un jour, effacera des pages et des pages d’histoire et de patrimoine d’un des paradis de sable et de plage, le seul accessible à 45 minutes de trajet de Dakar, ce qui est un miracle ! Non, vous ne serez pas ce tueur, Monsieur le Président ! Vous ne lui ressemblez en rien ! Vous êtes plus grand que lui, plus humain que lui !
Votre ouvrage, Monsieur le Président, est plein de lunes et de soleils. Mais vous savez qu’il pleut, que les orages sont là, que les matins portent des angoisses, que nos enfants pâlissent en songeant à leur avenir, que les soins de santé sont un luxe, que nos prisons sont pleines et qu’elles sont des mouroirs, que l’école décline. Puissions-nous voir l’avenir apporter les correctifs nécessaires et les sacrifices indispensables. Bref, comme vous l’écrivez si bien et si justement dans votre ouvrage, il s’agit de réussir « le pari irréversible de combattre les injustices sociales (…) de faire passer le Sénégal d’une logique de réduction de la pauvreté à celle d’émergence économique. »
La page 276 clôt votre livre. Comme pour tout résumer, vous dites, par un solide et lucide plaidoyer: « Parce que c’est dans l’ignorance, la pauvreté et l’exclusion sociale que certaines causes d’instabilité trouvent un terreau à leur éclosion. C’est dans ce terreau qu’il faut éliminer les germes du mal (…) Autrement, nous aurons traité les symptômes en laissant de côté la maladie ».
Monsieur le Président, refaites la route, mais sans chaussure, de votre théorie à la pratique de votre projet de gouvernance. Si vous marchez sans écorchure, que personne ne vous fasse pourtant croire que la route est lisse !
En espérant que vous produirez d’autres livres, nourrirez d’autres réflexions contemporaines, en espérant que vous continuerez à encourager la vie de la pensée et à la protéger dans tout son éclat et toute sa liberté, je conclus cette très humble et très sommaire note de lecture de votre tome 1, en repensant à mes lectures de Dostoïevski. Il disait que « Le besoin spirituel le plus élémentaire du peuple russe est la nécessité de la souffrance ». A quoi l’Ambassadeur de Tombouctou, souriant, répond avec ironie, comme à son habitude, que « le besoin matériel le plus élémentaire du peuple sénégalais est la nécessité de l’abondance ».
Bref, gouverner, Monsieur le Président, c’est souffrir ! Écrire, c’est se révéler !
Amadou Lamine Sal est poète,
lauréat des Grands Prix de l’Académie française
48 Commentaires
Anonyme
En Juin, 2018 (12:12 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (12:13 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (12:16 PM)Senegal moo beuri doorkat you naafekh !!!
Anonyme
En Juin, 2018 (12:25 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (12:27 PM)Anonyme Deug Nekhoul
En Juin, 2018 (12:28 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (12:30 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (12:34 PM)Immobilier
Anonyme
En Juin, 2018 (12:42 PM)"Et d’ailleurs, la République n’est qu’une ! Vous y évoquez les institutions, la gouvernance, la paix, la sécurité, le développement et d’autres thèmes non moins prégnants qui touchent à la vie de la nation et les questions brûlantes qui tiennent éveillées la communauté internationale"
Anonyme
En Juin, 2018 (12:48 PM)Africaine
En Juin, 2018 (12:48 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (12:50 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (12:59 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (13:19 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (13:35 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (13:52 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (13:54 PM)Au revoir.
Anonyme
En Juin, 2018 (14:04 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (14:11 PM)Ce cretin à sa place dans une prison, loin des caisses de l’état et non dans une présidence. Mais en Afrique, on voit du tout.
Bay
En Juin, 2018 (14:14 PM)@16
En Juin, 2018 (15:55 PM)-en torchon,
-et même en serpillière
3 éléments très utiles sinon indispensables....
comme bon nombre de nos concitoyens...........dont le "DIOM" n'est plus qu'une vague notion enfouie sous des matelas de cfa...
Anonyme
En Juin, 2018 (17:16 PM)MAKY RADIATEUR, MAKY GLADIATEUR !
Aly haïdar dénonce le crime économique du pillage de nos mers et forêts, maky le radia
Colonel Ndaw dénonce dans son livre la coupe de bois en Casamance, Maky le radia de l’armée,
Commissaire Keita dénonce la drogue dans la police, Maky le radia.
Inspecteur Sonko dénonce la malgouvernance des petrotimbo faye sall gaz, Maky le radia de la Fonction publique.
Capitaine DIEYE dénonce les dérives dans l’armée, Maky le radia.
Abdoulaye Ndour, DAGE de présidence de la république, défend la liberté d’expression des agents de l’Etat, Maky le radia
Pour masquer l’obésité de son gouvernement, Maky radia 52 ministres de la haie d’honneur au Président turc Erdogane pour lui montrer seulement 33 sur les 85 ministres en tous genres.
Pour cacher les effectifs pléthoriques de l’école publique sénégalaise à Emmanuel Macron, Maky radia 65 élèves innocents de la liste de présence du jour pour lui faire croire que cette classe ne compte que 25 élèves tout beaux, tout sages et trop forts.
Kemi Seba et les nationalistes dénoncent la recolonisation du Sénégal par Bolloré, Total, Necotrans, SDE, Orange, Bouygues, Eiffage, SENAC, AUCHAN, SNCF, armée et langue françaises, maky les radia du pays.
Nafi Ngom OFNAC convoque Aliou sall , son frère, Maky la radia.
Imam Ndaw sert l’islam, Maky Charlie le radia de la liste des citoyens de la république pour les beaux yeux de l’Occident qui lui tient ses arrières.
Les sénégalais exigent reddition des comptes et audit, Maky radia la CDC de son frère Aliou Sall qui n’est plus soumise à son rapport de l’ARMP depuis 2017 avec la nomination de ce dernier.
Kabirou Mbodj de Wari veut acheter Tigo, Maky le radia au profit de son parent Yérim sow prête-nom de la France
De vrais entrepreneurs postulent pour le marché de la réfection du Building administratif qui a coûté 39 milliards de FCFA en 2017, Maky les radia et construit une cité ministérielle de 21 milliards, comparez !
Les entrepreneurs sénégalais réclament l’émergence, Maky les radia des marchés publics au profit de Total, Bolloré, Alstom, Eiffage, Auchan, Necotrans, Armée française, langue française, Banque de France
Le gornerment dit ouste à youssou touré, Maky le radia de la liste des gens saignants en le renommant ministre payé à ne rien faire comme youkhou ndour.
Présidentielle 2007 à Fatick, Maky radia le président du bureau de vote pour voter sans carte d’identité.
Insulteur pour Maky dans l’ex-journal « il est midi », Maky radia de la liste des gorgorlous Ndiogou Wack seck en le bombardant PCA de la RTS.
Racine Talla, chargé de com l’APR, DG de la RTS, Maky radie le gentleman agreement de ses prédécesseurs qui consistait à nommer des hommes politiquement neutres.
Le pétrole jaillit du sénégal, maky radia le peuple parmi les bénéficiaires pour le filer aux petro timbo faye sall.
Ministre Thierno .A. Sall dénonce l’accaparement du pétrole par la dynastie Faye Sall, maky le radia du Gouvernement comme ce fut le cas pour les Ministres Malick Ndiaye, Amsatou Sow Sidibé, Bamba Biéye.
De riches hommes d’affaires comme Bibo Bourgi et Alioune Aïdara sont de l’opposition, Maky les radia par dépossession en inventant la traque des biens mal acquis.
Pour faire de Wade un sans domicile fixe, Maky lui radia son titre de propriété de sa maison cinquantenaire du Point E.
Procureur Alioune Ndaw envisage la disculpation de Karim Wade, Maky le radia de la CREI par SMS en pleine audience.
Pour faire du wakh wakhéét wakhati wakhéét sur un mandat de 5 ans, Maky radia toute dignité à sa mackystrature et inventa un référendum pour noyer le mensonge.
Karim veut devenir président, Maky le radia des listes d’électeurs, de candidats et de propriétaires de biens .
Khalifa veut devenir président, maky le radia des listes d’électeurs et de candidats.
Me Abdoulaye Wade voulait se représenter, Maky le radia des candidats en jouant sur l’âge maximum des candidats à la présidence.
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Anonyme
En Juin, 2018 (17:17 PM)Défaite inéluctable à Touba aux législatives de 2018, Maky radia 100.000 électeurs de droit de vote et fait démarrer le scrutin à 18 heures, heure à laquelle sont arrivés les bulletins de la liste dirigée par Abdoulaye WADE.
Maky radia la journée nationale du dialogue du calendrier république en refusant le statut du chef de l’opposition au PDS, en emprisonnant et exilant karim , puis khalifa, imposant le référendum, le parrainage, les modifications du code électoral et de la Constitution.
3 millions de citoyens s’inscrivent sur les listes électorales, Maky les radia du droit de vote en bloquant les cartes sur des critères d’âge, d’origine, d’ethnie, de région, etc.
Un siège pour APR et Maky radia les terres de Dakar Dem Dikk du domaine public pour les attribuer à son association privée.
Les sénégalais prenaient les bus Dakar dem dikk à l’ârret situé entre le palais et l’hôpital principal, Maky leur radia ce minimum pour jeter cet ârret loin au diable.
Vert, or et rouge sont les couleurs nationales, Maky les radia de l’espace et des biens publics peints en marron beige comme avec les bus Dakar dem , dikk, aéroport, ministères, etc.
Le drapeau national flottait seul au Palais, Maky lui radia cet avantage en le flaquant d’un drapeau frappé des initiales de Maky sall.
Cheikh Omar Anne ex- Ministre sous Wade, Siré Dia et Cheikh Kanté pillent respectivement le COUD, la Poste et le Port, Maky les radia de tout contrôle.
La Cour de comptes veut enquêter, Ministre Moustapha Diop la radia son de son champ de vision avec humiliation à la clé.
Les enseignants veulent développer les ressources humaines du sénégal, Maky et son clan radient leurs enfants de l’école publique pour construire une aristocratie.
Les étudiants réclament le paiement de leur bourse, Maky radia de la vie Fallou Sène de l’UGB et Bassirou Faye de l’UCAD.
Beuggueu tékki chez nos pauvres enfants de l’école publique, Maky leur radia tout avenir en sabotant l’école publique pour perpétuer la domination de classe.
9 millions de jeunes chôment, Maky octroie un salaire de 500 mille FCFA aux épouses de diplomates payées à ne rien faire.
Pendant que 517.770 familles ont perçu 259 milliards de FCFA entre 2013 et 2018 sur des bases politico-ethniques sans jamais travailler, Maky radie des cahiers de doléances les revendications des gens qui travaillent.
Les travailleurs de la santé veulent la santé pour tous, Maky radia son clan des structures de santé publique au profit des cliniques et de l’étranger.
Les paysans pourrissent avec leurs récoltes d’arachides, Maky les radie de la liste des vendeurs.
Le ramassage des ordures rapporte gros, Maky le radia des compétences de la mairie de Dakar.
Les transhumants rejoingnent l’APR, Maky les radia de toutes poursuites en mettant le coude.
Des Communes échappent à son contrôle, Maky les radia de l’émergence en inventant l’Acte 3 de la décentralisation, Acte maléfique qui mène tout droit vers l’enfer.
Magistrat Ibrahima Déme dénonce la soumission du judiciaire, Maky le radia de la Mackystrature.
Sénégal pays où l’on vote depuis la révolution française de 1789, Maky le radia des pays démocratiques selon le comité de l’ONU de la lutte contre la torture dans son rapport 2018.
Sénégal pays écolo, Maky le radia de cette liste selon le rapport 2018 qui classe Dakar , 2 ème ville la plus polluée au monde.
Les tirailleurs sénégalais non sénégalais meurent pour la France, Maky jubile de leur radiation de la liste des bénéficiaires du déssert servi uniquement aux sénégalais.
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Foulbés!
En Juin, 2018 (17:19 PM)les éternelles différences-différentes-diversités-diverses qui séparent à jamais les dignes-nobles-courageux peuples sénégalais, Patriotes purs, Républicains authentiques,
des certains-es-certainement-certains-es, éternels sinistres "êtres", sans foi ni loi, viscéralement inapte d'user à bon escient de leurs crânes, arides ou désertiques soient-ils.
Dans la vie, le passé vraie doit être connu-reconnu-admis, mais la priorité prioritaire doit être accordée au présent et le futur.
Pour maitriser son présent et préparer soigneusement son futur, il faut certes maitriser son passé,
non pas un passé fabriqué de toute pièce ou issu d'un montage crétin de bobards-foutaises pour se donner une déguisée image crétine de soi, leurrant ainsi les connards,
mais un riche et glorieux passé démontrable et démonstratif, des preuves irréfutables à l'appui.
NOUS pensons qu'avant de se prononcer publiquement sur une FAIT donné, il faut bien le savoir, le comprendre.
M. Amadou Lamine Sal n'est pas un politicien adepte de la politique politicienne à la certains-es-certainement-certains-es,
mais un Patriote intellectuel et poète qui livre là une vérité vraiment vraie pas à la portée de sinistres "êtres" friands de bobards-foutaises-conneries-cochonneries-crétineries, car étant viscéralement inaptes d'user à bon escient de leurs crânes arides.
Le Président de la République du Sénégal,
Son Excellence, Dr. Macky Sall, Peul de Souche pure, donc éternellement digne-noble-courageux atavique, a couché dignement sur des papiers des éléments manifestes qui honorent le Sénégal, rassurent les dignes-nobles peuples sénégalais.
DES FAITS CONCRETEMENT CONCRETS À LA PLACE DES BAVARDES CREUX!
Avec le Dr. Macky Sall, Président de la République du Sénégal, les dignes-nobles peuples sénégalais ont retrouvé les dignité-bon sens-sens-bonheurs-honneurs d'antan!
Les cris-bavardages-mensonges-falsifications-triches-usurpations-trahisons-arrogances-insolences-corruptions-prédations-magouilles-trafics-crimes-haines-racismes déguisés-combines-complots-pactes diaboliques sont les croustillants-souillés pains quotidiens des sinistres "êtres"!
FOULBES!!!
Anonyme
En Juin, 2018 (17:19 PM)L’Assemblée nationale compte trop de groupes parlementaires à son goût, Maky les radia de l’Hémicycle en élevant le nombre de députés constitutifs.
Pour une gestion sombre et vicieuse, Maky radie le Sénat et débarque avec :
85 ministres déclarés, un budget PR de 88 milliards,
165 députés et 8 vices- présidents,
HCCT PDT Ousmane tanor dieng 150 membres,
Conseil économique environnemental de aminata tall : 120 membres dont 80 conseillers, 40 associés, 6 vice pdts et 6 secrétaires
Commission sur la transparence dans les industries extractives présidée par Mankeur ndiaye
Commission sur la protection des données personnelles : présidée par awa couddou louche
Commission sur les investissements présidée par mamadou lamine keita
Commission nationale du dialogue des territoires qui fut présidée par djibo ka, ensuite par Benoit sambou
Des citoyens sont dangereux, Maky choisit ses électeurs et les radia du fichier.
Des leaders sont dangereux pour un deuxième mandat, Maky invente le parrainage et les radia de la liste des candidats qu’il choisit lui-même..
Barth Diaz, Me Amadou Sall, Mamadou lamine Massaly, Toussaint Manga du PDS, Bocar Dieng, Bamba Fall, Maky les radia du champ politique via Rebeuss.
Les sénégalais réclament un sénégal pour tous, Maky les radie de la liste des prétendants à ce droit au profit de son ethnie.
Maky radiateur de lanceurs d’alerte défenseurs de la nation
Macky Lucky Luke tire plus vie que son ombre.
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Anonyme
En Juin, 2018 (18:15 PM)Pleurs
En Juin, 2018 (18:29 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (20:27 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (20:55 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (22:28 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (22:35 PM)Lamine Sall toi là vraiment. Tu penses que les gens ont le temps de lire un tel léchage de cul.
Même un critique aurait écrit une page seulement.
Pourquoi tant de pages alors pour ne rien dire. T'en fais pas ce torchon de livre sera soumis à la réelle critique: celle populaire.
Yaw taamite
Anonyme
En Juin, 2018 (23:07 PM)Quand on vend son âme au diabel!!!!!!!
Macky Korr Marieme Faye
En Juin, 2018 (23:49 PM)Macky Sall Ngaari gorko torodo
Avec Macky pour un Senegal emergent et qui gagne
Avec Marieme pour Servir le Senegal
Anonyme
En Juin, 2018 (00:53 AM)Anonyme
En Juin, 2018 (00:58 AM)Anonyme
En Juin, 2018 (05:57 AM)GESTION SOMBRE ET VICIEUSE
Maky avait promis 25 ministres et un mandat de 5 ans Gestion sombre et vicieuse : Un Gouvernement avec 85 ministres. 40 ministres avec portefeuilles, 3 ministres d'Etat et 39 ministres sans portefeuilles... en plus du Premier ministre, sans compter les ministres nommés en cachette, les institutions pour caser une clientèle. Et si on disait au Président turc Erdogan la vérité !
CHINE :28 ministres : 1 milliard 450 millions hbts 2 ème puissance
INDE : 41 ministres :1 milliard 200 millions hbts 2 ème puissance démobraphique
USA : 21 ministres 323 millions hbts 1 ère puissance mondiale
Allemagne : 15 ministres 88 millions hbts 1 ère puissance europe
France : 22 ministres 67 millions hbts 3 ème puissance europe
Sénégal : 85 ministres, 1ère puissance gouvernementale
1.Augustin Tine, ministre des Forces armées
2. Sidiki Kaba, ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur
3. Aly Ngouille Ndiaye, ministre de l’Intérieur
4. Ismaïla Madior Fall, garde des Sceaux, ministre de la Justice
5. Abdoulaye Daouda Diallo, ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement
6. Amadou Bâ, ministre de l’Economie, des Finances et du Plan
7. Mansour Faye, ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement
8. Diène Farba Sarr, ministre du Renouveau urbain, de l’Habitat et du Cadre de vie
9. Mariama Sarr, ministre de la Fonction publique, de la Rationalisation des effectifs et du Renouveau du service public
10. Papa Abdoulaye Seck, ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural
11. Mansour Elimane Kane, ministre du Pétrole et des Energies
12. Abdoulaye Diouf Sarr, ministre de la Santé et de l’Action sociale
13. Ndèye Sali Diop Dieng, ministre de la Femme, de la Famille et du Genre
14. Serigne Mbaye Thiam, ministre de l’Education nationale
15. Mary Teuw Niane, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation
16. Alioune Sarr, ministre du Commerce, de la Consommation, du Secteur informel et des PME
17. Aminata Mbengue Ndiaye, ministre de l’Elevage et des productions animales
18. Mamadou Talla, ministre de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat
19. Omar Guèye, ministre de la Pêche et de l’Economie maritime
20. Yaya Abdoul Kane, ministre de la Gouvernance territoriale, du Développement et de l’Aménagement du territoire
21. Moustapha Diop, ministre de l’Industrie et de la Petite et Moyenne industrie
22. Mbagnick Ndiaye, ministre de l’Intégration africaine, du NEPAD et de la Fracophonie
23. Matar Bâ, ministre des Sports
24. Samba Sy, ministre du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les institutions
25. Abdoulatif Coulibaly, ministre de la Culture
26. Khoudia Mbaye, ministre de la Promotion des investissements, des Partenariats et du développement des Téléservices de l’Etat
27. Abdoulaye Bibi Baldé, ministre de la Communication, des Télécommunications, des Postes et de l’Economie numérique
28. Maimouna Ndoye Seck, ministre des Transports aériens et du Développement des infrastructures aéroportuaires
29. Mame Mbaye Niang, ministre du Tourisme
30. Aissatou Sophie Gladima Siby, ministre des Mines et de la Géologie
31. Mame Thierno Dieng, ministre de l’Environnement et du Développement durable
32. Pape Gorgui Ndong, ministre de la Jeunesse, de la Construction citoyenne et de la Promotion du volontariat
33. Aminata Angélique Manga, ministre de l’Economie solidaire et de la Microfinance
34. Abdoulaye Diop, ministre de l’Emploi, de l’Insertion professionnelle et de l’Intensification de la main d’oeuvre
35. Ndèye Ramatoulaye Guèye Diop, ministre de la Bonne gouvernance et de la Protection de l’enfance
36. Souleymane Jules Diop, ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé du PUDC
37. Birima Mangara, ministre délégué auprès du ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, chargé du Budget
38. Abdou Ndéné Sall, ministre délégué auprès du ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, chargé du Développement du réseau ferroviaire
39. Moustapha Lô Diatta, ministre délégué auprès du ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, chargé de l’Accompagnement et de la Mutualisation des organisations paysannes.
40 Cheikh Kanté, ministre du suivi du PSE
Ministres d’Etat sans département (3)
41 Eva Marie Colle Seck
42 Mbaye Ndiaye
43 Mahmouth Saleh
En plus des 41 ministres nommés lors du dernier réaménagement gouvernemental, le président Macky Sall a sous sa coupole 39 ministres conseillers takhwaalou tambaambaalou , tous entretenus au frais du contribuable Sénégalais. Ce qui fait un total de 80 ministres. Du jamais vu !
La liste des ministres conseillers takhawaalou tambaambaalou :
1. Moustapha Diakhaté, Ministre/Chef de cabinet
2. Elhadj Hamidou Kassé
3. Youssou Ndour ministre bodio bidio , chanteur , PDG de presse et fonctionnaire
4. Serigne Mbaye Dia
5. Diagna Ndiaye CNOS
6. Ousmane Ndiaye
7. Baba Diaw Pétrole
8. Bassirou Mbacke
9. Benoît Sambou
10. Mor Ngom
11. Abdoul Aziz Mbaye transhumant
13. Zator Mbaye
14. Jean Pierre Senghor
15. Hamidou Dia
16. Seydou Diouf
17. Ndongo Ndiaye
18. Abdou Mboup
19. Amy mbacke Thiam
20. Abdoulaye Sali Sall
21. Seydina Issa Laye Kane transhumant
22. Pr Bamba Kane
23. Bineta Gassama
24. Cheikh Sakho
25. Abdoulaye Badji, Ministre
26. Arona Coumba Ndoffene Diouf
27. Moustapha Fall CHE
28. Penda Mbow
29. Dr Fallou Samb
30. Abdoul Aziz Diop
31. Cheikh Mbacke Sakho
32. Ndeye Marieme Badiane
33. Pape Magueye Diop
34. Seydina Elhadj Laye Seck
35. Ablaye Sally Sall
36. Zahra Iane Thiam
37. Omar demba ba
38. Sidy Ben Omar Kane
39. Abdoulaye Seydou Sow
39 ramatoulaye BA
40 Abdoulaye Barro
. Pour un budget de 3.790, 1 milliards en 2018, Maky en détient 88 milliards
ASSEMBLEE NATIONALE: 165 députés dont 8 vice-présidents
HCCT PDT Ousmane tanor dieng 150 membres
Conseil économique environnemental de aminata tall : 120 membres dont 80 conseillers, 40 associés, 6 vice pdts et 6 secrétaires
Commission sur la transparence dans les industries extractives présidée par Mankeur ndiaye
Commission sur la protection des données personnelles :présidée par awa couddou louche
Commission sur les investissements présidée par mamadou lamine keita
Commission nationale du dialogue des territoires qui fut présidée par djibo ka, ensuite par Benoit sambou
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Anonyme
En Juin, 2018 (05:58 AM)Bilan des conseils des ministres décentralisés :
BUDGET Sénégal 2018 : 3.710 milliards par an, fois 7 ans, total : 25.970 milliards FCFA
5 000 milliards de FCFA de promesses en conseils délocalisés. Maky avait promis 700 mille emplois aux jeunes, une gestion sobre et vertueuse, OFNAC, un mandat de 5 ans, la patrie avant le parti
Dette intérieure 500 milliards de FCFA, dette extérieure 3.000 millisrds de FCFA en 2017
Le Bilan de Macky SALL est caractérisé aussi par des promesses non tenues : réduction de son mandat de 7 à 5 ans, création de 500.000 emplois pour la jeunesse, un gouvernement de 25 ministres aujourd’hui il a nommé plus de 49 ministres, sans compter les ministres-conseillers qui sont plus de 40. Il avait promis une gouvernance sobre et vertueuse mais que nenni, sous Macky SALL il y a eu une multiplication virale des agences et des institutions budgétivores et inutiles qui servent uniquement à caser de la clientèle politique et les transhumants en recherche de pâturages.
Le montant cumulé des promesses de financement des programmes d’investissements publics validés lors des Conseils des ministres délocalisés s’élève à prés de 5 000 milliards de FCFA.
Depuis le premier conseil délocalisé à Saint Louis en juin 2012, le chef de l’Etat et son gouvernement ont sillonné les 14 régions du Sénégal : Saint-Louis, Ziguinchor, Louga, Kolda, Sédhiou, Thiès, Matam, Kédougou, Tambacounda, Diourbel, Kaolack, Kaffrine, Fatick, Dakar.
Saint-Louis : 306,7 milliards de FCfa
Kaolack : 255 milliards de FCfa
Matam : 127 milliards de FCfa
Louga : 250 milliards de FCfa
Tambacounda : 201,9 milliards de FCfa
Thiès : 447 milliards de FCfa
Ziguinchor : 360 milliards de FCfa
Kolda : 204 milliards de FCfa
Kédougou : 192 milliards de FCfa
Diourbel : 209 milliards de FCfa
Kaffrine: 206 milliards de FCfa
Sédhiou : 187 milliards de FCfa
Fatick : 246 milliards de FCfa
Dakar 1800 milliards
Total : prés de 5 000 milliards de FCFA&é »’((-
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Anonyme
En Juin, 2018 (05:59 AM)Posez la grille ethnique et vous lirez Maky facilement.
60 milliards à Maky pour une carte par personne qui ne viendra jamais alors que Wade, avec 15 milliards, a produit 2 cartes par personnes dans le temps et dans l’espace. Maky qui avait promis 3191 milliards de FCFA avec les conseils décentralisés et 500 mille emplois aux jeunes, est incapable de nous livrer des cartes d’identité.
Tout le processus électoral est miné comme dans le maquis.
Maky choisit les candidats à toutes les élections en manipulant la justice qui les élimine, demandez à Karim et Khalifa. Le parrainage permet à Maky de faire le tri de ses adversaires qui réussiront à passer après le tamis e la justice. Maky choisit les électeurs en sabotant l’inscription, la fabrication des cartes, leur distribution, la fabrication des bulletins, leur acheminement, l’organisation du vote, la proclamation des résultats. Maky a délibérément saboté les élections à Dakar, Touba, en milieu wolof, mouride et dans les zones non favorables. Aucun problème dans les régions toucouleur ou de sa belle-famille du Sine. Les 90.000 électeurs de 200 bureaux de vote à Touba n’ont pas voté parce que Maky n’en voulait pas. Le vote a démarré à 18 heures à Touba comme l’a voulu Maky.1 million 500 sénégalais, des sans-papiers, n’ont pas voté par sabotage organisé. 60 milliards investis sur des cartes pour voler les élections. Maky avait 5 ans pour préparer les élections. Il organise la fraude industrielle en confisquant la voix du peuple comme avec son wakh wakhééte sur un mandat de 5 ans .Relisez Althusser, Maky a confié l’appareil répressif de l’Etat à abdoulaye daouda diallo, l’appareil idélogique confié à yaya abdoul kane ministre des télécoms, Chérif Diallo Directeur des TIC, Elhadji ndiaye 2S TV PCA de la société sénégalaise de télédiffusion, Racine talla à la RTS, ARTP avec le DG Abdou karim sall et le PCA Abou Abel Thiam, l’opérateur de téléphone Hayo couvrant le Fouta, Tigo à Yérim sow qui avait mis l’hôtel Radisson à la disposition de Maky pendant la présidentielle de 2012 comme Alassane Ouattara avec l’hôtel Ivoire d’Abidjan pour lui servir d’Etat-major de guerre au cas où Wade refuserait de céder le pouvoir. Maky manipule la Constitution pour empêcher à Wade de se présenter à une élection présidentielle et invente le parrainage pour éliminer des adversaires qu’il n’ose pas affronter.
Il n’ y a que les wolofs qui sont emprisonnés dont les candidats sérieux que sont Karim Wade et Khalifa. Cissé Lo avait déjà théorisé la coalition toucouleur et sérére. Senghor couplé à Mamadou Dia et Diouf avec son dauphin Tanor ont initié cette coalition ethnique depuis 1960. Maky la perpétue avec le PM Dione. En plus de la toucoulorisation de la république par des nominations, des bourses ethniques et recrutements ethniques d’ASP, Maky veut bruler ce pays où la coexistence des peuples et religions était incontestable. La justice récite une dictée sous contrôle de Maky. Attention Maky est dangereux !
Chers compatriotes, réveillez-vous !
Anonyme
En Juin, 2018 (06:00 AM)^^^^^__-_-
PARRAINAGE
Le premier couteau de Maky est la justice derrière laquelle il s’abrite comme Bouki l’hyène dans une peau de chèvre demandant au girafon ndjamala de répondre à sa mère pour le décapiter. Karim et khalifa sont victimes de cette justice manipulée de marionnettes et autres khousmaniappes. Le parrainage, réforme électoral foncièrement déconsolidante pour paraphraser le petit profon Ismaïla Ndiaakhoum FALL tailleur bricoleur du pantalon constitutionnel de Moriba, assimilable à un coup d’Etat, est le second couteau de Maquis pour sabrer un candidat qu’il n’ose pas affronter démocratiquement. Jamais dans l’histoire politique du Sénégal le parrainage n’a été systématique. Il n’était valable que pour les candidats indépendants. En France le parrainage se fait par les élus. Tous les prétextes sont bons pour invalider une candidature gênante : erreurs de bonne ou de mauvaise foi sur les infos concernant l’électeur, nom de l’électeur retrouvé sur plusieurs listes, signature,etc.
Et puis à quoi sert la caution si ce n’est pour rembourser le frais occasionnés par les candidatures fantoches ou sans illusion ? Ces dernières sont plus honnêtes, loyales et jouent franc jeu. Les partis altoppé, yobalema, pour mieux brouter dans les prairies du maquis, trichent, s’abritent derrière des coalitions et n’osent se présenter à aucune élection : PS, LDMPT, PIT, AFP, etc. Ils sucent le sang du contribuable avec les fonds politiques mensuellement versés et les postes politiques offerts sur un plateau d’argent. Un part politique a pour vocation première de conquérir le suffrage des électeurs. Que dire des candidats financés par Maky pour créer une illusion de partis d’opposition passant à table et recevant des dessous de table : Farba Senghor, Modou Diagne Fada, Aida Mbodj, Thierno, Bocoum, Talla Sylla, Abdoulaye Baldé, Me Babou, etc.
Haro sur les partis et mouvements qui opèrent en eaux troubles, ne demanderont pas à être parrainés, n’affronteront jamais le suffrage des électeurs, mais vont chercher le parapluie d’un leader fort pour recevoir un retour sur investissement plus tard !
Pour ménager le budget, il n’y a pas mieux que le bulletin unique. Le système du bulletin par candidat augmente les frais d’impression, permet de saboter les bulletins des adversaires en jouant sur les logos, ressemblances, couleurs et photos à assombrir, ralentit les opérations électorales. Lors des législatives de 2017, le vote a démarré à 18 h à Touba où il n’y avait pas, par extraordinaire, les bulletins de Wade ; ainsi 100 mille personnes n’ont pu voter à Touba, deuxième ville du Sénégal et bastion du PDS, distant de 200 km, parce que Maky l’a voulu ainsi. Rien à signaler au Fouta avec des distances frôlant les 900 km.
Les candidats dits fantoches ont le mérite d’éclaircir le jeu politique par leur courage, leur honnêteté. Ils auront pris le risque de perdre la caution versée. Des entrepreneurs politiques qui n’ont versé aucun kopeck, attendent la moisson pour récolter sans effort. Maky lui, même a parrainé des listes à l’occasion des législatives de 2018.Maky entretient avec l’argent du contribuable plus de 200 espèces de partis de Benno Bokk Benne Bakkaar qui n’envisagent point d’affronter les électeurs.
Me WADE a eu le courage le 23 juin 2011 d’inviter l’opposition à venir manifester librement à l’Assemblée lors du vote, de rester au palais, d’organiser un débat contradictoire à l’Assemblée, de freiner le processus d’adoption à son honneur. Maky le petit sous-préfet d’Afrique, couard, a préféré prendre l’avion avec femme, enfants, clics et claques pour se réfugier chez le maître gaulois Macron, non sans avoir interdit toutes manif et tout débat à l’Assemblée.
Maky va dégager en 2019 et l’Assemblée dissoute.^^^_-_-
Anonyme
En Juin, 2018 (08:55 AM)Anonyme
En Juin, 2018 (09:00 AM)Anonyme
En Juin, 2018 (09:06 AM)Anonyme
En Juin, 2018 (09:45 AM)Anonyme
En Juin, 2018 (10:22 AM)Abulbachar
En Juin, 2018 (10:22 AM)au Sénégal la parole qui autrefois étais sacré deviens de plus en plus banale.
mais l'amère vérité qu'il nous faut regarder en face c'est l'ECHEC totale partout sur toute les plan et dommage ils parlent trop et ne réfléchissent pas assez trop malade ndeysane SENEGAL matérialisme dégradant archaïsme débordant
Anonyme
En Juin, 2018 (10:25 AM)ARRÊTE TA COMPLAISANCE
MAKY N A JAMAIS ÉTÉ UN INTELLECTUEL
NI INTÉRESSÉ PAR LA CULTURE
GROSSE OPÉRATION COMM COUSUE DE FIL BLANC
PAR LE LÈCHE BOTTES ABDOU AZIZ DIOP QUI A TRANSHUME
1000 FOIS ET A QUI MAKY A OFFERT UN EMPLOI
DOMMAGE QUE MAMOUSSE SE SOIT PRÊTE À CE JEU MALSAIN
DE LA COJRTISANNERIE
Anonyme
En Juin, 2018 (10:30 AM)Lors de la dernière manifestation palestinienne contre l'inauguration de la nouvelle ambassade des Etats Unis en Israel, et où 64 personnes ont été tués à la frontière de Gaza, voici ce qui s'est réellement passé.
Le groupe terroriste palestinien Hamas qui a l'habitude d'utiliser la population palestinienne comme bouclier humain, était caché au milieu des manifestants avec des kalachnikovs et des explosifs. Pendant que certains palestiniens jetaient des pierres, les combattants du hamas tiraient sur les soldats israéliens et lançaient leurs explosifs. leurs objectifs était de passer la frontière et de tuer autant d'israéliens, autant de juifs que possible.
Les soldats israéliens n'étant pas dupes et ayant compris que la manifs étaient en fait un camouflage du hamas a tiré sur les assaillants pour les empêcher de détruire la barrière et de commettre des meurtres côté israélien.
A ce jour, un agent du hamas a publiquement affirmé que 50 combattants du hamas ont té tué dans cette manifestation (sur les 64 morts qu'il y a eu ce jour-là). N'est-ce pas la preuve qu'Israël n'assassinait pas femme et enfant, mais qu'il essayait juste de se défendre et de sauver sa population contre des terroristes brutaux !!! Quel Etat n'aurait pas défendu son peuple contre un tel plan machiavélique, utilisant des femmes, enfants et vieillards (complices, ou manipulés ou contraints) comme bouclier humain?
Israël n'est pas un état criminel et ne l'a jamais été, c'est un état qui essaie de se défendre car entouré d'ennemis. les médias européens mentent au sujet d'Israël.du fait de la perpétuelle haine des juifs qui existe depuis bien avant notre naissance.
Anonyme
En Juin, 2018 (14:50 PM)Participer à la Discussion