Ouvert mardi 2 mai, le festival de film-documentaire de Saint-Louis baisse ses rideaux ce samedi 6. La sélection compte dix-huit œuvres de dix-sept pays. Trois sont sénégalaises. Il s’agit de «Gaad» de El Hadj Demba Dia et Mamadou Khouma Guèye, «La vie de ma mère» de Maïram Guissé et Lydia Decobert, et «Yaram» de Moussa Ka.
D’après Enquête, qui a effectué la présentation des dix-huit films du festival dans son édition de ce vendredi, «Gaad», du nom du village abritant les Industries chimiques du Sénégal (ICS), aborde les «conséquences négatives de l’extraction des minerais». «Yaram» est le nom d’une jeune fille qui entame une nouvelle vie avec sa famille au milieu d’un «camp de réfugiés climatiques». Elle et les siens, ont été chassés de la Langue de Barbarie, à Saint-Louis, par la houle qui a englouti les habitations.
Avec «La vie de ma mère», Maïram Guissé et Lydia Decobert captent «l’histoire d’une fille qui raconte la vie de sa mère», Fatimata, en se demandant «qui est (cette) femme qui, sa vie durant, a conquis son espace de liberté». C’est, selon Maïram Guissé, «une plongée dans un univers inconnu pour beaucoup».
D’après Enquête, qui a effectué la présentation des dix-huit films du festival dans son édition de ce vendredi, «Gaad», du nom du village abritant les Industries chimiques du Sénégal (ICS), aborde les «conséquences négatives de l’extraction des minerais». «Yaram» est le nom d’une jeune fille qui entame une nouvelle vie avec sa famille au milieu d’un «camp de réfugiés climatiques». Elle et les siens, ont été chassés de la Langue de Barbarie, à Saint-Louis, par la houle qui a englouti les habitations.
Avec «La vie de ma mère», Maïram Guissé et Lydia Decobert captent «l’histoire d’une fille qui raconte la vie de sa mère», Fatimata, en se demandant «qui est (cette) femme qui, sa vie durant, a conquis son espace de liberté». C’est, selon Maïram Guissé, «une plongée dans un univers inconnu pour beaucoup».
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