"À l'ombre de la cité Rimbaud" est un ouvrage-choc et engagé rédigé par la talentueuse écrivaine Halimata Fofana. Une plume pointue qui crache ses vérités pour mettre à nue les tabous sur l'excision, une pratique ancestrale africaine.
D'origine sénégalaise, Halimata Fofana est une écrivaine engagée, qui se distingue grâce à sa belle plume qui est un symbole de rébellion pour lutter contre les tabous de la tradition et les causes nobles.
Née en France, Halimata Fofana est très rattachée à son pays d'origine le Sénégal. Elle a publié son premier roman en 2016, intitulé "Mariama, l’écorchée vive".
Dans son deuxième ouvrage, elle raconte l’histoire bouleversante de Maya, une jeune fille française d'origine malienne qui refuse de faire allégeance aux poids de la tradition.
L'histoire de cette courageuse Maya se résume ainsi : "A sept ans, lors de ses premières vacances à Bamako, elle subit une excision et comprend vite que cette mutilation a été orchestrée, qu'elle devra taire sa douleur. Face au poids des rites et des croyances, Maya oppose sa force, sa rage, refusant de se résigner à son sort, sans pour autant renier ses deux identités."
Soninké du Sénégal, écrivaine, auteure l'ancienne enseignante et éducatrice à la protection judiciaire de la jeunesse a de bonnes raisons pour parler de l'excision d'après ses expériences. Passionnée de littérature, Halimata Fofana ne cache pas ses vérités sur les conséquences terribles de l'excision.
"L'excision, c'est un acte ancestral qui a des conséquences terribles pour la femme et qui peuvent parfois mener jusqu’à la mort", nous confie la romancière.
Les mutilations sexuelles faites aux femmes sont devenues son combat. Elle a également écrit un documentaire sur le sujet avec la réalisatrice Anne Richard. Intitulé "À nos corps excisés", qui est sorti récemment sur Arte fin juin et disponible gratuitement jusqu’en 2023.
Actuellement, Halimata travaille sur son troisième ouvrage et envisage de faire la présentation de son deuxième roman au Sénégal et dans le reste du monde, dans le but de conscientiser le grand public sur la pratique de l'excision.
D'origine sénégalaise, Halimata Fofana est une écrivaine engagée, qui se distingue grâce à sa belle plume qui est un symbole de rébellion pour lutter contre les tabous de la tradition et les causes nobles.
Née en France, Halimata Fofana est très rattachée à son pays d'origine le Sénégal. Elle a publié son premier roman en 2016, intitulé "Mariama, l’écorchée vive".
Dans son deuxième ouvrage, elle raconte l’histoire bouleversante de Maya, une jeune fille française d'origine malienne qui refuse de faire allégeance aux poids de la tradition.
L'histoire de cette courageuse Maya se résume ainsi : "A sept ans, lors de ses premières vacances à Bamako, elle subit une excision et comprend vite que cette mutilation a été orchestrée, qu'elle devra taire sa douleur. Face au poids des rites et des croyances, Maya oppose sa force, sa rage, refusant de se résigner à son sort, sans pour autant renier ses deux identités."
Soninké du Sénégal, écrivaine, auteure l'ancienne enseignante et éducatrice à la protection judiciaire de la jeunesse a de bonnes raisons pour parler de l'excision d'après ses expériences. Passionnée de littérature, Halimata Fofana ne cache pas ses vérités sur les conséquences terribles de l'excision.
"L'excision, c'est un acte ancestral qui a des conséquences terribles pour la femme et qui peuvent parfois mener jusqu’à la mort", nous confie la romancière.
Les mutilations sexuelles faites aux femmes sont devenues son combat. Elle a également écrit un documentaire sur le sujet avec la réalisatrice Anne Richard. Intitulé "À nos corps excisés", qui est sorti récemment sur Arte fin juin et disponible gratuitement jusqu’en 2023.
Actuellement, Halimata travaille sur son troisième ouvrage et envisage de faire la présentation de son deuxième roman au Sénégal et dans le reste du monde, dans le but de conscientiser le grand public sur la pratique de l'excision.
6 Commentaires
Encore !!!!
En Septembre, 2022 (13:51 PM)L'excision doit être interdite et proscrite de nos sociétés, alors passons maintenant à autre chose car il y'a encore chez nous des pratiques bcp plus graves qu'on doit dénoncer mais restons pas toujours sur les même débats des années 1980
Reply_author
En Septembre, 2022 (13:48 PM)Momo
En Septembre, 2022 (15:26 PM)Xeme
En Septembre, 2022 (16:06 PM)Ndiaye
En Septembre, 2022 (17:39 PM)Participer à la Discussion