Après avoir participé au Groupe consultatif de Paris, le président de la République Macky Sall est arrivé, hier, au Qatar.
Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, était mardi matin l’hôte à déjeuner de Son Altesse Sheikh Hamad Bin Khalifa AL-THANI, Emir du Qatar. Le chef de l’Etat sénégalais est arrivé à la résidence de l’Emir peu avant midi, accueilli par une levée des couleurs, avec l’hymne national du Sénégal qui a retenti dans tous les coins de ce gigantesque palais de marbre. L’accueil a été suivi d’un tête-à-tête entre les deux chefs d’Etat, qui ont échangé sur les relations bilatérales entre les deux pays et les questions internationales. La discussion s’est poursuivie dans une grande salle aux lustres imposants, au cours d’un déjeuner servi dans la pure tradition arabe. Le président Macky Sall a présenté l’ambitieux projet de nouvelle ville autour du lac Rose, qui a suscité l’intérêt de son hôte à déjeuner. De nombreux ministres qataris ont échangé avec la partie sénégalaise, constituée de ministres et hommes d’affaires.
Au cours des discussions, L’Emir du Qatar s’est félicité des mesures de Bonne gouvernance initiées par le président Macky Sall depuis son élection, qui sont constituent pour lui une rupture salutaire dans la façon de gérer le Sénégal. L’Emir a indiqué que le partenariat qu’il entend redynamiser doit être établi sur une base gagnant-gagnant, indiquant que les investisseurs de son pays sont dans de bonnes dispositions pour accompagner le développement du Sénégal, en insistant sur le fait que les deux pays sont « frères ». Son Altesse Sheikh Hamad Bin Khalifa AL-THANI a aussi exprimé sa ferme volonté d’accompagner le président Macky Sall dans sa nouvelle politique énergétique, avec une politique de mixte énergétique qui veut faire plus de place au gaz liquéfié.
Mercredi, dernière journée de sa visite, le président Macky Sall reçoit en audience Sheikh Hamad Bin Jassem Bin Jabar AL-THANI, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères du Qatar ainsi que le Dicteur Mohammed Bin Saleh AL-SADA, ministre de l’Energie.
(Source : Présidence)
13 Commentaires
Le Peuple
En Février, 2014 (17:56 PM)Kar
En Février, 2014 (17:59 PM)Dem
En Février, 2014 (18:00 PM)Ok Macks
En Février, 2014 (18:18 PM)Jaf Waay
En Février, 2014 (18:43 PM)Zouka
En Février, 2014 (18:44 PM)l'emir s'appelle Sheikh Tamim bin Hamad AL-THANI s'il vous plait. le premier ministre lui aussi ne s'appelle pas Jassim mais plutot Sheikh Abdullah Bin Nasser Bin Khalifa Al-Thani, Premier Ministre et Ministre de l'Intérieur.
Edaw
En Février, 2014 (18:48 PM)Thiey Le Senegal
En Février, 2014 (18:57 PM)moi j aime leurs model et ne soyez pas hypocryte ou hippopotam
Diagne Nar
En Février, 2014 (19:00 PM)Goor
En Février, 2014 (19:09 PM)Tito
En Février, 2014 (21:34 PM)Transparency
En Février, 2014 (09:35 AM)Au moins ils auraient pu se référer à Wikipédia s'ils ne comprennent rien à ce qui se passent dans ce monde. Ah cette Présidence !!! Rien que des tchouné.
Aux Autorités
En Février, 2014 (11:28 AM)En conséquence, cela crée un deuxième problème s’agissant la validité du séjour car le séjour dépend de la validité du passeport et les lois du pays hôte exigent que le passeport soit valable au moins six mois pour que le détenteur du séjour soit en règle. En ce qui concerne les nouveaux nés, ils doivent être impérativement ajoutés sur les passeports de leurs mères ou en avoir un. Et au cas où la mère détient un passeport numérisé il sera impossible de l’ajouter.
Ainsi il est donné au parent un délai d’un mois pour obtenir un passeport à son enfant, sinon il subira une amende qui se lève à 20 Qatari Riyal équivalent à 2500 FCFA quotidiennement.
Pour résoudre ce problème c’est souvent la mère qui voyage avec son bébé et laisse derrière elle, ses enfants et son mari qui doit travailler et s’occuper des enfants.
Dans bien des cas, l’ambassade refuse de délivrer un sauf conduit pour aller faire confectionner le nouveau passeport ou faire le renouvellement au niveau de l’Arabie Saudite pays le plus proche .
Maintenant imaginer les difficultés qu’une famille de quatre à cinq membres va subir et rencontrer pour renouveler ces passeports.
Les familles sont ainsi obliger de revenir au Sénégal pour se faire confectionner leurs passeports alors que le billet couter cher; ils sont même obligés de s’endetter pour pouvoir acheter leurs billets car leur travail dépend de la validité de leur séjour.
Nous ne comprenons cette situation car les ressortissants de pays limitrophes comme la Gambie obtiennent sur place leurs places sans difficultés.
Nous sollicitons solennellement les autorités sénégalaises compétentes et concernées de nous aider en envoyant un agent à Doha pour faciliter à ces familles l’obtention de passeport.
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