«Total joue en Premier League, Kosmos en navétane à Thiès»

41 Commentaires

1. 

   Anonyme

   En Mars, 2018 (08:48 AM)

   des têtes colonisées
   
     

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Anonyme
En Mars, 2018 (08:56 AM)
Parce qu'il est un des directeurs de TOTAL Sénégal ce Momar Nguer prend la grosse tête.

On le sait que TOTAL est un mastodonte à côté de KOSMOS.
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55
En Mars, 2018 (08:59 AM)
Ce genre de personne sont vraiment détestable. C'est grâce à la prise de risque de KOSMOS que TOTAL s'est engagé aussi. Et en plus c'est vrai ce que dit thermos salle car la joint ventre entre kosmos et BP est plus importante que Total. Pour rappel BP est 5eme producteur mondial et Total 10eme.
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Kol
En Mars, 2018 (09:50 AM)
A Thiès
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:00 AM)
Les conditions signées avec Kosmos sont bien plus favorables au Sénégal que celles de Total. Vous devriez vous battre en pensant aussi à votre pays, le Sénégal, qui vous a vu naître, grandir et qui vous a instruit avec l’argent de sa population. L’Etat doit réactualiser les conditions d’accès a notre pétrole et les aligner sur celles signées avec Kosmos.
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:00 AM)
Les conditions signées avec Kosmos sont bien plus favorables au Sénégal que celles de Total. Vous devriez vous battre en pensant aussi à votre pays, le Sénégal, qui vous a vu naître, grandir et qui vous a instruit avec l’argent de sa population. L’Etat doit réactualiser les conditions d’accès a notre pétrole et les aligner sur celles signées avec Kosmos.
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:00 AM)
Les conditions signées avec Kosmos sont bien plus favorables au Sénégal que celles de Total. Vous devriez vous battre en pensant aussi à votre pays, le Sénégal, qui vous a vu naître, grandir et qui vous a instruit avec l’argent de sa population. L’Etat doit réactualiser les conditions d’accès a notre pétrole et les aligner sur celles signées avec Kosmos.
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:01 AM)
Nous préférons les conditions de collaboration avec l’équipe Na étant de thies à celle de Total. Elles sont plus avantageuses pour notre pays.
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:17 AM)
L'attribution à Total des blocs pétroliers de Rufisque offshore profond et de l'ultra-profond, dessert le Sénégal. Selon le niveau de production, l'accord avec la multinationale française pourrait faire perdre à l'État jusqu'à 300 milliards de francs CFA par an. Explications du journal Le Témoin.



Il se dit que Total, présenté comme "major" était cinquième dans le classement général mais, tout de même, deuxième dans celui des capacités techniques et financières établi par Pétrosen à propos des deux blocs qui étaient en jeu. En additionnant les deux (critères généraux + ctf), Total était troisième ! Ce, sur six compagnies postulantes dont BP-Kosmos, Cairn Energy, la chinoise Nexxon (filiale de Cnocc), l'australienne Woodside, Africa Energy, etc.



Le consortium BP-Kosmos arrivait en tête du classement aussi bien général que celui spécifique concernant les capacités techniques et financières. En deuxième position dans le classement général pointait Cairn, 4e en capacités techniques et financières. La compagnie pétrolière proposait beaucoup plus que Total pour les mêmes blocs attribués. Pour avoir une idée du manque à gagner financier que représente pour le Sénégal cette signature avec Total au détriment d'autres multinationales plus offrants, il suffit d'examiner le contrat de partage de productivité (oil profit) auquel a fait allusion le Premier ministre jeudi dernier à l'Assemblée nationale. Ce partage de production, qui intervient après récupération donne ceci : avec BP Kosmos : jusqu'à 30.000 barils/jour : État (35%-)-BPK (65%). De 30001 barils à 60 000 : (40/60). De 60001 à 90000 (50/50). Le pourcentage en faveur de l'État passe à 54 à partir de 90001 jusqu'à 120.000 barils/jour. Au delà, l'État prend 58% et le reste va à BP Kosmos.



L'offre de Total en date du 28 mars donnait ceci : 0 à 50.000 Bj : 25% pour l'État contre 75% pour Total, 50001-100 000 (30/70), 100001- 150 000 (35/65). 1500001-200 000 (40/60). Production supérieure à 200 000 barils /jour : 50/50.



Si ces chiffres ne vous disent rien sans doute, ils mettent en jeu des montants financiers colossaux. Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures  avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:19 AM)
L'attribution à Total des blocs pétroliers de Rufisque offshore profond et de l'ultra-profond, dessert le Sénégal. Selon le niveau de production, l'accord avec la multinationale française pourrait faire perdre à l'État jusqu'à 300 milliards de francs CFA par an. Explications du journal Le Témoin.



Il se dit que Total, présenté comme "major" était cinquième dans le classement général mais, tout de même, deuxième dans celui des capacités techniques et financières établi par Pétrosen à propos des deux blocs qui étaient en jeu. En additionnant les deux (critères généraux + ctf), Total était troisième ! Ce, sur six compagnies postulantes dont BP-Kosmos, Cairn Energy, la chinoise Nexxon (filiale de Cnocc), l'australienne Woodside, Africa Energy, etc.



Le consortium BP-Kosmos arrivait en tête du classement aussi bien général que celui spécifique concernant les capacités techniques et financières. En deuxième position dans le classement général pointait Cairn, 4e en capacités techniques et financières. La compagnie pétrolière proposait beaucoup plus que Total pour les mêmes blocs attribués. Pour avoir une idée du manque à gagner financier que représente pour le Sénégal cette signature avec Total au détriment d'autres multinationales plus offrants, il suffit d'examiner le contrat de partage de productivité (oil profit) auquel a fait allusion le Premier ministre jeudi dernier à l'Assemblée nationale. Ce partage de production, qui intervient après récupération donne ceci : avec BP Kosmos : jusqu'à 30.000 barils/jour : État (35%-)-BPK (65%). De 30001 barils à 60 000 : (40/60). De 60001 à 90000 (50/50). Le pourcentage en faveur de l'État passe à 54 à partir de 90001 jusqu'à 120.000 barils/jour. Au delà, l'État prend 58% et le reste va à BP Kosmos.



L'offre de Total en date du 28 mars donnait ceci : 0 à 50.000 Bj : 25% pour l'État contre 75% pour Total, 50001-100 000 (30/70), 100001- 150 000 (35/65). 1500001-200 000 (40/60). Production supérieure à 200 000 barils /jour : 50/50.



Si ces chiffres ne vous disent rien sans doute, ils mettent en jeu des montants financiers colossaux. Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures  avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:22 AM)
L'attribution à Total des blocs pétroliers de Rufisque offshore profond et de l'ultra-profond, dessert le Sénégal. Selon le niveau de production, l'accord avec la multinationale française pourrait faire perdre à l'État jusqu'à 300 milliards de francs CFA par an. Explications du journal Le Témoin.



Il se dit que Total, présenté comme "major" était cinquième dans le classement général mais, tout de même, deuxième dans celui des capacités techniques et financières établi par Pétrosen à propos des deux blocs qui étaient en jeu. En additionnant les deux (critères généraux + ctf), Total était troisième ! Ce, sur six compagnies postulantes dont BP-Kosmos, Cairn Energy, la chinoise Nexxon (filiale de Cnocc), l'australienne Woodside, Africa Energy, etc.



Le consortium BP-Kosmos arrivait en tête du classement aussi bien général que celui spécifique concernant les capacités techniques et financières. En deuxième position dans le classement général pointait Cairn, 4e en capacités techniques et financières. La compagnie pétrolière proposait beaucoup plus que Total pour les mêmes blocs attribués. Pour avoir une idée du manque à gagner financier que représente pour le Sénégal cette signature avec Total au détriment d'autres multinationales plus offrants, il suffit d'examiner le contrat de partage de productivité (oil profit) auquel a fait allusion le Premier ministre jeudi dernier à l'Assemblée nationale. Ce partage de production, qui intervient après récupération donne ceci : avec BP Kosmos : jusqu'à 30.000 barils/jour : État (35%-)-BPK (65%). De 30001 barils à 60 000 : (40/60). De 60001 à 90000 (50/50). Le pourcentage en faveur de l'État passe à 54 à partir de 90001 jusqu'à 120.000 barils/jour. Au delà, l'État prend 58% et le reste va à BP Kosmos.






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Anonyme
En Mars, 2018 (10:24 AM)




L'offre de Total en date du 28 mars donnait ceci : 0 à 50.000 Bj : 25% pour l'État contre 75% pour Total, 50001-100 000 (30/70), 100001- 150 000 (35/65). 1500001-200 000 (40/60). Production supérieure à 200 000 barils /jour : 50/50.



Si ces chiffres ne vous disent rien sans doute, ils mettent en jeu des montants financiers colossaux. Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures  avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:29 AM)
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:32 AM)
L'attribution à Total des blocs pétroliers de Rufisque offshore profond et de l'ultra-profond, dessert le Sénégal. Selon le niveau de production, l'accord avec la multinationale française pourrait faire perdre à l'État jusqu'à 300 milliards de francs CFA par an. Explications du journal Le Témoin.



Il se dit que Total, présenté comme "major" était cinquième dans le classement général mais, tout de même, deuxième dans celui des capacités techniques et financières établi par Pétrosen à propos des deux blocs qui étaient en jeu. En additionnant les deux (critères généraux + ctf), Total était troisième ! Ce, sur six compagnies postulantes dont BP-Kosmos, Cairn Energy, la chinoise Nexxon (filiale de Cnocc), l'australienne Woodside, Africa Energy, etc.



Le consortium BP-Kosmos arrivait en tête du classement aussi bien général que celui spécifique concernant les capacités techniques et financières. En deuxième position dans le classement général pointait Cairn, 4e en capacités techniques et financières. La compagnie pétrolière proposait beaucoup plus que Total pour les mêmes blocs attribués. Pour avoir une idée du manque à gagner financier que représente pour le Sénégal cette signature avec Total au détriment d'autres multinationales plus offrants, il suffit d'examiner le contrat de partage de productivité (oil profit) auquel a fait allusion le Premier ministre jeudi dernier à l'Assemblée nationale. Ce partage de production, qui intervient après récupération donne ceci : avec BP Kosmos : jusqu'à 30.000 barils/jour : État (35%-)-BPK (65%). De 30001 barils à 60 000 : (40/60). De 60001 à 90000 (50/50). Le pourcentage en faveur de l'État passe à 54 à partir de 90001 jusqu'à 120.000 barils/jour. Au delà, l'État prend 58% et le reste va à BP Kosmos.


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Anonyme
En Mars, 2018 (10:35 AM)
L'attribution à Total des blocs pétroliers de Rufisque offshore profond et de l'ultra-profond, dessert le Sénégal. Selon le niveau de production, l'accord avec la multinationale française pourrait faire perdre à l'État jusqu'à 300 milliards de francs CFA par an. Explications du journal Le Témoin.



Il se dit que Total, présenté comme "major" était cinquième dans le classement général mais, tout de même, deuxième dans celui des capacités techniques et financières établi par Pétrosen à propos des deux blocs qui étaient en jeu. En additionnant les deux (critères généraux + ctf), Total était troisième ! Ce, sur six compagnies postulantes dont BP-Kosmos, Cairn Energy, la chinoise Nexxon (filiale de Cnocc), l'australienne Woodside, Africa Energy, etc.



Le consortium BP-Kosmos arrivait en tête du classement aussi bien général que celui spécifique concernant les capacités techniques et financières. En deuxième position dans le classement général pointait Cairn, 4e en capacités techniques et financières. La compagnie pétrolière proposait beaucoup plus que Total pour les mêmes blocs attribués. 
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:43 AM)


L'offre de Total en date du 28 mars donnait ceci : 0 à 50.000 Bj : 25% pour l'État contre 75% pour Total, 50001-100 000 (30/70), 100001- 150 000 (35/65). 1500001-200 000 (40/60). Production supérieure à 200 000 barils /jour : 50/50.



Si ces chiffres ne vous disent rien sans doute, ils mettent en jeu des montants financiers colossaux. Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures  avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:46 AM)




L'offre de Total en date du 28 mars donnait ceci : 0 à 50.000 Bj : 25% pour l'État contre 75% pour Total, 50001-100 000 (30/70), 100001- 150 000 (35/65). 1500001-200 000 (40/60). Production supérieure à 200 000 barils /jour : 50/50.



Si ces chiffres ne vous disent rien sans doute, ils mettent en jeu des montants financiers colossaux. Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures  avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:49 AM)


L'offre de Total en date du 28 mars donnait ceci : 0 à 50.000 Bj : 25% pour l'État contre 75% pour Total, 50001-100 000 (30/70), 100001- 150 000 (35/65). 1500001-200 000 (40/60). Production supérieure à 200 000 barils /jour : 50/50.



Si ces chiffres ne vous disent rien sans doute, ils mettent en jeu des montants financiers colossaux. Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures  avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:51 AM)
Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures  avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
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Anonyme
En Mars, 2018 (10:51 AM)
C un vendu
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Zisla
En Mars, 2018 (10:53 AM)
Anonyme.(N°:6)

Doul way khamo darà

Siligaeuy wakh
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Anonyme
En Mars, 2018 (11:18 AM)
dans cette affaire de petrole ,il y a plus de proces d'intention que d'intention de bien faire ,elle est devenue un fonds de commerce de l'opposition alors que tout va deprendre de la periode d'exploitation .
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Spahi
En Mars, 2018 (11:20 AM)
Ils envoie un négre de service, ca ne change jamais, ils l'avaient fait quand ils ont eu Behenzin, Cheikh Omar Tall, Lat Dior, Samori Touré, Cheikh Ahmadou Bamba, etc.. Monsieur Nguer, vous etes senegalais, vous devez avoir honte de spolier votre pays au profit de votre employeur Total
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Anonyme
En Mars, 2018 (11:20 AM)
Analyse d'un spécialiste des hydrocarbures  avec l'exemple d'une fourchette de production de 145.000 à 148.000 barils par jour. On constate que BP Kosmos cède à l'État 58% contre 35% seulement pour Total. Soit 23 points de différence. Sur une production journalière de 149.000 barils, cela représente 34.270 barils. A 50 dollars le baril en moyenne, cela représente 1. 713.000 dollars soit 850 millions FCFA par jour. Sur l'année, la production va chercher dans les 600 millions de dollars environ 300 milliards FCFA. Les contrats étant signés pour 45 ans, l'État aura perdu à l'arrivée 13.500 milliards environ. Autant de gagné pour Total !
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Anonyme
En Mars, 2018 (11:34 AM)
Momar vous travaillez chez total mais

vous savez pertinemment que votre st

est un prédateu

je me fiche qu kosmos ait 1 millions de cfa

de capitalisation boursière
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Anonyme
En Mars, 2018 (11:54 AM)
Deux terrains jumelés situés à Kounoune prés base armée française et cité kalya

*7*7*5*5*6* 2*6 *5*4






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Anonyme
En Mars, 2018 (11:58 AM)
La jalousie va en étouffer plus d'un... Si Total a donné un de ses postes de directions à la tête du groupe a un sénégalais c'est qu'il est compétent.

Je n'en dirai pas autant de ce qui rédigent ici !
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Anonyme
En Mars, 2018 (12:49 PM)
En lisant ce Monsieur Nguer, je ne vois pas un sénégalais, je vois un prédateur, quelque soit sa nationalité, qui vient spolier notre pays au profit de son Groupe. La preuve il est Directeur du Marketing. Il fera tout pour faire entrer de l'argent à TOTAL. Là où il est il n'est pas payé pour avoir des états d’âme, ni pour, ne serait qu'une once, penser à nous laisser nos ressources. S'il pouvait (en tant que Directeur de Marketing de TOTAL) nous prendre tout notre pétrole au profit de son Groupe...IL LE FERAIT!!! Pour preuve demandez lui s'il est prêt à quitter son poste de Directeur à TOTAL pour un poste de Ministre au Sénégal.
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X
En Mars, 2018 (13:08 PM)
Je voulais vous recommander un documentaire sur l'implication du groupe Total dans les élections présidentielles au Nigéria, en Angola...(en Afrique) afin que vous puissiez comprendre l'intention de Macky sall. j'ai vérifié sur YouTube mais il parait qu'on l'a supprimé(par soucis de réputation peut être)..    
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Anonyme
En Mars, 2018 (13:11 PM)
Dans ce pays, il faut vraiment être un citoyen qui manque d'ambition pour penser ne serait qu'une seconde voter pour ce régime en place. Ils sont en train de faire du "en veux tu? en voilà!" de tout notre patrimoine (air, terre, mer).
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Précarré Fr
En Mars, 2018 (13:30 PM)
Momar, vous êtes devenu Français et vous représentez, en tant que haut cadre (bravo en mérite personnel) une multinationale qui défend les intérêts français ( très peu de différence entre Total et ELF Gabon au temps de Focard).. Ne vous mêlez pas de nos affaires politiques internes).
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Anonyme
En Mars, 2018 (14:25 PM)
SEUL OUSMANE SONKO PEUT RELEVER CE PAYS QUE CES ULTRA CORROMPUS ET COMPLEXES FRANÇAIS ONT COMPLETEMENT RUINE.NOUS RENDRE NOTRE DIGNITE DES FRANÇAIS. NOS CARTES D'ELECTEURS C'EST LE VRAI COMBAT QUI VAILLE . ALY NGOUILLE NDIAYE DEGAGE
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Anonyme
En Mars, 2018 (15:07 PM)
Momar NGUER fils de l'illustre Député-Maire Gallo NGUER, un grand homme rentré dans l'histoire. Momar a laissé filé une occasion en or de servir son pays. Dès que les réserves de pétrole ont été confirmées au Sénégal, il fait partie des gens qui devaient rentrer et dire à l'État du Sénégal, laissez-nous cette affaire, on va s'en occuper. Ils en connaissent les mécanismes et n'auront que l'intérêt supérieur du pays pour bien gérer cette ressource qui est une opportunité pour le Sénégal de décoller définitivement. Mais voilà que bouffon de Momar NGUER se contente des miettes puisées à partir des ressources du terroir de son père et de sa lignée.

Des compétences comme ce fils du Sénégal peuvent servir leur pays. Les salaires en occident, pour importants qu'ils soient, ne suffisent jamais. Alors qu'en servant son pays, on s'enrichit puisqu'on agit directement sur le sort de la population. Feu son père s'est battu, sa vie durant pour son peuple. Son fils, Momar, sert les blancs de TOTAL. C'est la totale, cela!...
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Anonyme
En Mars, 2018 (15:23 PM)
7 omaro dieng, 1 vraie tête de sinndax!  
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Anonyme
En Mars, 2018 (15:27 PM)
Kosmos ne fait que de la recherche d'ou son alliance avec BP pour l'exploitation et commercialisation

Vous criez contreTotal parce qu'i lest Français mais vous croyez que Shell BP Exxon et les grosses majors pétrolières sont des enfants de coeur ,le drame de l'Afrique est sa gouvernance ou tous les gouvernants s'enrichissent au dépent du peuple (Angola ,Guinée équatoriale,Tchad

Congo ,Rdc.....etc)

comparez Dubaî extraordinairement developpé et le Gabon qui ont la:meme population et ,meme production de petrole :aucune infrastructure au Gabon et la moitié de Libreville n'a pas l'électricité !!! qui sont les vrais coupables ????,
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Anonyme
En Mars, 2018 (15:42 PM)
Ce vrai negre de service, de vrais journalistes d'investigation et des chercheurs ont fini de denoncer les pratiques neo-colonialistes de cette entreprise de sous-chiens.



" Nigeria, Congo, Gabon, Angola... le continent africain représente un tiers des activités de Total. Et la firme revendique le titre de premier groupe pétrolier en Afrique. Et sur le continent comme ailleurs, Total exploite tous les vides et les failles juridiques, et utilise des méthodes à la limite voire en marge de la légalité pour perpétuer son activité. "

C'est la thèse que défend Alain Deneault dans son ouvrage «De quoi Total est-elle la somme?». L'auteur est également directeur de programme au Collège international de philosophie de Paris.
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Anonyme
En Mars, 2018 (15:59 PM)
navétanes?????????????????





loooooooooooooooooooooooooool

          
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Anonyme
En Mars, 2018 (17:47 PM)
Tu défends l'intérêt des colonisateurs, TAS défend l'intérêt du Sénégal.
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Anonyme
En Mars, 2018 (20:29 PM)
N10 tu es insolent. On peut avoir un débat d’idees sans être grossier. Même si je sais qu’on se refait pas sa nature, encore moins sous couvert de l’anonymat d’un clavier.

J’insiste pour dire que le contrat avec Kosmos est plus avantageux pour le Sénégal que l’accord signé avec Total.
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Anonyme
En Mars, 2018 (20:29 PM)
N10 tu es insolent. On peut avoir un débat d’idees sans être grossier. Même si je sais qu’on se refait pas sa nature, encore moins sous couvert de l’anonymat d’un clavier.

J’insiste pour dire que le contrat avec Kosmos est plus avantageux pour le Sénégal que l’accord signé avec Total.
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Anonyme
En Mars, 2018 (20:29 PM)
N10 tu es insolent. On peut avoir un débat d’idees sans être grossier. Même si je sais qu’on se refait pas sa nature, encore moins sous couvert de l’anonymat d’un clavier.

J’insiste pour dire que le contrat avec Kosmos est plus avantageux pour le Sénégal que l’accord signé avec Total.
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