Lors de la journée annuelle de diffusion de la balance des paiements et de la position extérieure globale qui s’est tenu ce mardi 19 décembre, le Ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Ba, a offert une analyse approfondie de la situation économique sénégalaise et des perspectives à venir.
“Cet événement figure désormais parmi les dates importantes du calendrier économique au Sénégal”, a signifié le Ministre. Il a mis en lumière l'importance de la balance des paiements comme instrument d'aide à la décision. En tant que Président du Comité National de la Balance des Paiements, Mamadou Moustapha Ba a exprimé sa gratitude envers les services de l'État et les entreprises impliqués dans la collecte et l'analyse des données. Il a particulièrement salué la qualité des rapports produits par la BCEAO.
Le ministre des Finances a abordé les défis économiques récents, notant que malgré l'impact des investissements dans les secteurs pétrolier et gazier, des défis persistent. “Le solde global de la balance des paiements du Sénégal est ressorti déficitaire de 62,2 milliards en 2022 après un excédent de 142,2 milliards en 2021”, a-t-il précisé. Cette évolution, selon lui, est due à des importations accrues, notamment en raison de la flambée des cours mondiaux, tout en reconnaissant une croissance des exportations de 22,5% par rapport à 2021.
Néanmoins, des éléments positifs ont été soulignés. Mamadou Ba a mis en avant la confiance continue des partenaires extérieurs envers l'économie sénégalaise, grâce notamment aux investissements directs étrangers. “Cette performance traduit l'attractivité de l'économie sénégalaise”, a-t-il affirmé. En se tournant vers l'avenir, le Ministre a présenté des projections optimistes pour 2023 et 2024, anticipant une réduction du déficit du compte courant avec le démarrage des gisements de pétrole et de gaz.
Le ministre des Finances a conclu en mettant en avant le rôle crucial du Plan Sénégal Émergent (PSE) dans le développement économique du pays. "Au cours des phases 1 et 2 du PSE, nos investissements ont connu un rythme soutenu, jamais égalé auparavant. Cette impulsion, fruit d'un renforcement des capacités de mobilisation de ressources, internes et externes, a stimulé notre croissance et permis de répondre aux besoins sociaux pressants. Résultat : une croissance du PIB réel de 6,5% en moyenne sur 2014-2018 et de 4,2% sur 2019-2023", a-t-il déclaré. Il a insisté sur l'importance de maintenir cette dynamique positive pour renforcer la position du Sénégal sur la scène économique internationale.
“Cet événement figure désormais parmi les dates importantes du calendrier économique au Sénégal”, a signifié le Ministre. Il a mis en lumière l'importance de la balance des paiements comme instrument d'aide à la décision. En tant que Président du Comité National de la Balance des Paiements, Mamadou Moustapha Ba a exprimé sa gratitude envers les services de l'État et les entreprises impliqués dans la collecte et l'analyse des données. Il a particulièrement salué la qualité des rapports produits par la BCEAO.
Le ministre des Finances a abordé les défis économiques récents, notant que malgré l'impact des investissements dans les secteurs pétrolier et gazier, des défis persistent. “Le solde global de la balance des paiements du Sénégal est ressorti déficitaire de 62,2 milliards en 2022 après un excédent de 142,2 milliards en 2021”, a-t-il précisé. Cette évolution, selon lui, est due à des importations accrues, notamment en raison de la flambée des cours mondiaux, tout en reconnaissant une croissance des exportations de 22,5% par rapport à 2021.
Néanmoins, des éléments positifs ont été soulignés. Mamadou Ba a mis en avant la confiance continue des partenaires extérieurs envers l'économie sénégalaise, grâce notamment aux investissements directs étrangers. “Cette performance traduit l'attractivité de l'économie sénégalaise”, a-t-il affirmé. En se tournant vers l'avenir, le Ministre a présenté des projections optimistes pour 2023 et 2024, anticipant une réduction du déficit du compte courant avec le démarrage des gisements de pétrole et de gaz.
Le ministre des Finances a conclu en mettant en avant le rôle crucial du Plan Sénégal Émergent (PSE) dans le développement économique du pays. "Au cours des phases 1 et 2 du PSE, nos investissements ont connu un rythme soutenu, jamais égalé auparavant. Cette impulsion, fruit d'un renforcement des capacités de mobilisation de ressources, internes et externes, a stimulé notre croissance et permis de répondre aux besoins sociaux pressants. Résultat : une croissance du PIB réel de 6,5% en moyenne sur 2014-2018 et de 4,2% sur 2019-2023", a-t-il déclaré. Il a insisté sur l'importance de maintenir cette dynamique positive pour renforcer la position du Sénégal sur la scène économique internationale.
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