Le gouvernement du Sénégal va baisser la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur le tourisme de 18 à 10 %, a annoncé lundi le ministre de la Culture et du Tourisme, Youssou Ndour.
‘’Les taxes ont fait l’objet de beaucoup de discussions et d’engagement et le gouvernement a décidé de baisser la TVA de 18 à 10%, conformément à la directive de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) relative à la baisse de la TVA'', a dit le ministre, au sortir d’un Conseil interministériel sur le tourisme.
‘’Nous voulons faire la promotion de la destination Sénégal et pour cela beaucoup de taxes telles que celle sur le contrôle des bagages à l’aéroport seront revues en baisse’’, a-t-il poursuivi.
Pour Youssou Ndour, ''le secteur touristique demande du temps et sa gestion est une priorité pour le ministère et les acteurs concernés''.
‘’Un Conseil interministériel sera tenu en septembre pour examiner le secteur et des décisions majeures seront prises pour développer le tourisme, afin de promouvoir la destination Sénégal’’, a-t-il annoncé.
14 Commentaires
Kloity
En Juillet, 2012 (00:17 AM)Kloity
En Juillet, 2012 (00:28 AM)Alalpro
En Juillet, 2012 (02:57 AM)Les hotels sont vétustes et très chers!!!! Le prix d'une chambre 3 étoiles et presque le même prix qu'en France alors qu'un hotel 3 étoiles en France doit correspondre aux palaces au Sénégal.
La destination Sénégal est trop chère alors que la Tunisie qui est à côté coûte moins cher.
Le Sénégal axe sa com sur le Sun and Sea alors que la Tunisie ou le Maroc ont un tourisme très diversifié (archéologie, sun and sea, culture, business, sport, ...)
La formation touristique et hotelière est très désirable (allez dans les accueils des hotels et vous ne me démentirez pas) alors qu'en Tunisie, au Maroc ou à Maurice vous trouverez une offre de formation touristique et hotelière de qualité.
Le Sénégal axe sa promo sur la France et les francophones alors que l'Asie, l'Amérique latine représentent un potentiel énorme inexploité.
Le foncier est primordial dans ce secteur alors que le Sénégal n'a pas une structure digne de ce nom capable de mobiliser le foncier nécessaire au développement de grands centres touristiques. Y a le SAPCO mais ça fait combien d'année qu'ils ont des maquettes qui ont du mal à sortir de terre
Le Balante
En Juillet, 2012 (08:40 AM)Ma Waruuu !!!!?????
En Juillet, 2012 (08:40 AM)Bmggroup
En Juillet, 2012 (09:42 AM)LEAF ENERGY COMMERCIALISE DES LAMPES LEDS DE 3 WATT ET 8 WATT
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Liberte1
En Juillet, 2012 (09:45 AM)Jumbo
En Juillet, 2012 (11:31 AM)Matt
En Juillet, 2012 (13:04 PM)Vert
En Juillet, 2012 (13:04 PM)Je signale au Ministre Youssou NDOUR ses fonctionnaires du Ministère du Tourisme qui s'activent que pour leur intérêt personnel, ils ne sont animés que de leur propre intêret, Hamedy SENE surtout maître du suivisme de chaque Ministre qui passe. L'ANPT est la seule institution que le Gouvernement a réussi le partenariat Public- Privé. Le Secteur Privé Touristique du Sénégal insiste que si l'ANPT est supprimé, aucune TAXE DE PROMOTIOON TOURISTIQUE ne sera versé à l'Etat.
- Renforcer cette agence de moyens,
- changer certes le Directeur Général;
- impliquer d'avantage le secteur privé dans la gestion du fonds de promotion touristique.
Boy Town
En Juillet, 2012 (13:36 PM)Beuz
En Juillet, 2012 (15:41 PM)Les pays du Maghreb qui ont souffert du printemps arabe qui devait profiter au Sénégal affichent en 2012 une belle embellie.
La Tunisie affiche de bons indicateurs sur les 4 premiers mois de 2012.
Plus de 50% par rapport à 2011 et moins de 25% par rapport à 2010, les objectifs pour 2012 sont fixés à 6 millions de visiteurs et 10 millions pour l’horizon 2016.
Pour développer une destination, il est donc évident qu’il faut établir une vision claire à moyen et long terme avec des objectifs clairs tout en se donnant les moyens de les atteindre.
Les meilleures destinations du monde sont celles qui résistent aux crises conjoncturelles et qui se sont dotées des meilleures capacités d’adaptation aux fluctuations et besoins des marchés.
La barre des 1.5 millions de touristes à l’horizon 2012 a été toujours agitée au Sénégal par les autorités au fil des ans et jamais la moitié de cette ambition n’a été atteinte.
Un constat d’échec s’impose à nous et nous exhorte à une obligation de relance pour pérenniser l’activité durablement.
Il est important au jour d’aujourd’hui, avant d’amorcer un quelconque plan de relance, de diagnostiquer le problème dans son fonds, de toucher le mal par la racine avant de produire durablement une politique bien articulée, inclusive de toutes les forces transversales du secteur.
Beuz
En Juillet, 2012 (15:59 PM)Wey Fipu
En Juillet, 2012 (18:53 PM)Participer à la Discussion