
Le Centre des métiers du pétrole et du gaz de Saint-Louis devrait être livré en décembre prochain. L’annonce, relayée par Le Soleil, est du coordonnateur du Projet d’appui au développement des compétences et de l’entrepreneuriat des jeunes dans les secteurs porteurs (PDCEJ), Sékou Badji, chargé de la supervision, du suivi et du contrôle du chantier. C’était à l’occasion d’une visite de terrain d’une délégation du ministère de la Formation professionnelle.
Lancés il y a quatre ans, les travaux ont connu un retard. Et pour cause, renseigne Badji, l’infrastructure est érigée sur une zone inondable. Il fallait donc «prendre en compte en compte les réseaux d’évacuation des eaux usées et des eaux pluviales» et «surélevé le site en se basant sur le niveau le plus élevé qu’on pouvait avoir par rapport à la route nationale», entre autres précautions évoquées par l’ingénieur en génie civil.
Le centre va accueillir 300 étudiants, pour deux filières. Il est composé de salles de cours, de travaux pratiques, de maintenance et d’informatique, notamment. «C’est un projet important pour le gouvernement du Sénégal dans la mesure où nous avons d’importantes ressources pétrolières et gazières en cours d’exploitation. Il fallait anticiper sur la disponibilité des ressources humaines capables d’intervenir dans toute la chaîne», justifie Sékou Badji.
Lancés il y a quatre ans, les travaux ont connu un retard. Et pour cause, renseigne Badji, l’infrastructure est érigée sur une zone inondable. Il fallait donc «prendre en compte en compte les réseaux d’évacuation des eaux usées et des eaux pluviales» et «surélevé le site en se basant sur le niveau le plus élevé qu’on pouvait avoir par rapport à la route nationale», entre autres précautions évoquées par l’ingénieur en génie civil.
Le centre va accueillir 300 étudiants, pour deux filières. Il est composé de salles de cours, de travaux pratiques, de maintenance et d’informatique, notamment. «C’est un projet important pour le gouvernement du Sénégal dans la mesure où nous avons d’importantes ressources pétrolières et gazières en cours d’exploitation. Il fallait anticiper sur la disponibilité des ressources humaines capables d’intervenir dans toute la chaîne», justifie Sékou Badji.
7 Commentaires
Reply_author
En Juin, 2024 (10:03 AM)Les zones inondables,on les traité!
Il y a même des villes qui ont été construites dans des zones marécageuses !
Con nguéne torop !
Senegalrekk
En Juin, 2024 (08:09 AM)Reply_author
En Juin, 2024 (09:39 AM)Yetere Allah
En Juin, 2024 (08:33 AM)Macky ko gito
ces filieres seront saturées des la premiere année.
le plus important de notre époque, c'est la protection de l'environnement et on l'oublie.
l'erreur qu'on va faire, c'est gagner un peu d'argent dans le pétrole/gaz et sacrifier tout l'environnement du pays : écosystemes perturbés, pollution de toute sorte, maladies, des ghettos d'étrangers qui se formeront, la prostitution...
Afrik mon adrk
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