Parmi les multiples raisons du décrochage et des abandons scolaires, figurent les violences basées sur le genre. Selon le groupe d’études et de recherches genre et sociétés (GESTES) de l’université Gaston Berger de Saint-Louis, 41.8% des apprenants des lycées déclarent avoir subi des actes de violence. A en croire toujours le GESTES, dans un de ses articles intitulé ‘’les VBG, une réalité en milieu de formation au Sénégal’’, les violences psychologiques s’élèvent à 16.6%, les violences physiques à 12.1% et celles sexuelles à 2.3%.
Conscient que ces types de violence ont une répercussion négative sur le développement du bien-être des enfants et sur leur réussite scolaire, le programme d’appui à la stratégie nationale pour l’équité et l’égalité de genre (Pasneeg), a initié une série d’ateliers de sensibilisation à l’endroit des acteurs du monde scolaire. C’est ainsi que les chefs d’établissement des départements de Bounkiling et de Sédhiou ont été renforcés en capacités de management et de gestion des cas de violence.
L’objectif est de leur permettre de contribuer à la prévention et à la lutte contre les violences en leur rappelant leurs rôles et responsabilités dans la promotion des droits humains dans l’espace scolaire.
Forum pédagogique avec les chefs d’établissement, dialogue communautaire avec les femmes de ‘’Nema moussou kafoo’’ de Bounkiling et mobilisation scolaire au collège d’enseignement moyen (Cem) de Diéndé dans le département de Sédhiou, rien n’a été laissé au hasard par le ministère de la Femme, de la famille, du genre et de la protection des enfants pour engager la communauté dans la promotion des droits humains, des enfants et des jeunes notamment les filles en partenariat avec l’agence italienne pour la coopération au développement.
Conscient que ces types de violence ont une répercussion négative sur le développement du bien-être des enfants et sur leur réussite scolaire, le programme d’appui à la stratégie nationale pour l’équité et l’égalité de genre (Pasneeg), a initié une série d’ateliers de sensibilisation à l’endroit des acteurs du monde scolaire. C’est ainsi que les chefs d’établissement des départements de Bounkiling et de Sédhiou ont été renforcés en capacités de management et de gestion des cas de violence.
L’objectif est de leur permettre de contribuer à la prévention et à la lutte contre les violences en leur rappelant leurs rôles et responsabilités dans la promotion des droits humains dans l’espace scolaire.
Forum pédagogique avec les chefs d’établissement, dialogue communautaire avec les femmes de ‘’Nema moussou kafoo’’ de Bounkiling et mobilisation scolaire au collège d’enseignement moyen (Cem) de Diéndé dans le département de Sédhiou, rien n’a été laissé au hasard par le ministère de la Femme, de la famille, du genre et de la protection des enfants pour engager la communauté dans la promotion des droits humains, des enfants et des jeunes notamment les filles en partenariat avec l’agence italienne pour la coopération au développement.
2 Commentaires
Ibra
En Juin, 2022 (10:23 AM)Participer à la Discussion