La protection des données personnelles est au cœur des actions de la délégation de l’Union européenne (UE) au Sénégal.
En effet, elle a fait de la transition numérique et la de protection des droits humains une priorité. C’est dans ce cadre que la délégation a organisé une conférence-débat sur le thème «La protection des données personnelles à l’ère du numérique».
Cette rencontre, qui s’est tenue ce mercredi 22 septembre 2021, à l’Université virtuelle du Sénégal de Mermoz, à Dakar, est organisée en marge de la session de formation sur le droit international des Droits de l’homme organisée par les fondations Friedrich Naumann et René Cassin. Elle a été animée par d’experts émérites sénégalais, à savoir le Pr. Jean-Louis Corréa, juriste, le Dr Mamoudou Niane, secrétaire permanent de la Commission des données personnelles (CDP) du Sénégal, et Emmanuel Diokh, juriste blogueur, en présence de Mme Irène Mingasson, Ambassadrice de l’Union européenne au Sénégal.
«La dépendance croissante aux outils numériques, d’une part, et l’augmentation constante des échanges d’informations et données en ligne, d’autre part, impliquent des questionnements en matière de respect de droits humains et de libertés fondamentales. Dans une société numérique où de nombreuses données à caractère personnel sont collectées, utilisées et diffusées, parfois en toute transparence et parfois à notre insu, tout citoyen et citoyenne devrait être conscient et bien informé des enjeux liés au partage de données en ligne, à l’utilisation des données personnelles, ainsi qu’aux moyens de les protéger», a expliqué l’ambassadrice de l’UE au Sénégal.
Selon la diplomate européenne, «l’appui à la transition numérique et la promotion des droits humains sont au cœur des politiques et priorités de l’UE, y compris dans son partenariat avec le Sénégal». Et la stratégie digitale UE-Sénégal, «portée par toute la team Europe, touche aux questions de gouvernance et d’identité numérique, d’infrastructure de connectivité».
Ainsi, l’UE appuie «les efforts déployés, à l’échelle nationale, régionale ou continentale, afin de contribuer à une transition numérique saine, transparente, inclusive, protectrice, garante du respect des droits humains et des principes démocratiques».
A en croire Mme Mingasson, «le développement numérique a pris, avec la crise sanitaire mondiale, une toute nouvelle dimension. Et aujourd’hui, plus que jamais, les outils numériques font pleinement partie de notre quotidien».
«Si la transition numérique représente de nombreuses opportunités pour tous et dans de nombreux domaines, il est essentiel qu’elle puisse s’appuyer sur un cadre législatif approprié qui garantisse le respect des droits humains, des libertés fondamentales et des principes démocratiques. En organisant ce débat aujourd’hui, nous voulons donner la possibilité à de nombreux jeunes qui s’intéressent à ces questions, d’échanger avec des experts émérites qui travaillent sur ces questions au quotidien», a-t-elle soutenu.
Cette conférence-débat a été modérée par le journaliste Basile Niane et a enregistré la présence d’étudiants et de blogueurs, entre autres.
En effet, elle a fait de la transition numérique et la de protection des droits humains une priorité. C’est dans ce cadre que la délégation a organisé une conférence-débat sur le thème «La protection des données personnelles à l’ère du numérique».
Cette rencontre, qui s’est tenue ce mercredi 22 septembre 2021, à l’Université virtuelle du Sénégal de Mermoz, à Dakar, est organisée en marge de la session de formation sur le droit international des Droits de l’homme organisée par les fondations Friedrich Naumann et René Cassin. Elle a été animée par d’experts émérites sénégalais, à savoir le Pr. Jean-Louis Corréa, juriste, le Dr Mamoudou Niane, secrétaire permanent de la Commission des données personnelles (CDP) du Sénégal, et Emmanuel Diokh, juriste blogueur, en présence de Mme Irène Mingasson, Ambassadrice de l’Union européenne au Sénégal.
«La dépendance croissante aux outils numériques, d’une part, et l’augmentation constante des échanges d’informations et données en ligne, d’autre part, impliquent des questionnements en matière de respect de droits humains et de libertés fondamentales. Dans une société numérique où de nombreuses données à caractère personnel sont collectées, utilisées et diffusées, parfois en toute transparence et parfois à notre insu, tout citoyen et citoyenne devrait être conscient et bien informé des enjeux liés au partage de données en ligne, à l’utilisation des données personnelles, ainsi qu’aux moyens de les protéger», a expliqué l’ambassadrice de l’UE au Sénégal.
Selon la diplomate européenne, «l’appui à la transition numérique et la promotion des droits humains sont au cœur des politiques et priorités de l’UE, y compris dans son partenariat avec le Sénégal». Et la stratégie digitale UE-Sénégal, «portée par toute la team Europe, touche aux questions de gouvernance et d’identité numérique, d’infrastructure de connectivité».
Ainsi, l’UE appuie «les efforts déployés, à l’échelle nationale, régionale ou continentale, afin de contribuer à une transition numérique saine, transparente, inclusive, protectrice, garante du respect des droits humains et des principes démocratiques».
A en croire Mme Mingasson, «le développement numérique a pris, avec la crise sanitaire mondiale, une toute nouvelle dimension. Et aujourd’hui, plus que jamais, les outils numériques font pleinement partie de notre quotidien».
«Si la transition numérique représente de nombreuses opportunités pour tous et dans de nombreux domaines, il est essentiel qu’elle puisse s’appuyer sur un cadre législatif approprié qui garantisse le respect des droits humains, des libertés fondamentales et des principes démocratiques. En organisant ce débat aujourd’hui, nous voulons donner la possibilité à de nombreux jeunes qui s’intéressent à ces questions, d’échanger avec des experts émérites qui travaillent sur ces questions au quotidien», a-t-elle soutenu.
Cette conférence-débat a été modérée par le journaliste Basile Niane et a enregistré la présence d’étudiants et de blogueurs, entre autres.
2 Commentaires
Ue
En Septembre, 2021 (20:40 PM)Pourquoi ses activités sont aussi médiatisées ???
Enfin que cherche l'Union Européenne ? N'oublions pas qu'ils ont été absents lors de la crise Covid. Nous n'avons vu que les chinois. Eux ont préféré garder leurs vaccins .
Reply_author
En Septembre, 2021 (22:33 PM)Reply_author
En Septembre, 2021 (23:33 PM)Reply_author
En Septembre, 2021 (04:58 AM)Ces gens se croient supérieurs, c'est pour cela qu'ils passent leur temps à donner des leçons quand ils viennent en Afrique. Et franchement, on a plus urgent à régler. Je ne sais pas pourquoi nos autorités leur accorde du temps pur ces bêtises.
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