Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a présidé ce dimanche 18 Juin 2023 la cérémonie officielle de lancement du Cours Mondial sur l’Éradication du Paludisme et le Leadership au nom du Gouvernement du Sénégal et de ses collègues des autres pays Africains.
Le Pr Moussa Baldé, s'est félicité sur le choix porté sur l’Afrique, sur le Sénégal, sur l’université sénégalaise notamment l’Université Cheikh Anta Diop à travers le Centre international de recherche et de formation en génomique appliquée et de surveillance sanitaire (CIGASS) de la Faculté de médecine, de pharmacie et d'odontologie comme premier pays Africain devant abriter ce cours depuis sa création en 2012 à l’Université Harvard de Boston. Selon lui, ce choix se justifie parfaitement.
Le leadership africain en général et sénégalais en particulier en matière de bonne gouvernance, de la qualité des enseignements et de la recherche au niveau des universités et institutions de recherche dans la gestion des maladies tropicales, la lutte contre les pandémies qui ont pour nom paludisme, Sida, tuberculose, COVID-19, entre autres sont reconnus, explique le ministre.
Le lancement de ce cours international, dit-il, entre en droite ligne des efforts consentis par le Président de la République, pour le développement de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation. « Le président Macky Sall, a récemment procédé à la réception d’un volume important d’équipements des laboratoires pédagogiques et de recherche, d’une valeur de près 52 milliards, destiné aux Établissements d’enseignement supérieur », renseigne le ministre. Ces équipements, explique Pr Moussa Baldé, permettront d’améliorer sensiblement le niveau des enseignements pratiques et relever le plateau technique des laboratoires pédagogiques et de recherche de l’ensemble de nos universités publiques.
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Les moustiques, ce sujet qui n’en finit pas de faire la une de la presse chaque année quand ils arrivent : astuces contre les piqûres ou pour soulager la sensation de chatouillement, les grandes expériences pour faire disparaître les moustiques de certaines régions, les nombreuses théories pour essayer de comprendre pourquoi certains sont plus piqués que d’autres…
Aujourd’hui, c’est une équipe de l’Université hébraïque de Jerusalem qui publie une étude dans PNAS nexus une découverte qui pourrait changer la donne : un nouveau type d’insectifuge, un "camouflage chimique" qui dissuaderait 99% des moustiques d’atterrir sur la peau. La formule est une combinaison de deux composants naturels : l’indole, une substance parfumée présente dans les fleurs et un polymère appelé cellulose.
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