« Vingt ans après sa création, notre lycée est toujours dépourvu d’un mur de clôture, l’eau courante y est un grand luxe, l’électrification des salles de classes n’est pas effective, l’accès à l’internet Adsl est encore un rêve pour nous, et faute de professeurs de sciences gradés, la série S1 ne fait plus partie de nos enseignements», a regretté Sidy Faye, le censeur de l’établissement.
Situé sur le versant gauche de la trans-gambienne, le lycée est exposé à tous les dangers de la circulation à cause de l’absence du mur de clôture, du décor de ses huttes de fortune, de son terrain de football disputé par tous les amateurs de sport et des bureaux de son bloc administratif, de véritables magasins de stockage de matériels de géométrie et de reprographie.
Pourtant, malgré les dures conditions de travail des élèves, des enseignants et du personnel administratif, le lycée, un ancien collège érigé en établissement secondaire, s’est toujours distingué sur le plan des résultats scolaires en se plaçant premier au niveau régional depuis sa première promotion de bacheliers il y a trois ans.
4 Commentaires
Sédhiouding
En Janvier, 2013 (12:30 PM)Toutefois, les établissements scolaires de la région de Sédhiou méritent bien un accompagnement.
Amy
En Janvier, 2024 (19:25 PM)Sonko
Astou
En Janvier, 2024 (19:26 PM)C'obs
En Janvier, 2013 (12:34 PM)Ok
En Janvier, 2013 (13:19 PM)Sédhiouding
En Janvier, 2013 (08:23 AM)Participer à la Discussion