La communauté des pêcheurs de Thiaroye, Dakar, a maintenant une belle raison de danser.
Depuis que le nouveau gouvernement sénégalais a pris la courageuse mesure de mettre fin à la surpêche par les chalutiers pélagiques étrangers, les pêcheurs recommencent à rentrer chez eux avec des captures significatives.
Arrêter le pillage des océans de l'Afrique ne veut pas seulement dire protéger les ressources; mais bien plus, préserver le bien-être des populations. En veillant à la bonne gestion des stocks de poissons, nous sauvegardons une ressource très précieuse qui non seulement fournit des emplois, mais également nourrit des milliers de personnes et maintient la bonne santé des océans.
Des Océans sains pour des peuples sains - telle est l'expérience que nous vivons aujourd'hui sur les côtes sénégalaises.
La côte ouest de l'Afrique est l'une des plus poissonneuses au monde - une source vitale de protéines pour les populations du Sénégal et d'autres pays. Malheureusement, après que les flottes européennes et asiatiques ont presqu'entièrement surexploité certains de leurs stocks, elles se dirigent vers de nouvelles zones de pêche, notamment celles de l'Afrique de l'Ouest.
Ces bateaux étrangers pêchent, en une journée, l’équivalent des captures annuelles de plusieurs petites pirogues, mettant ainsi une pression énorme sur les stocks déjà fragiles. Les pêcheurs sénégalais étaient ainsi contraints de passer plusieurs jours en mer pour de maigres captures.
Tout est bien qui finît bien!
Suite à la mobilisation des communautés de pêcheurs et à la décision du nouveau gouvernement sénégalais d'annuler les autorisations de pêche de 29 chalutiers pélagiques, l'espoir commence à renaître dans ce secteur.
Depuis que le nouveau gouvernement sénégalais a pris la courageuse mesure de mettre fin à la surpêche par les chalutiers pélagiques étrangers, les pêcheurs recommencent à rentrer chez eux avec des captures significatives.
Arrêter le pillage des océans de l'Afrique ne veut pas seulement dire protéger les ressources; mais bien plus, préserver le bien-être des populations. En veillant à la bonne gestion des stocks de poissons, nous sauvegardons une ressource très précieuse qui non seulement fournit des emplois, mais également nourrit des milliers de personnes et maintient la bonne santé des océans.
Des Océans sains pour des peuples sains - telle est l'expérience que nous vivons aujourd'hui sur les côtes sénégalaises.
La côte ouest de l'Afrique est l'une des plus poissonneuses au monde - une source vitale de protéines pour les populations du Sénégal et d'autres pays. Malheureusement, après que les flottes européennes et asiatiques ont presqu'entièrement surexploité certains de leurs stocks, elles se dirigent vers de nouvelles zones de pêche, notamment celles de l'Afrique de l'Ouest.
Ces bateaux étrangers pêchent, en une journée, l’équivalent des captures annuelles de plusieurs petites pirogues, mettant ainsi une pression énorme sur les stocks déjà fragiles. Les pêcheurs sénégalais étaient ainsi contraints de passer plusieurs jours en mer pour de maigres captures.
Tout est bien qui finît bien!
Suite à la mobilisation des communautés de pêcheurs et à la décision du nouveau gouvernement sénégalais d'annuler les autorisations de pêche de 29 chalutiers pélagiques, l'espoir commence à renaître dans ce secteur.
5 Commentaires
Jimbory
En Septembre, 2012 (14:06 PM)Si vous saviez combien il y'en a de chalutiers avec ou sans licence qui pillent nos ressources depuis des decennies...
Parole d'ancien pecheur!
Lyns
En Septembre, 2012 (16:57 PM)Dikdik
En Septembre, 2012 (19:40 PM)Anonymoooooooo
En Septembre, 2012 (23:34 PM)et la réglementation !
Océanographe
En Septembre, 2012 (03:33 AM)Participer à la Discussion