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UCAD : violents heurts entre policiers et étudiants qui manifestaient violemment pour réclamer leurs "aides"

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UCAD : violents heurts entre policiers et étudiants qui manifestaient violemment pour réclamer leurs "aides"

La matinée de ce jeudi a été mouvementée à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. De violents affrontements on opposé les forces de l’ordre et étudiants. Ces derniers qui réclament leurs "aides" promettent de revenir à la charge dès demain si rien n’est fait.

 

«Depuis longtemps, on n’a pas récupéré nos aides. Mais, jusque-là, on n’arrive pas à les avoir. C’est cela qui nous a amenés à manifester dans la rue », a dit Ousmane Mané, porte-parole de ces manifestants. «Si d’ici 24 heures, nous ne recevons pas nos aides, nous reprendrons les mêmes actions, a averti Ousmane Mané qui estime que l’Etat doit respecter les étudiants…». 



9 Commentaires

  1. Auteur

    Lom

    En Juillet, 2013 (14:23 PM)
    ah les assistés.

    La lus grande université du pays, mais à chaque fois qu'on vous cite dans les journaux; c'est pour une mutinerie.



    Jamais jamais on nous dit que les étudiant de UCAD on fait quelques choses de bon. A qui la faute?



     :down:  :down:  :down:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla: 
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  2. Auteur

    Yallil

    En Juillet, 2013 (14:26 PM)
    Vous avez le droit de réclamer ce qu'on vous doit mais ne cassez rien.



    Que les flics bastonnent bien et mettent hors d'état de nuire les casseurs, c'est une priorité nationale, c'est fléau qui fait plus de dégâts que les inondations.



    Il faut aussi que l'état paye régulièrement les étudiants et une bonne fois pour toute.
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    Auteur

    Tin

    En Juillet, 2013 (14:38 PM)
    IL FAUT LES BRULER TOUS SONT DES KAW KAW
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    Auteur

    Kaw Kaw

    En Juillet, 2013 (14:44 PM)
    JE ME RAPPEL DE MON AIDE EN PREMIERE ANNEE JAVAIS ACHETE DES SEBAGO DES TICKET A GOGO PUIS MAIS 36 EN DEUXIEME DE MON INDEMNITE DE STAGE ET MAINTENANT MON SALAIRE
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    Auteur

    Wa Dji Si Net Bi

    En Juillet, 2013 (14:46 PM)
    Il faut qu'on vous paye c'est une chose mais il ne faut pas faire des actes de vandalisme. Lom il faut savoir que dans ce pays les journaux ne s'intéressent à l'université que s'il y'a des heurts mais de bonnes choses s'y font tous les jours pour preuves les étudiants sont de grands donneurs de sang allez faire un tour au CNTS pour vérifier.
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    Auteur

    Qui Vivra Verra

    En Juillet, 2013 (15:17 PM)
    Appel aux cadres du nord/ Bamba Massany : «Notre pays s’effondre »













    A travers cette adresse, nous voudrions interpeller nos sœurs et frères cadres du Nord de notre pays, la Côte-d’Ivoire, que nous aimons tous et que nous partageons avec nos frères des autres groupes ethniques.

    En effet, pour rappel, il est connu de tous que l’actuel chef de l’Etat, M. Alassane Dramane Ouattara a fait son entrée véritable en politique en 1994. Face à la traque de Bédié et de la justice ivoirienne qui le sommaient de fournir les preuves de sa nationalité ivoirienne, l’homme, au cours d’une conférence à Paris en 1999, prit le dangereux raccourci d’un discours justificatif au caractère ethno-religieux : « On ne veut pas que je sois candidat, parce que je suis musulman et du nord »

    Ces propos marquaient une grande première dans le jeu politique ivoirien. Le choc ressenti dans le pays était à la mesure de la dangerosité et du caractère inédit du discours. Depuis lors, malheureusement, cette phrase destructrice a fait son chemin en Côte d’Ivoire.

    Au début, les Ivoiriens dans leur ensemble hormis les « initiés », avaient cru qu’il s’agissait juste de propos politique pour rallier à sa cause les nordistes, communauté alors majoritairement militante du PDCI-RDA. D’ailleurs cette vision des choses se concrétisa, car la majorité des militants du RDR est aujourd’hui constituée des ressortissants du Nord de la Côte d’Ivoire. Cette adhésion massive à ce parti, il faut le reconnaitre, se manifesta de manière avérée à l’arrivée du président Laurent Gbagbo au pouvoir,ce à deux niveaux :

    D’abord, tout le Nord de manière générale à servi de base à la rébellion qui a endeuillé les Ivoiriens à partir de 2002. Cette rébellion, par son positionnement géographique principal et l’origine de ses principaux leaders donnait à penser à un conflit du Nord majoritairement musulman contre le Sud chrétien, selon le schéma décrit plus haut par M. Alassane Dramane Ouattara.

    Les raisons servies par ceux qui ont porté le coup meurtrier à la mère patrie, sont que l’on venait pour restaurer la dignité du peuple du nord longtemps bafouée, en plus de la promesse d’un bien être social. Hélas ! Souvenir pour souvenir, après neuf ans d’occupation anarchique et d’exploitation incontrôlée de cette partie du pays, de Touba à Korhogo, en transitant par Séguéla, Kong, Odienné pour ne citer que ces localités, le constat est très amer : aggravation de la misère, décimation de la population active, exode des jeunes vers le sud, propagation du VIH/SIDA, destruction de l’école avec l’utilisation des enfants comme des combattants, aggravation des conflits éleveurs-planteurs, mévente des produits (coton, anacarde), pauvreté généralisée...

    Ensuite, avec les élections de 2010, cette population semble prendre fait et cause pour le candidat du RDR. Cette vision des choses est pourtant loin de la réalité, car la brave population du Nord s’est trouvée prise en otage par les rebelles du MPCI et contrainte par ces derniers, sous les armes, à voter ‘’massivement’’ et même abusivement pour leur mentor, comme en témoignent les scores staliniens réalisés par le leader du RDR dans cette zone.

    Après l’installation de M. Ouattara au pouvoir dans les conditions que nous connaissons, les Ivoiriens étaient légitimement en droit d’espérer en une véritable politique de réconciliation, d’union et de reconstruction, au sortir de plus d’une décennie de crise militaro-politique ponctuée par une terrible guerre postélectorale. Que nenni ! Il leur sert à leur grand étonnement une gestion outrancièrement ethno-tribale, conceptualisée et expérimentée sous le vocable de ‘’rattrapage ethnique’’.

    En effet, en déclarant au journal français L’EXPRESS, à propos de sa politique de recrutements et de nominations exclusifs de ressortissants du Nord : « Il s’agit d’un simple rattrapage. Sous Gbagbo, les communautés du Nord, soit 40% de la population, étaient exclues des postes de responsabilité», M. Alassane Dramane Ouattara venait de jeter un autre pavé dans la mare déjà boueuse du microcosme politique ivoirien. Après ‘’l’ivoirité’’ dont il s’est proclamé illustre victime, il venait, à son tour, de créer un concept monstrueux et nocif en Côte d’Ivoire.

    En fait, le rattrapage ethnique accrédite la thèse selon laquelle le nord, grâce à Alassane Dramane Ouattara, se «rattrape » des injustices qu’il aurait subi au détriment des autres régions de la Côte d’Ivoire, particulièrement sous le règne du président Laurent Gbagbo.

    Les observateurs de la vie politique dans notre pays et au-delà noteront que, c’est bien la première fois qu’un dirigeant africain, à cet ultime niveau de responsabilité, reconnait ouvertement et sereinement, qu’il fait ses nominations sur une base purement tribale et communautaire. Ils noteront également la contre-vérité flagrante qui accuse gratuitement le président Gbagbo de marginaliser les nordistes. Les preuves contraires surabondent, mais nous en ferons l’économie pour l’occasion, de peur de nous éloigner de la quintessence de notre sujet.

    En réalité, avec la politique de ‘’rattrapage’’ initiée par l’actuel Chef de l’Etat, la part belle est faite aux ressortissants du ‘’nord’’ dans l’administration centrale comme dans l’armée. Jugeons-en nous-mêmes : le gouvernement de la République de Côte d’Ivoire, les responsables d’institutions, d’administrations centrales et d’administrations décentralisées, les responsables des sociétés d’Etat sont tous majoritairement d’origine nordiste. L’armée de Côte d’Ivoire (FRCI) ainsi que toute la hiérarchie de cette armée qu’on peut sans risque de se tromper qualifier de tribale, appuyée par les supplétifs ‘’dozos’’ est dominée par les anciens Chefs de guerre, tous pratiquement de la même région.

    Est-ce à dire que les nordistes ont la primauté sur les autres populations ivoiriennes ? Sont-ils les seuls dotés de compétences pour gérer ce pays ? Chacun conviendra que non. De feu Félix Houphouët Boigny jusqu’au président Laurent Gbagbo en passant par les présidents Henri Konan Bédié et feu Robert Guéi, la Côte d’Ivoire a été gérée en ne lésant aucune région. « Le nord n’est certainement pas moins développé que toutes les régions de la Côte d’Ivoire. Il suffit de voir les voies d’accès aux zones productrices de cacao, la principale source de devises du pays pour s’en rendre compte. Au sud, à l’Est, à l’Ouest et au Centre, il y a des localités inaccessibles, non électrifiées, sans centre de santé ni école » (Notre Voie n°4460 du 5 juillet 2013 P.2). D’où vient alors la marginalisation des nordistes qui justifierait un ‘’rattrapage’’ ?

    La gestion du pouvoir d’Etat à laquelle nous assistons aujourd’hui est loin de bâtir une cohésion entre les filles et les fils de ce pays. Pire, M. Ouattara, avec sa visite débutée le 02 juillet 2013 dans la Région des Savanes affirme sans gêne et je le cite : « le nord n’a pas eu sa part de redistribution nationale (…) donc je suis venu vous dire que j’ai de grandes ambitions pour le district des savanes (…) ».

    Au-delà du discours purement électoraliste et populiste à l’endroit des siens, il est malheureux d’observer, de la part d’un chef d’Etat qui dit prôner ‘’le vivre ensemble’’, l’apologie du tribalisme et du régionalisme. Ainsi, du rattrapage ethnique dans les nominations dans l’administration publique et les sociétés d’Etat, monsieur Ouattara vire au rattrapage régional par les investissements massifs annoncés au nord, au détriment des autres régions du pays.

    Face à cette situation qui fragilise notre nation depuis plusieurs mois, sœurs et frères cadres du Nord, devons-nous, par notre mutisme cautionner cette politique dite de rattrapage ? Sous le prétexte que cette politique nous profite, allons-nous fermer les yeux sur le danger que court la Côte d’Ivoire avec une ethnocratie qui consiste à ne placer partout rien que des ressortissants du Nord de la Côte d’ Ivoire ? Quelle image renvoyons-nous aux dizaines de milliers d’Ivoiriens licenciés de leurs services pour nécessité de rattrapage ? Et le sort des femmes et des enfants de ces familles livrées à elles-mêmes ? Allons-nous accepter plus longtemps que le nord serve de ‘’Goulags’’ et de camps de tortures pour bon nombre de nos compatriotes non nordistes sous la surveillance d’une armée et d’une milice perçues comme tribales ?

    A bien y voir, les ressortissants du nord ont été au cœur d’une décennie d’instrumentalisation par les dignitaires du régime actuel, dans leur stratégie de conquête du pouvoir. Celle-ci a consisté, pour eux, à opposer le nord aux autres régions de Côte d’Ivoire pour mieux se positionner dans le rôle de «redresseur » de tort des nordistes. Et la vraie vision de M. Ouattara a été exprimée au cours de sa tournée actuelle au nord lorsqu’il dit : « Ne parlons pas de nos origines… ». Comment peut-on vivre dans un pays en ignorant ses origines ? Notre grand chef, nous invite en réalité à brader notre nationalité, en faisant de la Côte-d’Ivoire un NO MAN’S LAND.

    Chers sœurs et frères du nord, militants du PDCI, du RDR, du FPI et des autres partis politiques, j’en appelle à votre conscience et à votre attention ; un sentiment anti-nordiste est en train de naître chez les autres Ivoiriens, victimes d’exclusion causée par le rattrapage et encouragée par notre silence ou notre complicité.

    N’oublions pas, par ailleurs, que nous, originaires du nord, sommes aussi désabusés par cette politique ethno-tribale qui se transforme sous nos yeux en une VERITABLE EXCLUSION de l’ivoirien tout court dans son propre pays. Au nord comme dans les autres régions de Côte d’Ivoire, nos terres sont occupées par des ressortissants étrangers (burkinabés, guinéens, maliens) déversés par cars entiers... Oui, il ne faut pas se leurrer, les nordistes sont aussi expropriés et il faut avoir le courage de le dire. A Touba, Séguéla, Mankono, la triste réalité s’impose à tous sans qu’une véritable réponse politique ne soit apportée. Aussi, ne nous fions pas aux patronymes des personnes nommées dans l’administration, dans l’armée et des élus pour nous réjouir au motif que l’on promeut les originaires du nord. Je vous invite à plus de discernement, car la défense des intérêts du pays s’impose à nous autant qu’aux concitoyens des autres régions, parce que la Côte d’Ivoire nous appartient au même titre.

    Chers sœurs et frères du Nord, militants du FPI, du PDCI, du RDR et des autres partis, aujourd’hui nous assistons pour certains de façon impuissante, pour d’autres avec une complicité avérée et active à la gestion ethno-tribale du pouvoir. Cette politique d’un autre âge divise les Ivoiriens, car elle crée un communautarisme au lieu de construire une NATION. Elle formalise un repli identitaire, accentue la fracture sociale et relègue le fameux ‘’vivre ensemble’’ à un simple slogan riche de sa vacuité.

    Vous mes sœurs, Vous mes frères du grand Nord sans exception, nous vous interpellons ici sur le danger de cet autre concept. Nous qui avons des quartiers ‘’dioulabougous’’ dans toutes les villes du pays, véritables symboles de notre acceptation et de notre intégration au sein des autres communautés ivoiriennes, nous vous invitons à prendre nos responsabilités, car notre beau pays s’effondre.

    Alors pour éviter le pire, comme un seul homme, levons-nous et disons non à cette forfaiture, disons non à cette déchirure de notre nation. Nous, cadres et populations du Nord, désolidarisons-nous de cette posture sectaire, montrons aux autres Ivoiriens que nous sommes pour la construction d’une nation forte et solidaire et non d’une tribu.

    Oui,

    -Parce que la manipulation des différences régionales et ethno-religieuses ne peut constituer une politique nationale durable ;

    -Parce que les exclus d’aujourd’hui peuvent revendiquer aussi les rebellions de demain ;

    -Parce qu’il faut mettre un terme à la longue parenthèse tribaliste, divisionniste, trompeuse et dangereuse en cours en Côte d’Ivoire ;

    -Parce qu’il il y a encore, dans toutes les régions de Côte d’Ivoire et particulièrement au nord de notre pays, des Ivoiriens lucides qui voient venir le danger d’une véritable guerre civile ;

    Nous, les nordistes, disons haut et fort : ‘’ nous ne nous reconnaissons pas dans cette politique dite de rattrapage. Comme un seul homme, dénonçons la division flagrante du peuple ivoirien, en vue de construire dans la dignité, l’union et la prospérité une Côte-d’Ivoire réconciliée avec elle-même.

    Vive une Côte d’Ivoire qui doit avancer dans la diversité ethnique, car main dans la main nous iront de l’avant. Oui, nous le pouvons…..



    Bamba Massany,
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    Auteur

    Boy Dakar

    En Juillet, 2013 (18:12 PM)
    vous les étudiants vous aimez la facilité car la majeur partie de ceux qui manifestent SONT DES KAW KAWS dont vous ne manger que du NDIORDI vous venez a DAKAR on vous donne du pain beurre ou chocolat et vous faites le malin mais l'Etat doit prendre ses responsabilités en vous envoyant TOUS DANS l'ARMEE bandes de feneants
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    Auteur

    Jule Salle

    En Juillet, 2013 (22:27 PM)
    svp il faut données les étudiant ce qu'on leurs doivent c est pas normale les policiers doivent arrêtaient des actes de barbares même s ils ont reçu des ordres de leurs supérieurs de ce faite ou est la rupture laissons nos enfants en paix mais les Etudiants ne cassé rien
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    Auteur

    Mane Moussa

    En Juillet, 2013 (23:17 PM)
    Il est dommage que les Africains ignorent la culture du droit acquis dont la préservation et même l'amélioration doivent être le combat de tous. A chaque fois qu'un groupe revendique un droit, on entend toujours certains comparaitre leur propre situation à celle de ceux qui luttent. A ce rythme, on croit savoir qu'il faudrait faire le nivellement par le bas; ce qui, à mon avis n'est qu'une régression. On devrait plutôt encourager ceux qui luttent pour progresser dans l'avenir comme le font les Occidentaux. Ainsi, grâce aux luttes de 1936, les Français ont acquis les droits aux congés payés, une rémunération minimale du salaire, un droit au chômage, une sécurité sociale et jusqu'à aujourd'hui bénéficier des 35 heures et la cinquième semaine. Devrions-nous, nous contenter de ce que l'on nous impose sans combat ni lutte? Je réponds par la négative car la soumission, l'acceptation de tout esclavage et la fatalité ne sont pas des actes dignes de l'homme qui cherche à améliorer sa condition de vie et son bien-être matériel ou éducatif. Battons-nous, la vie est un combat perpétuel et les libertés de revendication des intérêts collectifs sont les seuls moyens d'expression de la Démocratie que nous croyons exercer. Vive les combattants et lutteurs pour le maintien des droits acquis et de leur amélioration. Que les étudiants continuent leur lutte qui constitue le seul moyen d'obtenir la réalisation de leurs droits.

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