Coumba Gawlo Seck prête à pardonner un mari infidèle

Dakar, 23 déc (APS) - Coumba Gawlo Seck a confié qu'elle pourrait pardonner les infidélités de son futur mari, à condition que celui-ci ‘'soit honnête'' en venant de lui-même lui faire part de son aventure.

‘'La fidélité chez un homme, éternellement, c'est le rêve. Mais s'il arrive que mon homme glisse un soir, je peux lui pardonner. A condition qu'il soit honnête avec moi, qu'il vienne me le dire'', a dit la star sénégalaise au quotidien Le Populaire (édition du week-end).

L'artiste de 34 ans, encore célibataire, mais qui se dit ‘'très libre'' dans sa tête et dans sa façon d'agir ‘'tous les jours'', a cependant précisé que la fidélité chez un homme comme chez une femme reste ‘'obligatoire et c'est une question d'éthique''.

Interrogée par le journal à propos du ‘'mystère'' qui entoure sa vie, Coumba Gawlo Seck a répondu : ‘'pour être très honnête, je ne cherche pas à exhiber l'homme avec qui je suis, si j'en ai un et pour être très honnête, je n'en ai pas''.

Coumba Gawlo Seck a-t-il donc peur de l'amour ? ‘'Je vais être très honnête avec vous'', a-t-elle répondu au journal. ‘'Je pense que dans ma vie, j'ai toujours réussi à tout surmonter, à tout gérer (.). Mais, je ne peux pas affronter l'amour. Ça, je ne peux pas''.

‘'L'amour me pousse à être cette personne que je n'aime pas être et que j'aime aussi être. A savoir cette personne qui peut-être faible, qui peut être vulnérable, qui peut avoir peur, qui peut avoir des angoisses, qui peut avoir des inquiétudes'', a-t-elle précisé.

L'amour, a encire dit la star, ‘'me pousse parfois à sortir de mes objectifs. Et comme je veux toujours restée fidèle à mes objectifs, je risque de perdre pied. Je me dis : +ça ce n'est pas pour moi''.

‘'L'homme dont je rêve, moi, j'aimerais qu'il soit intelligent'', fin et généreux et d'une ‘'forte personnalité''. ‘'C'est très important'' pour moi, a commenté Coumba Gawlo Seck qui affirme vivre ‘'artistiquement'' même l'amour.

L'artiste dit songer ‘'absolument'' à se à se marier, puisque ‘'c'est le moment''. Mais, a-t-elle précisé, je ne vais prendre une pancarte, aller à Sandaga et y inscrire : +venez, je cherche un mari !+. Non ! Non ! Je ne pense pas''.

BK