L’artiste peintre et muraliste sénégalais Ibou Ndoye vient d’être distingué encore une fois par le prestigieux classement américain « who is Who in America » de l’édition 2009. " Who is who Publishing" est le plus grand éditeur annuel qui propose un répertoire des africains américains les plus influents et les plus prometteurs.
L’artiste sénégalais de renommée internationale qui vit actuellement à Cincinnati a confié à la suite de cette distinction que : "C'est un honneur pour moi d'être sélectionné à nouveau pour cette 4eme édition 2009, après l'avoir été dans la 3eme Edition 2006".
L’édition 2009 consacrée aux africains américains les plus influents dans la ville américaine de Cincinnati s’est tenue il y a quelques semaines à l'hôtel Hilton Netherland Plaza. Elle avait été présidée par le Maire Mark Mallory qui a tenu à féliciter tous ceux qui ont été sélectionnés.
Dans une allocution lors de la cérémonie de lancement de cette édition, le maire de Cincinnati a déclaré: "Je voudrais d'abord remercier Sunny Martin(PDG de Who's who publishing) de m'avoir demandé de rédiger l'avant-propos de cette édition prestigieuse. Les Africain-Américains ont eu une riche et importante histoire à Cincinnati, et continuent d’occuper une place de choix dans notre communauté. Cette édition vient a point nommé pour présenter des hommes et des femmes remarquables, qui sont non seulement des innovateurs d'affaires d'aujourd'hui, des leaders d’organisations communautaires, mais aussi des sources d’inspiration pour les prochaines générations de dirigeants"
Cette nouvelle consécration pour l’artiste sénégalais Ibou Ndoye est un nouveau point d’orgue dans la carrière de ce génie qui se fait de plus connaitre aux Etats Unis. Son inspiration se vivifie dans le terreau des nombreuses contingences qui assaillent les pays du Sahel avec la sécheresse comme thème central.
Ibou Ndoye souligne que «la famine, les douleurs et misères auxquelles font face les populations africaines, sont inacceptables, aucune créature de Dieu ne devrait être exposée à ces maux», avant d’ajouter, «j’ai eu la chance d’avoir un style de peinture unique, qui m’est particulier et que les gens apprécient beaucoup».
Matar Gaye
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