Le Collectif des travailleurs de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) exprime son courroux sur le litige de la 4ème cité (UCAD 4) à Keur Massar). Le conflit qui l’oppose à un groupe de personnes qu’il qualifie de “prédateurs”, commence à prendre des proportions inquiétantes.
En plus du blocage des travaux de construction par la gendarmerie de la Direction de surveillance et de contrôle des sols (Dscos), les membres de la Coopérative d’habitat des travailleurs de l’UCAD subissent des arrestations. A ce rythme, ils signalent que l’UCAD pourrait “se vider de son personnel au profit de citoyens qui semblent être protégés plus que nous“.
Le Collectif des travailleurs de l’université Cheikh AntaDiop de Dakar (Ucad) dénonce l’attitude d’un groupe de personnes qui a fini par envahir la Cité UCAD 4 sise à Keur Massar «pour y opérer des ventes frauduleuses de parcelles, des occupations illégales et la destruction lamentable des infrastructures déjà implantées par la Coopérative ».
En effet, le Collectif est en train de subir présentement l’arrestation de ses membres à cause du conflit qui « l’ opposait, en 2008, à l’ancien Maire de Pikine, feu Demba Seck qui réclamait une partie (1 ha 68 environ) sur le site que l’Etat du Sénégal nous a attribués par décret N° 2006-374 ».
Le Collectif de l’Ucad crie au scandale de ce projet d’habitat qu’il avait initié pour faire bénéficier d’un millier de logements au sein de 05 cités sises à Keur Massar aux enseignants, chercheurs et le Personnel administratif, technique et de service (Pats).
En attendant d’y voir plus clair, le Collectif constate, malgré le blocage des travaux de construction par la gendarmerie de la Direction de surveillance et de contrôle des sols (Dscos), que ses infrastructures déjà entamées sont en train d’être détruites par “des prédateurs”.
A cela s’ajoute “l’implantation d’un autre lotissement allant dans le sens contraire du nôtre”, explique-t-il dans un communiqué dont nous avons copie.
“Malheureusement, nous avons déposé une multitude de plaintes qui sont hélas restées sans suite. Ce qui est plus inquiétant dans ce litige est qu’à chaque fois que nous menons des actions sur le site, nous avons les forces de l’ordre en face de nous“, lit-on dans le communiqué signé par la présidente du Collectif, Diéyi Diouf.
Signalant que leur cité est acquise et entièrement viabilisée sur fonds propres par le biais de cessions sur salaires des membres pendant 5 ans, le Collectif invite “l’Etat à prendre garde avant qu’un scandale arrive à tout moment face aux multiples agressions dont nous faisons tous l’objet sur le site”.
En plus du blocage des travaux de construction par la gendarmerie de la Direction de surveillance et de contrôle des sols (Dscos), les membres de la Coopérative d’habitat des travailleurs de l’UCAD subissent des arrestations. A ce rythme, ils signalent que l’UCAD pourrait “se vider de son personnel au profit de citoyens qui semblent être protégés plus que nous“.
Le Collectif des travailleurs de l’université Cheikh AntaDiop de Dakar (Ucad) dénonce l’attitude d’un groupe de personnes qui a fini par envahir la Cité UCAD 4 sise à Keur Massar «pour y opérer des ventes frauduleuses de parcelles, des occupations illégales et la destruction lamentable des infrastructures déjà implantées par la Coopérative ».
En effet, le Collectif est en train de subir présentement l’arrestation de ses membres à cause du conflit qui « l’ opposait, en 2008, à l’ancien Maire de Pikine, feu Demba Seck qui réclamait une partie (1 ha 68 environ) sur le site que l’Etat du Sénégal nous a attribués par décret N° 2006-374 ».
Le Collectif de l’Ucad crie au scandale de ce projet d’habitat qu’il avait initié pour faire bénéficier d’un millier de logements au sein de 05 cités sises à Keur Massar aux enseignants, chercheurs et le Personnel administratif, technique et de service (Pats).
En attendant d’y voir plus clair, le Collectif constate, malgré le blocage des travaux de construction par la gendarmerie de la Direction de surveillance et de contrôle des sols (Dscos), que ses infrastructures déjà entamées sont en train d’être détruites par “des prédateurs”.
A cela s’ajoute “l’implantation d’un autre lotissement allant dans le sens contraire du nôtre”, explique-t-il dans un communiqué dont nous avons copie.
“Malheureusement, nous avons déposé une multitude de plaintes qui sont hélas restées sans suite. Ce qui est plus inquiétant dans ce litige est qu’à chaque fois que nous menons des actions sur le site, nous avons les forces de l’ordre en face de nous“, lit-on dans le communiqué signé par la présidente du Collectif, Diéyi Diouf.
Signalant que leur cité est acquise et entièrement viabilisée sur fonds propres par le biais de cessions sur salaires des membres pendant 5 ans, le Collectif invite “l’Etat à prendre garde avant qu’un scandale arrive à tout moment face aux multiples agressions dont nous faisons tous l’objet sur le site”.
1 Commentaires
Idy
En Octobre, 2015 (15:39 PM)Que pensez vous de Keur Massar comme residence ?
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