La métropole chinoise de Chengdu (sud-ouest) lève progressivement à partir de lundi un confinement anti-Covid qui avait entraîné la fermeture d'écoles et de commerces, les habitants étant bloqués chez eux pendant plus de deux semaines.
Capitale de la province du Sichuan, la ville peuplée d'environ 21 millions de personnes est la plus grande du pays à avoir fait l'objet d'un confinement depuis celui de la capitale économique Shanghai en avril-juin.
La Chine impose une stricte politique sanitaire contre le Covid-19 et les responsables locaux sont sous pression pour éviter toute explosion des cas avant le Congrès du Parti communiste prévu mi-octobre.
"Grâce aux efforts de tous, l'épidémie a été efficacement placée sous contrôle à Chengdu", a indiqué dimanche la mairie dans un communiqué.
Les administrations publiques, les transports en commun et les entreprises, à l'arrêt depuis le 1er septembre, peuvent reprendre leur activité. Les écoles vont rouvrir progressivement.
Toute personne souhaitant entrer dans un lieu public (bureau, immeuble d'habitation, centre commercial, salle de sport, piscine, etc.) devra toutefois présenter un test PCR négatif datant de moins de 72 heures.
Une mesure similaire à celle appliquée dans d'autres grandes villes comme Pékin et Shanghai.
Aucun nouveau cas positif n'a été rapporté lundi à Chengdu.
Durant le confinement, certains habitants avaient indiqué à l'AFP n'avoir pas pu descendre de chez eux lors d'un puissant séisme, ressenti dans la ville et dont l'épicentre était situé à environ 200 km.
Chengdu accueillera à partir de fin septembre les championnats du monde de tennis de table dans une bulle sanitaire, semblable à celle des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver en février-mars à Pékin.
Ce sera l'un des rares événements sportifs internationaux organisés par la Chine depuis le début de la pandémie.
Dimanche, 27 personnes sont mortes lors de l'accident du car qui les emmenait vers un lieu de quarantaine dans la province voisine du Guizhou (sud-ouest).
Les autorités locales se sont excusées et ont lancé une enquête sur le drame, lequel a déclenché un fort ressentiment populaire contre les excès de la politique sanitaire.
"Quelle preuve avez-vous que ce n'est pas vous qui serez un jour dans ce car une nuit?", a écrit un internaute sur le réseau social Weibo, un commentaire devenu viral et "aimé" des milliers de fois.
Le ministère de la Santé a rapporté lundi 807 nouveaux cas positifs en Chine lors des dernières 24 heures.
Capitale de la province du Sichuan, la ville peuplée d'environ 21 millions de personnes est la plus grande du pays à avoir fait l'objet d'un confinement depuis celui de la capitale économique Shanghai en avril-juin.
La Chine impose une stricte politique sanitaire contre le Covid-19 et les responsables locaux sont sous pression pour éviter toute explosion des cas avant le Congrès du Parti communiste prévu mi-octobre.
"Grâce aux efforts de tous, l'épidémie a été efficacement placée sous contrôle à Chengdu", a indiqué dimanche la mairie dans un communiqué.
Les administrations publiques, les transports en commun et les entreprises, à l'arrêt depuis le 1er septembre, peuvent reprendre leur activité. Les écoles vont rouvrir progressivement.
Toute personne souhaitant entrer dans un lieu public (bureau, immeuble d'habitation, centre commercial, salle de sport, piscine, etc.) devra toutefois présenter un test PCR négatif datant de moins de 72 heures.
Une mesure similaire à celle appliquée dans d'autres grandes villes comme Pékin et Shanghai.
Aucun nouveau cas positif n'a été rapporté lundi à Chengdu.
Durant le confinement, certains habitants avaient indiqué à l'AFP n'avoir pas pu descendre de chez eux lors d'un puissant séisme, ressenti dans la ville et dont l'épicentre était situé à environ 200 km.
Chengdu accueillera à partir de fin septembre les championnats du monde de tennis de table dans une bulle sanitaire, semblable à celle des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver en février-mars à Pékin.
Ce sera l'un des rares événements sportifs internationaux organisés par la Chine depuis le début de la pandémie.
Dimanche, 27 personnes sont mortes lors de l'accident du car qui les emmenait vers un lieu de quarantaine dans la province voisine du Guizhou (sud-ouest).
Les autorités locales se sont excusées et ont lancé une enquête sur le drame, lequel a déclenché un fort ressentiment populaire contre les excès de la politique sanitaire.
"Quelle preuve avez-vous que ce n'est pas vous qui serez un jour dans ce car une nuit?", a écrit un internaute sur le réseau social Weibo, un commentaire devenu viral et "aimé" des milliers de fois.
Le ministère de la Santé a rapporté lundi 807 nouveaux cas positifs en Chine lors des dernières 24 heures.
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