Selon l'hebdomadaire américain, la patronne du FMI est la bonne personne pour sauver l'Europe.
"Cette femme peut-elle sauver l'Europe ?" Voilà la question posée en une du célèbre magazine Time, qui consacre cette semaine trois pages à Christine Lagarde. Selon l'hebdomadaire américain, il semblerait que la patronne du FMI soit "l'homme de la situation" et la seule personne à même de sauver la zone euro. "Si Christine Lagarde ne peut pas réparer l'Europe, qui peut le faire ?", s'interroge la journaliste Vivienne Walt, saluant le "charisme" de l'ancienne ministre de l'Economie de Nicolas Sarkozy.
Selon le Time, Christine Lagarde aurait une nouvelle fois montré ses talents avec le sauvetage de Chypre. Pour Vivienne Walt, la patronne du FMI a fait preuve d'un calme surprenant pendant la crise chypriote : "Quand la petite île méditerranéenne menaçait d'envoyer l'économie mondiale dans le mur, Lagarde est restée calme et s'est même permise quelques blague". Elle a "cajolé, harangué et poussé" les dirigeants de l'eurogroupe afin de sauver la zone euro.
La forte personnalité de Christine Lagarde semble beaucoup impressionner Vivienne Walt : "Elle était toujours la seule femme dans la pièce: une grande silhouette aux cheveux argent parmi des bureaucrates aux costumes gris". Elle ajoute que Christine Lagarde a su s'imposer bien qu'elle ne soit pas économiste, contrairement à son prédécesseur, Dominique Strauss-Khan.
Source : atlantico.fr
7 Commentaires
Benngrand
En Avril, 2013 (12:28 PM)Reply_author
En Février, 2024 (06:35 AM)Mom mo si dess.
Un Passant
En Avril, 2013 (12:38 PM)Nit
En Avril, 2013 (15:04 PM)Momo
En Avril, 2013 (21:21 PM)De nouvelles instances mondiales telles que le "FMI", la BANQUE MONDIALE et la
BANQUE DE COLONISATION INTERNATIONALE (Bank of International Setllement),
furent créées pour étendre la suprématie de l'économie à la planète entière. Les
contributions à payer tous les ans par chaque nation sont de l'ordre de milliards. Si une
nation a des problèmes pour régler sa contribution, ce sont les ouvriers et les plus
défavorisés qui s'en ressentent. Actuellement, le "FMI" cherche, sur l'ordre des banquiers
internationaux, des moyens pour contrôler toute l'économie mondiale.
Le membre du "Comité des 300" HAROLD LEVER fit une proposition connue sous le nom
de "plan Ditchley". Selon le PLAN DITCHLEY, la politique financière et monétaire des
Etats-Unîs passerait, au mépris de la loi, sous le Contrôle du FMI. Ce plan permettrait au
FMI de réunir dans la Banque mondiale toutes les banques centrales des différentes
nations.
En 1981 les banques les plus éminentes de Wall Strect et le gouvernement des Etats-Unis
décidèrent d'un commun accord d'imposer à chaque pays redevable des conditions de
remboursement accablantes qui furent mises en place par les "KISSINGER ASSOIATES
INC." (le conseil de direction est composé de Robert 0. Anderson, magnat du pétrole et
président de l'institut Aspen, de l'ex-secrétaire d'Etat aux affaires étrangères de Thatcher,
lord Carrington et de lord Roll of Ipsden, directeur de la "Bank of England" et de la Banque
S. G. Warburg).
Le FMI, la "Federal Reserve Bank" et la "Bank of England" doivent assurer le rôle de
"police mondiale" pour recouvrer les dettes. L'Amérique a eu l'idée de placer le FMI connu
pour son intransigeance au centre de toutes les négociations de dettes. Les conditions du
FMI furent élaborées par le représentant du FMI Irving Friedman (Cela lui valut une position
élevée dans la Citibank).
Remarque sur la situation actuelle :
REXRODT, ministre actuellement de l'économie en Allemagme, fut aussi, pendant quelque
temps, chef de la Citibank dans ce pays.
Les capitaux du Fonds Monétaire International représentèrent pour les pays une sorte
d'appât. Une fois les difficultés d'un pays cernées, les experts du FMI lui montraient ce
fallait absolument changer. Ils déclaraient ensuite au pays endetté que s'il voulait obtenir
ne serait-ce qu'un crédit minime auprès d'une banque étrangère, il devait réduire ses
importations au stric minimum. Il devait aussi faire baisser de façon draconienne les
dépenses de l'Etat et surtout arrêter toutes les subventions pour la nourriture de base et
autres allocations pour les personnes défavoriées. La condition sine qua non était toujours
de dévaluer la monnaie. Ceci soi-disant pour que les exportations soient meilleur marché et
deviennent compétitives sur le marché mondial. Mais, en véité, le prix des importations
s'élevait et les dettes s'accroissaient. C'était le premier pas. Le deuxième consistait à
obtenir du pays qu'il consente à un vaste programme de conversion des dettes. C'est alors
que les banques créditrices s'assuraient de la future mainmise sur le pays endetté. Ils
comptaient, de surcroit, des paiements d'intérêts et d'amortissements. Le FMI devint la
police économique internationale des grandes banques privées. L'un après l'autre, les pays
devaient négocier les conditions de remboursement avec le FMI et les les banques du
groupe Ditchley.
D'après les informations de la Banque mondiale, des paiements d'intérêts s'élevant à 326
milliards de $ et venant de 109 pays débiteurs allèrent dans des banques créditrices pivées
de 1980 à 1986. Dans la même péiode, 332 milliards de $ furent remboursés. C'est ainsi
que des dettes de 658 milliards de $ furent payées alors que le montant originel des dettes
n'était que de 430 milliards. Malgré cela, les 109 pays devaient encore 882 milliards de $
aux banques créditrices.
Cette action conjointe d'intérêts beaucoup trop élevés et de cours de charge oscillants
plonge les pays dans un entrelacs de dettes magnifiquement inextricable qui profite aux
banques. (112)
Buju Banton
En Avril, 2013 (01:03 AM)Lagard n'a pas pour role de "sauver" l'Europe mais de la faire plonger, comme nous n'avons cesse de le repeter depuis son accession au pouvoir. Elle est membre a part entiere de la fraternite sionistes et il suffit pour s'en convaincre de la voir faire la une de Times, comme Youkhou Ndour, Obama, Clinton, etc.., tous etant des elements clones de derniere generation auquel le souffle demoniaque supreme a ete inssuffle.
Vous n'avez vraiment encore rien vu.
A tantot
Cloudcomputing
En Avril, 2013 (06:32 AM)Listo
En Avril, 2013 (12:21 PM)Depuis plus 2 ans elle dirige le Fmi!
Au Sénégal, ou l'on prend trop souvent les gens pour ceux qu'ils ne sont pas tout, on nous raconte que quelqu'un qui n'est pas de nos amis, qui n'est pas notre parent, pour qui nous n'avons aucune sympathie particuliére mais qui a un diplome en économie, qui a fait Hec puis a pratiqué le métier de banquier, ne connait pas les finances publiques!
2 remarques donc:
1- les diplomes ne sont pas forcément des garants pour occuper une fonction et en l'occurrence Pierre Beregovoy non plus ne serait jamais ministre des finances lui qui n'avait qu'un c.a.p en métallurgie!
2- le vécu professionnel et surtout l'intéret, et la capacité d'apprendre sont beaucoup plus importants qu'un diplome qui n'indique qu'un cursus!
Au Sénégal donc ou on est au pays des doux reveurs, ou dans celui ou on invente toujours le monde, ou alors on n'a toujours pas compris comment les choses: à chacun de voir!
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