Des négociations, prévues de longue date, sur un possible accord de libre-échange (ALE) entre l'Australie et l'Union européenne ont été reportées. La décision de Canberra d'annuler une importante commande de sous-marins à la France continue de provoquer des remous.
C'est l'une des conséquences de la crise des sous-marins entre la France et l'Australie. Les négociations qui devaient se tenir la semaine prochaine entre l'UE et l'Australie pour mettre en place un accord de libre échange vont être reportées d'un mois. « Le cycle commercial de l'ALE a été reporté d'un mois jusqu'en novembre », a déclaré à l'AFP un responsable de l'UE à Canberra.
Le ministre australien du commerce, Dan Tehan, qui était attendu en Europe pour les négociations, a indiqué qu'il prévoyait de rencontrer le commissaire européen au commerce Valdis Dombrovskis la semaine prochaine. « Nous continuerons à nous préparer pour le 12e cycle de négociations et à travailler à la conclusion d'un accord de libre-échange qui soit dans l'intérêt de l'Australie et de l'UE », a-t-il déclaré.
Il a également tenu à relativiser la portée de cette décision de Canberra d'annuler un important contrat de sous-marins français : « Nous comprenons la réaction de la France à notre décision concernant les sous-marins, mais en fin de compte, toute nation doit agir dans son intérêt national - ce qu'a fait l'Australie » a-t-il déclaré.
C'est l'une des conséquences de la crise des sous-marins entre la France et l'Australie. Les négociations qui devaient se tenir la semaine prochaine entre l'UE et l'Australie pour mettre en place un accord de libre échange vont être reportées d'un mois. « Le cycle commercial de l'ALE a été reporté d'un mois jusqu'en novembre », a déclaré à l'AFP un responsable de l'UE à Canberra.
Le ministre australien du commerce, Dan Tehan, qui était attendu en Europe pour les négociations, a indiqué qu'il prévoyait de rencontrer le commissaire européen au commerce Valdis Dombrovskis la semaine prochaine. « Nous continuerons à nous préparer pour le 12e cycle de négociations et à travailler à la conclusion d'un accord de libre-échange qui soit dans l'intérêt de l'Australie et de l'UE », a-t-il déclaré.
Il a également tenu à relativiser la portée de cette décision de Canberra d'annuler un important contrat de sous-marins français : « Nous comprenons la réaction de la France à notre décision concernant les sous-marins, mais en fin de compte, toute nation doit agir dans son intérêt national - ce qu'a fait l'Australie » a-t-il déclaré.
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