Le Fonds monétaire international n’entend pas mettre l’argent issu des Droits de tirages spéciaux (Dts) à la disposition des Etats et les laisser en disposer à leur guise. L’institution compte mettre des garde-fous pour éviter une utilisation nébuleuse ou hasardeuse des enveloppes. «Afin que les DTS soient utilisés pour le plus grand bénéfice des pays membres et de l’économie mondiale, ces décisions doivent être prudentes et bien éclairées », prévient le Fmi dans un communiqué publié sur son site web.
L’institution dirigée par Kristalina Georgieva reconnaît certes aux Etats le droit d’en disposer, mais il n'est pas question de fermer les yeux sur ce qui va se faire. « Pour aider les pays et veiller au respect des principes de transparence et de responsabilisation, le FMI propose un dispositif permettant d’évaluer les incidences macroéconomiques de la nouvelle allocation, son traitement statistique et sa gouvernance, ainsi que la manière dont elle pourrait influer sur la viabilité de la dette », annonce le Fmi dans un communiqué.
Le FMI promet de présenter « régulièrement des données actualisées sur l’ensemble des avoirs, des transactions et des échanges de DTS, y compris, dans deux ans, un rapport de suivi sur l’utilisation des DTS ».
En outre, sur les 650 milliards de dollars de Dts, l’Afrique n’a reçu que 33 milliards de dollars environ. Une somme dérisoire qui rappelle la part congrue des pays pauvres. Le Fmi s’engage à rectifier la donne.
« Pour amplifier les bienfaits de cette allocation, le FMI encourage la réaffectation volontaire d’une partie des DTS des pays affichant une position extérieure solide en faveur des pays qui en ont le plus besoin. Au cours des 16 derniers mois, certains pays membres se sont déjà engagés à prêter 24 milliards de dollars, dont 15 milliards provenant de leurs DTS actuels, au fonds fiduciaire pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance, qui permet au FMI d’accorder des prêts concessionnels aux pays à faible revenu. Ce n’est qu’un début, et le FMI continuera d’œuvrer avec ces pays membres pour poursuivre cet effort ».
Le FMI annonce également la création prochaine d’un nouveau fonds fiduciaire « pour la résilience et la viabilité, par l’intermédiaire duquel les DTS réaffectés permettraient d’aider les pays les plus vulnérables à se transformer sur le plan structurel, notamment face aux enjeux climatiques ». L’autre solution du Fmi consiste « à réaffecter des DTS pour financer les prêts accordés par les banques multilatérales de développement ».
L’institution dirigée par Kristalina Georgieva reconnaît certes aux Etats le droit d’en disposer, mais il n'est pas question de fermer les yeux sur ce qui va se faire. « Pour aider les pays et veiller au respect des principes de transparence et de responsabilisation, le FMI propose un dispositif permettant d’évaluer les incidences macroéconomiques de la nouvelle allocation, son traitement statistique et sa gouvernance, ainsi que la manière dont elle pourrait influer sur la viabilité de la dette », annonce le Fmi dans un communiqué.
Le FMI promet de présenter « régulièrement des données actualisées sur l’ensemble des avoirs, des transactions et des échanges de DTS, y compris, dans deux ans, un rapport de suivi sur l’utilisation des DTS ».
En outre, sur les 650 milliards de dollars de Dts, l’Afrique n’a reçu que 33 milliards de dollars environ. Une somme dérisoire qui rappelle la part congrue des pays pauvres. Le Fmi s’engage à rectifier la donne.
« Pour amplifier les bienfaits de cette allocation, le FMI encourage la réaffectation volontaire d’une partie des DTS des pays affichant une position extérieure solide en faveur des pays qui en ont le plus besoin. Au cours des 16 derniers mois, certains pays membres se sont déjà engagés à prêter 24 milliards de dollars, dont 15 milliards provenant de leurs DTS actuels, au fonds fiduciaire pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance, qui permet au FMI d’accorder des prêts concessionnels aux pays à faible revenu. Ce n’est qu’un début, et le FMI continuera d’œuvrer avec ces pays membres pour poursuivre cet effort ».
Le FMI annonce également la création prochaine d’un nouveau fonds fiduciaire « pour la résilience et la viabilité, par l’intermédiaire duquel les DTS réaffectés permettraient d’aider les pays les plus vulnérables à se transformer sur le plan structurel, notamment face aux enjeux climatiques ». L’autre solution du Fmi consiste « à réaffecter des DTS pour financer les prêts accordés par les banques multilatérales de développement ».
1 Commentaires
Quantbusiness
En Août, 2021 (19:08 PM)Participer à la Discussion