
La peine du tribunal : 200 coups de fouets, une amende et un an de prison. L’homme dont on ne connaît pas le nom, exerçait depuis neuf ans clandestinement. Le « Roi du Liban » se savait suivi par l’Organisation non officielle de la prévention de l’immoralité, raison pour laquelle, il se faisait passer pour le chauffeur d’une de ses clientes.
Lors de son appréhension, il possédait dans sa valise des ustensiles de tatouage, des produits pour raffermir la poitrine et dermatologiques. Le tatoueur a récusé ces accusations en expliquant qu'il travaillait uniquement au Liban. Mais les autorités saoudiennes ont trouvé un téléphone portable dont plusieurs appels et messages provenaient de clientes du pays.
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