La crise avec l'Iran "ne devrait avoir aucun effet" sur les efforts de paix en Syrie et au Yémen, a affirmé lundi l'ambassadeur saoudien à l'ONU Abdallah al-Mouallimi.
Celui-ci a annoncé en particulier que Ryad "ne boycottera pas" les prochains pourparlers de paix sur la Syrie.
"Travailler dur pour la paix"
"Nous continuerons de travailler dur pour soutenir les efforts de paix en Syrie et au Yémen", a-t-il ajouté. "Nous participerons aux prochains pourparlers sur la Syrie", prévus en principe à partir du 25 janvier à Genève sous l'égide de l'ONU.
Celui-ci a annoncé en particulier que Ryad "ne boycottera pas" les prochains pourparlers de paix sur la Syrie.
"Travailler dur pour la paix"
"Nous continuerons de travailler dur pour soutenir les efforts de paix en Syrie et au Yémen", a-t-il ajouté. "Nous participerons aux prochains pourparlers sur la Syrie", prévus en principe à partir du 25 janvier à Genève sous l'égide de l'ONU.
La volonté de l'Iran remise en doute
Il a cependant mis en doute la volonté de l'Iran de promouvoir la paix en Syrie, estimant que Téhéran "n'avait pas beaucoup soutenu ces efforts" de règlement.
De même il a souhaité que les prochains pourparlers de paix au Yémen prévus à la mi-janvier "soient productifs", mais en ajoutant que "cela dépendra de l'attitude des houthis".
Il a réaffirmé que les rebelles chiites soutenus par l'Iran doivent "accepter d'appliquer la résolution 2216" de l'ONU qui leur enjoint de se retirer des territoires qu'ils ont conquis depuis le début de la guerre civile.
L'Iran, alliée de Damas
L'Iran est avec la Russie le plus fidèle allié du régime de Bachar al-Assad tandis que l'Arabie saoudite soutient l'opposition armée syrienne et réclame le départ du pouvoir du président syrien.
A la suite de deux conférences internationales à Vienne en octobre et novembre, auxquelles ont participé Ryad et Téhéran, une feuille de route pour un règlement politique en Syrie a été établie.
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De même il a souhaité que les prochains pourparlers de paix au Yémen prévus à la mi-janvier "soient productifs", mais en ajoutant que "cela dépendra de l'attitude des houthis".
Il a réaffirmé que les rebelles chiites soutenus par l'Iran doivent "accepter d'appliquer la résolution 2216" de l'ONU qui leur enjoint de se retirer des territoires qu'ils ont conquis depuis le début de la guerre civile.
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