
« Kadhafi a beaucoup investi dans l'économie des pays africains. Et
dans la culture africaine, on ne lache pas un ami ou un allié lorsqu'il
est en difficulté.»
Ce qui frappe depuis le début de la violente répression en Libye, c'est le silence de la plupart des gouvernements africains.
Le Maroc, la Mauritanie et le Sénégal ont réagi. Tous trois ont dénoncé « le recours excessif à la violence ». Mais ce sont les seuls. Pour le reste, c'est silence radio !
Où est le malaise ?
L'opposant sénégalais Moustapha Niasse a été, tour à tour, le ministre des Affaires étrangères d'Abdou Diouf et le Premier ministre d'Abdoulaye Wade. Il connait personnellement plusieurs chefs d'Etat.
0 Commentaires
Participer à la Discussion