Il a fallu attendre environ une heure, mardi, pour que la police mette fin au massacre. Les 19 agents sur place attendaient l’assaut d’une unité spécialisée.
Qu’a fait la police pendant que Salvador Ramos tuait des enfants ? Elle a attendu l’arrivée d’une unité spéciale. Après le choc de la fusillade dans une école d’Uvalde, au Texas, qui a causé la mort de 19 enfants et deux enseignantes mardi, le rôle des forces de l’ordre dans ce drame est au cœur des interrogations. Le ministère de la Justice américain examinera la façon dont la police a réagi, après que certains témoins à l’extérieur de l’école ont dénoncé sa passivité.
Cette enquête, demandée par le maire d’Uvalde, sera « juste, transparente et indépendante » et aboutira à la publication d’un rapport, a précisé l’administration. Depuis la tuerie, qui a secoué cette petite ville tranquille du Texas, l’incompréhension et la colère montent autour du délai d’intervention de la police. Car il a fallu attendre environ une heure pour que la police mette fin au massacre. Les 19 agents sur place attendaient l’assaut d’une unité spécialisée.
Mea culpa
Et ce alors que les forces de l’ordre avaient reçu de nombreux appels de personnes se trouvant dans les salles de classe touchées, dont celui d’une enfant implorant : « S’il vous plaît, envoyez la police maintenant ». Face à la polémique, les autorités ont fait leur mea culpa vendredi, admettant que les policiers auraient dû entrer dans l’école plus vite.
La présentation du déroulé de l’intervention policière a aussi été rectifiée au fil de la semaine. Le gouverneur républicain du Texas Greg Abbott, qui avait d’abord, mardi, salué l’action des forces de l’ordre, s’est ainsi agacé vendredi d’avoir été « induit en erreur » par de premières informations inexactes.
Qu’a fait la police pendant que Salvador Ramos tuait des enfants ? Elle a attendu l’arrivée d’une unité spéciale. Après le choc de la fusillade dans une école d’Uvalde, au Texas, qui a causé la mort de 19 enfants et deux enseignantes mardi, le rôle des forces de l’ordre dans ce drame est au cœur des interrogations. Le ministère de la Justice américain examinera la façon dont la police a réagi, après que certains témoins à l’extérieur de l’école ont dénoncé sa passivité.
Cette enquête, demandée par le maire d’Uvalde, sera « juste, transparente et indépendante » et aboutira à la publication d’un rapport, a précisé l’administration. Depuis la tuerie, qui a secoué cette petite ville tranquille du Texas, l’incompréhension et la colère montent autour du délai d’intervention de la police. Car il a fallu attendre environ une heure pour que la police mette fin au massacre. Les 19 agents sur place attendaient l’assaut d’une unité spécialisée.
Mea culpa
Et ce alors que les forces de l’ordre avaient reçu de nombreux appels de personnes se trouvant dans les salles de classe touchées, dont celui d’une enfant implorant : « S’il vous plaît, envoyez la police maintenant ». Face à la polémique, les autorités ont fait leur mea culpa vendredi, admettant que les policiers auraient dû entrer dans l’école plus vite.
La présentation du déroulé de l’intervention policière a aussi été rectifiée au fil de la semaine. Le gouverneur républicain du Texas Greg Abbott, qui avait d’abord, mardi, salué l’action des forces de l’ordre, s’est ainsi agacé vendredi d’avoir été « induit en erreur » par de premières informations inexactes.
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