
La future mère continue, leur expliquant que, un peu plus loin, Kids Company où elle travaille s'occupe de "filles abusées sexuellement. Mais vous continuez à penser que ce que vous faites est juste." Elle explique ensuite que l'avortement est un choix personnel. "Faire culpabiliser les filles avec des gens qui protestent dehors est mal!"
L'association Abort67 se défend d'avoir intimidé, harcelé ou agressé les femmes qui se rendaient sur place. Le journaliste dément: "Je suis allée là-bas parce que j'avais écrit sur ce que faisait Abort67 et je voulais le montrer en vidéo et poursuivre le débat sur les intimidations de ces groupes."
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