Un Modou Lô peut en cacher un autre. Arrêté pour coups et blessures volontaires, le célèbre traiteur Modou Lô a été jugé hier devant le Tribunal d’instance de Dakar.
La plaignante, Bigué Faye, la femme d’un « Bongoman » s’est présentée à la barre avec une lèvre tuméfiée et un œil au beurre noir. Elle accuse le mis en cause de l’avoir rouée de coups, rapporte L’Observateur.
Face au juge, l’accusatrice dira avoir eu écho d’un mariage organisé dans leur quartier. C’est ainsi qu’elle s’y est rendue munie de son haut parleur. Elle déclare que le mis en cause l’a tirée de la chaise où elle était assise pour glaner des informations sur la mariée avant de la sommer de vider les lieux au motif qu’elle n’était pas conviée à cette fête.
A l’en croire, face à son refus de quitter les lieux, le prévenu est revenu à la charge : « Je suis lourdement tombée au sol. Il s’est mis à me rouer de coups au point de me causer une blessure ouverte à l’arcade. Conduite à l’hôpital, j’ai bénéficié d’une Incapacité temporaire de travail (Itt) de 12 jours. Accompagnée de mon mari, j’ai saisi la justice d’une plainte. »
En face, l’accusé a reconnu les faits avant de faire son mea culpa. « J’ai agi sous l’emprise de Satan », a-t-il plaidé. Il s’est, par la suite, tourné vers sa victime pour la supplier en larmes de « lui pardonner ».
Modou Lô sera fixé sur son sort demain jeudi, 18 janvier. Le parquet sollicite l’application de la loi.
La plaignante, Bigué Faye, la femme d’un « Bongoman » s’est présentée à la barre avec une lèvre tuméfiée et un œil au beurre noir. Elle accuse le mis en cause de l’avoir rouée de coups, rapporte L’Observateur.
Face au juge, l’accusatrice dira avoir eu écho d’un mariage organisé dans leur quartier. C’est ainsi qu’elle s’y est rendue munie de son haut parleur. Elle déclare que le mis en cause l’a tirée de la chaise où elle était assise pour glaner des informations sur la mariée avant de la sommer de vider les lieux au motif qu’elle n’était pas conviée à cette fête.
A l’en croire, face à son refus de quitter les lieux, le prévenu est revenu à la charge : « Je suis lourdement tombée au sol. Il s’est mis à me rouer de coups au point de me causer une blessure ouverte à l’arcade. Conduite à l’hôpital, j’ai bénéficié d’une Incapacité temporaire de travail (Itt) de 12 jours. Accompagnée de mon mari, j’ai saisi la justice d’une plainte. »
En face, l’accusé a reconnu les faits avant de faire son mea culpa. « J’ai agi sous l’emprise de Satan », a-t-il plaidé. Il s’est, par la suite, tourné vers sa victime pour la supplier en larmes de « lui pardonner ».
Modou Lô sera fixé sur son sort demain jeudi, 18 janvier. Le parquet sollicite l’application de la loi.
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