
Le bilan de la première session de cour d'assises fait état de peines « standard » de cinq (5) ans qui ont été prononcées pour deux mises en cause, à savoir Amy Ngom et Fatou Diouf. Voulant "rompre avec la tradition", l'avocat général a requis dix (10) ans de travaux forcés contre une accusée. Il avait estimé que cette peine était la solution pour venir à bout du phénomène, vu la récurrence des cas. Selon lui, à chaque session, on note trois (3) à quatre (4) affaires portant sur l’infanticide. De plus, il a été relevé que ces crimes touchent le plus souvent des femmes pauvres, des domestiques pour la plupart, sans éducation. Une piste à explorer pour combattre l’infanticide, à l'en croire. (source : Direct Info)
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