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La victime soutient que le mis en cause lui a donné un verre de boisson dès son arrivée dans la chambre. Après avoir bu le contenu, elle a perdu la mémoire avant d'être violée par le sieur P. Ndiaye selon ses dires. Le lendemain, elle s’est présentée à la gendarmerie de Coki avec un certificat médical attestant qu’elle a été sexuellement abusée. Le mis en cause est arrêté par la gendarmerie de Coki avant d’être placé sous mandat de dépôt à la Mac de Louga pour détournement de mineur et pédophilie le 16 avril 2020.
Devant la barre de la chambre criminelle du tribunal de grande instance de Louga, la victime est revenue sur ses déclarations en disculpant le prévenu. Elle a réfuté la thèse du viol et avoué qu’elle était consentante lors de leur relation sexuelle. Cet aveu de la victime a sauvé le prévenu Pape Ndiaye qui a été finalement acquitté par la chambre criminelle de Louga après deux ans de détention.
3 Commentaires
Tout dépend de la femme ! Si elle dit c'est un viol, tu es arrêté. Si elle dit c'était pas un viol, tu es libéré ? C'est quoi ce délire.
Elle se fait enceinter par un autre. Puis dit tu m'as violé alors que tu ne l'as jamais touché, on t'enferme. Et donc c'est à toi l'accusé de faire l'enquête en faisant un test adn sur l'enfant qui vient de naître.
Combien d'innocents traînent actuellement en prison avec ces fausses accusations ?!
Et le pire, les féministes mettent tous ces cas dans leurs statistiques.
Il est plus qu'imperatif que l'on mette en place un Mouvement de la Défense des droits des Hommes.
Cette loi est juste abjecte et contraire à l'esprit de justice.
Les "autorités" n'en ont rien à faire car elles peuvent étouffer ces affaires quand ça leur tombe dessus, mais nous les citoyens simples, on a aucune chance d'échapper à la case prison.
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En Juillet, 2021 (06:50 AM)Participer à la Discussion