Après trois retours de parquet, les onze membres supposés de la «Force spéciale» seront édifiés sur leur sort ce mercredi. Ils seront présentés au juge du deuxième cabinet, qui a hérité de leur dossier.
Le journal Le Quotidien, qui donne l’information dans son édition du jour, précise que le magistrat instructeur a été saisi par le procureur, qui a bouclé hier, mardi, son réquisitoire introductif.
La même source parie que les mis en cause devraient être placés sous mandat de dépôt au vu de la gravité des charges retenues par le ministère public.
Il s’agit de complot contre l’autorité de l’Etat, acte de nature à occasionner des troubles politiques graves, association de malfaiteurs en vue d’organiser des bandes en leur fournissant des armes, munitions, dans le but de s’attaquer à la force publique, détention et transport de produits et substances incendiaires en vue de compromettre la sécurité publique et détention illégale d’armes à feu.
Les membres de la «Force spéciale» sont accusés d’avoir tenté de semer le chaos à Dakar, en marge de la manifestation interdite de Yewwi Askan Wi, vendredi 17 juin. La police leur prête l'intention de s'attaquer aux installations de la Senelec, aux intérêts français et à certaines personnalités de l'Etat.
Le journal Le Quotidien, qui donne l’information dans son édition du jour, précise que le magistrat instructeur a été saisi par le procureur, qui a bouclé hier, mardi, son réquisitoire introductif.
La même source parie que les mis en cause devraient être placés sous mandat de dépôt au vu de la gravité des charges retenues par le ministère public.
Il s’agit de complot contre l’autorité de l’Etat, acte de nature à occasionner des troubles politiques graves, association de malfaiteurs en vue d’organiser des bandes en leur fournissant des armes, munitions, dans le but de s’attaquer à la force publique, détention et transport de produits et substances incendiaires en vue de compromettre la sécurité publique et détention illégale d’armes à feu.
Les membres de la «Force spéciale» sont accusés d’avoir tenté de semer le chaos à Dakar, en marge de la manifestation interdite de Yewwi Askan Wi, vendredi 17 juin. La police leur prête l'intention de s'attaquer aux installations de la Senelec, aux intérêts français et à certaines personnalités de l'Etat.
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