L’instruction relative aux émeutes meurtrières de début juin a comme éclipsé celle liée aux manifestations enregistrées trois mois plus tôt. Celles-ci étaient intervenues dans le contexte du procès opposant Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang. Elles ont opposé les forces de défense et de sécurité et des jeunes partisans supposés du leader de Pastef.
Cette affaire est près d’être bouclée. D’après L’Observateur, qui donne l’information, les substituts du procureur chargés des affaires en question sont en train de transmettre au Doyen des juges leurs réquisitoires définitifs.
Ce dernier, renseigne le journal, doit se pencher sur 79 dossiers relatifs aux manifestations de mars 2023. Dès réception des réquisitions du parquet, il devra trancher : renvoyer les uns en jugement devant le tribunal correctionnel de Dakar et relaxer les autres, comme le demande les substituts qui ont déjà déposé leurs avis.
Mais, selon L’Observateur, avant de rédiger ses ordonnances, le Doyen des juges entend se pencher sur les demandes de liberté provisoire déposées par les avocats de certains mis en cause.
Après ces dossiers, le magistrat instructeur se tournera vers ceux des manifestations de début juin. Sept cents personnes sont déjà concernées. Elles ont été inculpées entre Dakar et Pikine.
Cette affaire est près d’être bouclée. D’après L’Observateur, qui donne l’information, les substituts du procureur chargés des affaires en question sont en train de transmettre au Doyen des juges leurs réquisitoires définitifs.
Ce dernier, renseigne le journal, doit se pencher sur 79 dossiers relatifs aux manifestations de mars 2023. Dès réception des réquisitions du parquet, il devra trancher : renvoyer les uns en jugement devant le tribunal correctionnel de Dakar et relaxer les autres, comme le demande les substituts qui ont déjà déposé leurs avis.
Mais, selon L’Observateur, avant de rédiger ses ordonnances, le Doyen des juges entend se pencher sur les demandes de liberté provisoire déposées par les avocats de certains mis en cause.
Après ces dossiers, le magistrat instructeur se tournera vers ceux des manifestations de début juin. Sept cents personnes sont déjà concernées. Elles ont été inculpées entre Dakar et Pikine.
20 Commentaires
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quelle justice, celle de macky sall ou la CPI?
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En Juin, 2023 (08:13 AM)-
Je crois que les ÉTATS GÉNÉRAUX de la JUSTICE serait la meilleure réponse, on ne peut pas continuer à compter nos morts et enregistrer des désobéissance civile à grande échelle d'une partie de la population de choses provenant de décisions judiciaires ou de procédures judiciaires entamées sans arrêter un peu de se pointer les doigts les uns les autres sans que chacun ne puisse reconsidérer sa position. UNE JUSTICE POUR LES UNS ET UNE AUTRE POUR LES AUTRES MÊME DANS LA SIMPLE PERCEPTION QUE LE JUDICIABLE LE RÉCENT EST UNE PARODIE DE JUSTICE Dans des différents volatiles de conquête du pouvoir entre partis politiques de masses cela devient une suicide collective, c'est ainsi que la responsabilité devient hautement centrale et importante garantie de la paix civile.
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En Juin, 2023 (08:51 AM)Reply_auplthor
En Juin, 2023 (09:10 AM)-
1- Arrêter le secrétaire général de l'APR, c'est de son siège que partaient les pick up qui contenaient les nervis avec des armes de guerre (pour reprendre les chefs de la police qui on fait le fameux point de presse)
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En Juin, 2023 (09:11 AM)2- Mme Aissata Tall Sall ministre des affaires étrangéres qui a identifié des salafistes, des policiers qui auraient tué en état de légitime défense,
3- Antoine Diome, sur les boucliers humains, notamment lesupposé enfant de 8ans qui apparait sur les RS le ministre croit savoir que les policiers etaient entrain de le sauver, il répondra aussi sur les nervis, il devra nous nous dire comment des armes de guerre ont pu pénétrer le territoire national et se retrouver entre les mains de civils.
Et comme témoins ceux qui on signé des documents administratifs faisant états de tonnes d'armes et de munitions quis seraient rteceptionnés au palais de la république...
Bref il ya du boulot, pour le procureur qui devra trancher de façon cleire au risque de se retrouver au banc des accusés de la CPI
Bonne fête de Tabaski
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une injustice pour les casseurs et un laisser aller pour les meurtriers voila leur bilan
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En Juin, 2023 (09:19 AM)-
Non monsieur cette justice est loin d'être juste elle est à la disposition du président de la république et contre les citoyens.ce juge ne fera qu'obéir à des instructions de sa chancellerie.mais croyez-moi les Sénégalais ne vont plus se laisser faire.donc autant aller dans le sens du dialogue national et prôner la paix et l'apaisement.sinon tout le reste qui risque d'attiser le feu doit être banni.et là ces juges n'ont qu'à revoir leur communication.petsonne ne peut faire aux sénégalais
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{comment_ads}Reply_authorjahman
En Juin, 2023 (10:08 AM)-
Legui les criminels de la nature en plein jour nak ? Gnoune parenagnou de bakhna daaaal
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En Juin, 2023 (10:15 AM)Nervis Du Droit
En Juin, 2023 (08:11 AM)-
En effet, pour que ces imbéciles de procureurs et juges de macky le félon s'arrêtent de se foutre de la gueule des Sénégalais, il faut tout bonnement leur appliquer le supplice du collier et vous verrez que tout le reste prononceront le droit dans les règles de l'art...
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En Juin, 2023 (14:26 PM)Honte
En Juin, 2023 (08:20 AM)La Caravane de la Liberté avait pour mission la prise de Dakar, l'attaque des maisons de détention pour libérer des prisonniers et la négociation pour le Sud, principale motivation de l'aile Atika du MFDC durant cette tentative de coup d'état avortée.
▪︎ Rôle des frères musulmans :
Les frères musulmans avaient pour mission de financer les actions à travers 2 axes :
- L'information, depuis la Suisse, avec l'implication de médias étrangers et locaux et de Députés français. Tariq Ramadan s'en occupait.
- Les moyens, acquis grâce au Qatar, avec Saber Mashhour. Ainsi, les frais de recrutement, d'hébergement des délégations de malfaiteurs etc.
Ils ont tenté d'infiltrer la Police, la Gendarmerie et l'Armée, malheureusement pour eux, ça n'a pas marché.
- L'infiltration de familles religieuses, d'associations musulmanes, estudiantines etc.
Rôle du MFDC :
- Fournir des hommes capables de se déployer rapidement et de mettre au KO l'économie du Sénégal depuis Dakar. Ils avaient juste 2 jours. Une liste de volontaires avait été ouvertes depuis Ziguinchor la veille du départ de Ousmane Sonko.
- Se faufiler parmi les manifestants, faire le maximum de morts pour mettre la pression sur l'État et faire intervenir l'Armée.
- Marcher vers le Palais pour non déloger le Président Macky Sall mais saper la République.
Bref, somme toute :
4 Questions s'imposent aux sénégalais et particulièrement à ceux qui parlent de levée de boucliers:
1) Pourquoi les avocats de Ousmane Sonko sont écartés présentement du dossier de Sonko et ne parlent presque plus de Ousmane Sonko?
2) Pourquoi la mise au devant de la scène de Juan Branco ?
3) Chez Ousmane Sonko, il y a un smartphone, pourquoi il ne l'utiliserait pas pour parler à ses hommes ?
4) Qu'est ce que Atépa sait et qu'il a partagé avec lui?
Ousmane Sonko sait ce que vous ne savez pas et dans son ultime conviction, sait que les contenus des clés USB et e-mails sont plus graves que ceux des téléphones,. Ils ont permis à l'état de déjouer une grâce tentative de coup d'état.
Quant aux téléphones et autres, entre transfert d'argent, échanges via telegram surtout, il a permis de découvrir que le gars avait des accointances très profondes avec des ennemis de l'État, notamment et principalement César Atoute Badiate, Tariq Ramadan, Saber Mashhour, Nathalie Yamb ( pour le compte de forces plus qu'obscures).
Que les aperistes aillent répondre à la cpi mo gueune sinon rék force restera à la loi internationale.
#Focus procès des aperistes à la CPI
Moom
En Juin, 2023 (09:54 AM)Badolobi
En Juin, 2023 (10:34 AM)On a trop cité CPI mais que personne ne soit surprise le jour où sonko sera convoqué là-nas.
À bon entendeur,🤝.
D
En Juin, 2023 (11:26 AM)Maintenant un journal proche de l'état dit la même chose ne surprend pas. Mais quel traitement de cette information !!
Les sénégalais sont dubitatifs quand la justice sénégalaise est concernée. La grande majorité des citoyens ne croient plus en cette justice jugée partisane et inféodée au régime en place. C'est cela la seule vérité qui vaille.
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