
Selon les camarades de Me Assane Dioma Ndiaye, l’autorité judiciaire n’a commis aucune violation des textes accordant la libération conditionnelle au promoteur de lutte, à Cheikh Yérim Seck et Tamsir Jupiter Ndiaye.
Le délit importe peu. Ces propos ont été tenus à l’occasion de leur congrès de renouvellement, organisé samedi dernier à la fondation Konrad Adenauer.
Pour la Lsdh, « aucune infraction n’est exclue par rapport à la libération conditionnelle ». Ils en ont pour exemple le cas de la tunisienne, Yacine Ferchichi, condamnée en France pour acte de terrorisme et qui vient d’en bénéficier.
Cependant, les camarades de Me Assane Dioma Ndiaye mettent en garde l’autorité quant à une ségrégation.
A les en croire, l’Etat doit veiller dans ce cas d’espèce au « respect de la réglementation quant à l’éligibilité des personnes susceptibles de bénéficier de la libération conditionnelle ».
Ni la notoriété ni la richesse ne doivent être la base de cette éligibilité.
0 Commentaires
Participer à la Discussion